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La société comme verdict. Classes, identités, trajectoires

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La Société des Gens De Lettres (SGDL)

La Société des Gens De Lettres (SGDL)

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Des livres aux auteurs : à la découverte de l'identité tchèque

Le livre jeunesse tchèque est mondialement reconnu, maintes fois primé et honoré à cinq reprises par le plus prestigieux des prix décerné à un auteur jeunesse : le prix Hans-Christian Andersen, qu’ont notamment reçu Jiří Trnka (1968), Květa Pacovská (1990) et Petr Sís (2012).  Mais malgré cette reconnaissance des pans entiers de son patrimoine nous restent néanmoins à découvrir. 

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Les sociétés matriarcales : les cultures autochtones dans le monde

Dans cet ouvrage pionnier, fondateur des recherches matriarcales modernes, Heide Goettner-Abendroth définit pour la première fois clairement et scientifiquement le concept de matriarcat, jusque-là décrié et opaque, qui lui permet de revisiter l’histoire culturelle de l’humanité. 

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Luca Di Fulvio : l'homme qui riait de l'Histoire

Luca Di Fulvio est un écrivain italien contemporain dont le talent a traversé les frontières. Né en 1957 à Rome, il a su, dès son plus jeune âge, que les mots seraient sa vocation. Après des études en dramaturgie, il s'est lancé dans l'écriture, mêlant habilement histoire, suspense et émotions. Décédé le 31 mai 2023 à l’âge de soixante-six ans, il laisse une oeuvre foisonnante, ancrée dans l'Histoire. 

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La SCELF face à la lecture publique : la redevance qui indigne

La lecture à haute voix de livres, en totalité ou sous forme d‘extraits, est considérée comme une “représentation”, et tombe de facto sous le coup du “droit de représentation”. Jusque-là, ce droit était géré par une société d‘auteurs, la SACD, mais depuis le 1er janvier 2016, et sans que grand monde en ait été informé, la gestion du droit de lecture est passée dans l'escarcelle de la SCELF, une société d'éditeurs.

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Dossier

Le Tripode : dix ans d'édition indépendante sur trois pieds, sans trembler

Le Tripode incarne l'esprit de la créativité et de l'originalité littéraire. Fondées en 2013 par Frédéric Martin, elles se sont rapidement imposées comme un acteur majeur de l'édition indépendante. À l'occasion de ses 10 ans, la maison d'édition propose de redécouvrir les livres qui ont forgé son identité. 

Extraits

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Philosophie

La société comme verdict. Classes, identités, trajectoires

Paru en octobre 2009, Retour a Reims a rencontré un écho considérable et suscité de très nombreux débats. C'est à partir de cet accueil et des questionnements qu'il a fait surgir que Didier Eribon entreprend aujourd'hui de reprendre et d'approfondir le récit et les réflexions qui s'entrecroisaient dans cet ouvrage. En ancrant toujours, bien sûr, sa démarche dans l'expérience vécue et dans l'exploration d'une mémoire personnelle et d'une histoire familiale dont il s'attache à restituer les significations sociologiques et politiques.La société assigne des places. Elle énonce des verdicts, qui s'emparent de nous et marquent nos vies à tout jamais. Elle installe des frontières et hiérarchise les individus et les groupes. La tâche de la pensée est de porter au jour ces mécanismes d'infériorisation et la logique de la domination sociale. C'est à un véritable renouvellement de l'analyse des classes, des trajectoires, des identités (le genre, la race...) et du rôle central et ambivalent des institutions (notamment le système scolaire, le droit, la politique...) dans leur fabrication que nous convie Didier Eribon. Avec pour horizon l'idée fondamentale que seule une démarche qui place au centre de ses préoccupations le problème des déterminismes inconscients par lesquels nos vies sont régies peut nous permettre, par-delà les incantations lancées par les intellectuels populistes qui saturent l'espace de la gauche radicale, d'ouvrir la voie à une politique de l'émancipation.Dans ce second volet, l'auteur de Retour a Reims nous donne un nouveau grand livre, appelé à vite devenir, comme le précédent, un classique des sciences sociales et de la théorie critique.

04/2013

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Littérature française

Identité, identités

C'est une saga familiale qui nous emmène, il y a un siècle, de Salonique, en Crète, puis à Damas et Istanbul, à la suite du lieutenant-colonel ottoman, médecin et juif. L'Empire ottoman se défait ; toutes les "nations" qui constituaient cet empire musulman, des frontières de la Perse jusqu'à celles de l'Empire austro-hongrois, vivaient alors ensemble dans une infinie multiplicité d'ethnies, de langues, de religions et de cultures, se côtoyant tant bien que mal dans la paix du Sultan, souvent plus tolérant que l'Europe chrétienne. Cette recette du vivre-ensemble, nous semblons l'avoir perdue. Pourtant, l'arrière-petite-fille du lieutenant-colonel, née au pays des mosquées et francophone, s'est installée avec son mari dans l'Europe des cathédrales, puis au Moyen-Orient, plus compliqué mais attachant. juive mais athée, née Turque mais naturalisée Suédoise, de langue et culture françaises, elle est la preuve qu'il est possible d'unir en soi plusieurs identités. Vivre ensemble est simple si on veut bien remplacer peurs et haines par la joie des cultures partagées.

05/2015

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Sociologie

LA NEVROSE DE CLASSE. Trajectoire sociale et conflits d'identité, 3ème édition

Dans nos sociétés modernes éclatées, où l'individu n'a plus de statut déterminé, le déplacement social à multiples visages - promotion et régression sociales, changement de métier et de lieu - influence de façon certaine la personnalité des gens, confrontés à des ruptures et à des conflits difficiles à assumer. Lorsque ces conflits font échos à des conflits plus personnels, ce " mal de vivre " deviendra une névrose, que l'auteur désigne comme " névrose de classe ". Démarche qui permet de clarifier les rôles respectifs des facteurs psycho-sexuels, des facteurs sociaux et familiaux. Des " Histoires de vies " explicitent le propos et surtout la référence à des personnages romanesques ; l'héroïne de " La Place " d'Annie Ernaux, du " Fils de la servante " de A. Strindberg ou de " A. Bloyé " de Paul Nizan. Pour la recherche en sciences humaines la " Névrose de classe " apporte un éclairage nouveau : une autre façon d'articuler les conflits psychologiques et sociologiques, dans une alliance riche en perspectives. Vincent de Gaulejac, professeur à l'université Paris VII - Denis Diderot, directeur du Laboratoire de Changement Social, vice-président du Comité de recherche de sociologie clinique de l'Association internationale de sociologie.

11/1999

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Policiers

Verdict

Licencié d'un grand cabinet d'avocats d'affaires à la suite d'une sordide histoire de drogue, Joel Deveraux use sa robe sur les bancs des comparutions immédiates. Commis d'office à Brooklyn, il enchaîne les dossiers les plus minables – jusqu'à sa première affaire de meurtre. Suspect noir, victime blanche : le procès s'annonce compliqué pour la défense. Associé à Myra Goldstein, une avocate talentueuse et cassante, Joel va vite apprendre que la vérité, au tribunal, importe moins que la vraisemblance. Après tout, seul compte le verdict… « Verdict offre un passionnant laissez-passer dans les arcanes de la justice. Et livre une intrigue policière terriblement addictive. » Grazia « Une fois que vous aurez ouvert ce livre, vous ne pourrez plus le refermer. » The Washington Post

11/2015

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Théâtre

Verdict

Karl Hendryck, éminent professeur d'université, a quitté les Etats-Unis pour s'installer en Angleterre avec sa femme Anya et Lisa, la cousine de celle-ci. Lisa et Karl s'aiment sans oser se l'avouer. Helen, une jeune étudiante, fait tout pour attirer l'attention du professeur. Jusqu'à tuer ? Karl aura-t-il réussi, avec les meilleures intentions du monde, à faire le malheur des trois femmes qui l'aiment ? Karl n'est pas conscient que les choses peuvent s'abîmer si on n'y prend soin. C'est un idéaliste. Et ça peut être dangereux. Lisa Koletzky (Acte I, scène 1)

01/2020

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Religion

La souffrance comme identité

Dans le monde juif, la souffrance, ses représentations et sa ritualisation ont façonné au fil des siècles l'histoire d'un peuple et d'une religion, et plus encore l'idée que ce peuple se faisait de son histoire. Ce livre en suit dans la longue durée les méandres. Il y situe l'événement traumatique qu'a été la Shoah, venu réactiver une mémoire " lacrymale " dès lors jamais apaisée. Et Esther Benbassa analyse le lien indissoluble qui s'est finalement tissé entre le génocide et l'État d'Israël, sa politisation et sa transformation en une religion civile accessible à tous, un judaïsme " de l'Holocauste et de la Rédemption " - la Rédemption étant la création d'un État juif lui-même sacralisé. Au-delà du cas juif, ce livre fournit des clés de compréhension des diverses trajectoires mémorielles et identitaires d'aujourd'hui, aussi nécessaires ou inévitables qu'envahissantes et dont la mémoire du génocide est devenue le modèle. Cet usage de la souffrance comme identité engendre des devoirs de mémoire tyranniques, auxquels Esther Benbassa oppose le droit à un raisonnable oubli qui ne serait pas amnésie, mais confierait à une histoire enfin plurielle et partagée le dépôt de nos passés de souffrances.

01/2010

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