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La Fin du Sacré. ou le retour du sacrifice humain

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Dossier

Robots, extraterrestres, IA, humains... qui aura le dernier mot ?

Ah, l'ère technologique ! Une époque où nos téléphones sont plus intelligents que nos animaux de compagnie, où nos montres peuvent nous dire combien de pas nous avons faits (comme si cela comptait vraiment après cette pizza quatre fromages) et où nos réfrigérateurs peuvent nous rappeler d'acheter du lait. Mais attendez, ce n'est pas tout ! 

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Dossier

Les Chroniques du Confiné : au temps du coronavirus, le critique se fait booktuber

Chaque jour apporte son lot de mauvaises nouvelles — ou de nouvelles qu’on préférerait meilleures. Il fallait bien que la rédaction tente d’offrir un moment de pause humoristique. Et même si les librairies sont fermées, et qu’il devient plus difficile de se procurer des nouveautés, pas question de renoncer à la découverte de livres, d’auteurs, de coups de coeur.

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Dossier

Le théâtre du XVIIe au XXIe siècle - Programme de français 1ère

Pour la classe de Première en voie générale, le curriculum de français présente quatre domaines d'exploration. Pour l'année académique 2023-2024, le sujet "Le théâtre du XVIIe siècle au XXIe siècle" a été renouvelé.

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Dossier

Courir ou mourir : Le Labyrinthe, la saga de James Dashner

Depuis la publication du premier livre en 2009, la saga Le Labyrinthe (titre original : The Maze Runner), écrite par James Dashner, a marqué une génération d'adolescents et jeunes adultes par son intrigue captivante, ses personnages attachants et sa représentation métaphorique des défis de l'adolescence. Cette saga dystopique a séduit des millions de lecteurs à travers le monde et a inspiré une série de films à succès.

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Dossier

Street art, fresques, tags : des livres au détour des rues

Porté par des figures désormais internationales, comme Banksy, et bien d’autres, le Street Art, ou Art Urbain ne date pas d’hier. 

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Dossier

Le Salon du livre de Turin 2021, le grand Salto

Le Salon du livre de Turin se tient du 14 au 18 octobre 2021, au Lingotto. Il sera précédé par une initiative inédite : au printemps, en ligne et en présentiel, les festivals Portici di Carta (Turin), Libri Come (Rome) et Lungomare di libri (Bari) seront réunis pour une grande fête !

Extraits

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Histoire des religions

La Fin du Sacré. ou le retour du sacrifice humain

Notre génération vit sous le poids de la désacralisation du monde. Egarement, dévoiement, mais aussi espoir de renaissance, la question du sacré est l'une des plus cruciales de notre temps. Mais qu'est-ce que le sacré ? Ce que ce mot recouvre nous semble tellement évident et naturel qu'on serait bien en peine de lui trouver une définition. Ce à quoi s'attache Sylvain Durain dans ce livre. A travers une généalogie de la notion de sacré, l'auteur met en évidence l'importance de la figure du père et de l'acte sacrificiel dans sa construction. Sacrifice divin du Dieu incarné ou sacrifice sanglant des hommes ? Voilà les deux visions du monde que Durain oppose. Face à ce qu'il décrit comme un retour du culte matriarcal couvé par l'idéologie du progrès, il se fait le défenseur de la famille traditionnelle et des valeurs chrétiennes. Un livre pour ceux qui, forts de la connaissance du passé, travaillent à bâtir l'avenir.

08/2022

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Témoins

Mort au cléricalisme ou résurrection du sacrifice humain

Par cet ouvrage, publié initialement en 1877, Mgr Gaume traverse les siècles et les peuples, pour nous faire entendre ce cri de guerre, ce cri sanguinaire " mort au cléricalisme " - terme qui signifie d'ailleurs catholicisme, mais employé pour le salir et le mépriser -, et qui retentit aux quatre vents. L'adoration du Veau d'Or, commença lorsque Satan, en singe de Dieu, voulut ses propres sacrifices. Haine du Christ, Adoration du Démon. Cette révolte contre Dieu, cette haine formelle du Verbe, cette malignité spirituelle réintroduite, véritable actualisation du péché originel, loin d'être éteinte avec les 3000 hommes d'Exode XXXII, 28, a entrainé les nations dans la barbarie, favorisant directement les sacrifices humains par immolation, égorgement, carnage, et même anthropophagie, etc., en l'honneur de divinités fausses et d'idoles malfaisantes et pernicieuses. L'histoire démontre que le sacrifice humain est une affaire de culte. Il a toujours existé et il est partout. Le seul sacrifice qui peut abolir le sacrifice des victimes humaines c'est le sacrifice (indirect) d'une victime divine. Dieu lui-même s'est sacrifié pour mettre fin à ces cruautés. Et parmi les peuples où le catholicisme a été enseigné, les sacrifices humains ont cessé. " Le catholicisme c'est la grande charte de l'humanité, nous dit Mgr Gaume ; c'est l'unique raison du pouvoir et du devoir ; c'est la religion descendue du ciel, la reine de la vérité, la mère de la vertu, la sauvegarde de tous les droits, la bienfaitrice de l'univers ". Cette réédition, devenue aujourd'hui nécessaire, permettra à chacun de méditer quant à l'actualité de notre monde. Et qu'y verra-t-il ? Un retour au paganisme, des chrétiens traqués, des églises brûlées, des prêtres attaqués et tués, etc. Car un retour au sacrifice humain n'est pas une éventualité, il est déjà une réalité. Un sacrifice aujourd'hui sans statue, sans idole, sans temple mais simplement en pensées par ces sacrificateurs du XXIème siècle. Sans une réforme radicalement chrétienne de l'éducation sur la jeunesse prônée par Mgr Gaume, et comme il le pressentait déjà au XIXème siècle, le passé est-il la prophétie de l'avenir ? Si le sacrifice divin venait à disparaître, alors le sacrifice humain recommencerait-il ? Sylvain Durain, dans sa préface, retrace les études traditionnelles sur la question du sacrifice et montre - par le lignage allant de Mgr Gaume à René Girard, en passant par Joseph de Maistre – que la modernité est bien le temps du retour du sacrifice sanglant. La religion du Progrès ramène l'humanité aux temps archaïques.

09/2021

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Littérature française

La fin du sucre

"C'est la première fois de ma vie que je rencontrais quelqu'un qui avait peur de deux oeufs au plat ". Marco s'installe en Turquie et rencontre Aziz à Istanbul. Il loue une chambre chez lui alors qu'il le connaît à peine. La confrontation est rude. Expatriation, jalousie, gestation pour autrui, portrait critique d'une Turquie toujours incomprise, insaisissable. Face à face de deux êtres paumés, Occident, Orient, peur de vivre, peur du sucre ? "Je cherche à travers lui une raison de vivre dans ce pays", dit Marco. Quel que soit le pays, la finalité est la même. Goûter au bonheur sans y perdre son âme. Thriller des sentiments, texte à l'énergie rageuse, drôle et tragique. S'amuser tout en souffrant, l'essence même de la vie.

01/2020

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Religion

La vengeance du sang. Peine de mort et sacrifice humain

Ce livre questionne nos valeurs et nos convictions profondes tout en nous invitant à jeter un regard neuf sur les événements dramatiques qui meublent l'actualité. Les auteurs y démontrent les liens qui existent entre les origines religiologiques de la peine de mort dans le sacrifice humain, la pratique de la vengeance du sang et la notion juridique de la peine de mort. S'inspirant des théories sur l'origine de la violence de René Girard, Nelson Tardif explique d'abord comment et pourquoi le criminel " démonisé " devient un bouc émissaire destiné à drainer symboliquement la violence hors de l'enceinte de la société. Cette vision est présente de façon particulièrement radicale dans les différents fondamentalismes contemporains. Pour sa part, Aldina da Silva pose un regard éclairé sur la peine de mort dans la Bible en remettant en question les prises de position favorables à cette pratique qui s'appuient sur des arguments religieux. Selon elle, le Nouveau Testament nous demande même de vaincre la violence par le choix chrétien, souvent paradoxal, de l'amour et de la foi en l'humain. Dans le dernier chapitre, Jean-Marc Gauthier montre comment le Dieu de Jésus, en relevant celui-ci de la mort, s'inscrit résolument comme un Dieu pour la vie. Le regard théologique qu'il porte sur la crucifixion de Jésus mène à une conclusion à la fois touchante et convaincante en faveur de la vie et de la foi en l'humain quel qu'il soit. Bref, un sujet difficile abordé avec intelligence et sensibilité dans un livre qui engage la réflexion, la responsabilité et l'humanité de chacun et chacune de nous.

04/2006

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Philosophie

Métaphysiques cosmorphes. La fin du monde humain

La fin du monde humain ne veut pas dire la fin de l'homme, mais le retrait de la place centrale que celui-ci occupait au sein de l'ensemble des savoirs. Plus que jamais, prendre en compte notre rapport à la Terre et au Cosmos est devenu nécessaire. Dans de nombreux domaines (anthropologie, sociologie, esthétique, droit, politique, etc.) des vues cosmomorphes se substituent aux vieux schémas anthropomorphes. L'homme doit se penser à l'intérieur de mondes infiniment plus larges et complexes que lui. Nous sommes entrés dans une nouvelle période géo-cosmique qui excentre l'homme de son monde. Plus que l'existence dans son monde, c'est sa consistance dans d'autres mondes qui est en jeu. Nos nouveaux problèmes sont des problèmes de consistance. En quoi consistent les rapports esthétiques, politiques, ontologiques qui nous permettent de penser la relation de l'homme aux autres êtres ? Quel nouveau statut advient à l'homme dès lors qu'il tient compte des relations terrestres dont il dépend, si lui est redonné le sens de la Terre et du Cosmos ? Comment redistribuer sur les non humains une dignité d'être sans laquelle l'homme lui-même finira par s'effacer ?

11/2015

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Histoire internationale

Le sacrifice humain chez les Aztèques

Nulle part le sacrifice humain officiel, organisé par l'Etat, n'a été plus répandu que dans l'ancien Mexique. Les Aztèques eux-mêmes se vantent d'avoir immolé en trois ou quatre jours quelque 80 400 guerriers pour l'inauguration de leur Grand Temple en 1487. Cette pratique, qui nous paraît barbare, mais que toute une tradition tente de minimiser ou de justifier reste particulièrement difficile à comprendre. On dit parfois que le XXe siècle a vu bien pis avec ses génocides, mais le fait de sacrifier des ennemis n'empêchait nullement les Aztèques d'exterminer en plus des cités entières. Il est vrai aussi que bien d'autres civilisations ont immolé des hommes aux dieux, mais elles ont en général fini par passer au sacrifice animal, ou même, comme le christianisme, au sacrifice non sanglant. Comment comprendre alors le cas des Aztèques ? Pourquoi ces mises à mort nombreuses, variées et raffinées ? Pourquoi cette implication de la société tout entière, les rois, les nobles et les prêtres, les sacrifiants - seigneurs, guerriers victorieux, riches marchands ou artisans -, et enfin l'ensemble des habitants, sans compter ceux d'autres cités parfois contraints, sous peine de mort, d'assister aux cérémonies Les victimes sont présentées à la population qui les adopte et reste en contact avec elles. Certaines incarnent l'une ou l'autre divinité et se promènent pendant des jours dans la ville. Lorsqu'on les immole et les mange, c'est la divinité même qui meurt et renaît à travers elles. Ceux qui les offrent, les sacrifiants, les accompagnent depuis la capture ou l'achat jusqu'à la mise à mort, lorsqu'ils les conduisent au pied du temple ou de la pierre de sacrifice. Connus et visibles du début jusqu'à la fin, ils organisent les banquets finaux durant lesquels on mange l'homme-dieu, ils en conservent des reliques et gagnent du prestige, des richesses et des chances de survie dans l'au-delà. L'ampleur de la cérémonie glorifie la cité et écrase les rivaux invités à y participer. Mais les mises à mort massives de prisonniers de guerre sont aussi des meurtres inspirés par la vengeance, des meurtres dont ceux qui y assistent fascinés sont en fait complices, ce qui doit accroître le sentiment d'appartenance au groupe et renforcer sa cohésion.

01/2005

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