La main à la pâte. Les sciences à l'école primaire

Les Editions lancent une nouvelle collectionet proposent, par ce biais, d'initier à  une  cuisine moderne et conviviale, plutôt tendance, synonyme de plaisir et de simplicité. L'air de rien, sans se prendre la tête ni stresser derrière les fourneaux, ces ouvrages (au nombre de quatre pour le moment*) offrent au lecteur un panel de recettes plutôt classiques et fondamentales, déclinées ensuite en d'autres recettes plus originales, parfois inédites ;  histoire de varier le plaisir et l'esthétique, d'initier à d'autres saveurs, d'autres gourmandises.

Associée à des grandes marques culinaires et des magazines féminins, l'auteure, animatrice également d'un blog www.katyseats.com, s'inspire de la pâtisserie traditionnelle pour la renouveler et l'actualiser à travers des recettes variées et originales, créatives et gourmandes.

Aussi, dans un premier temps, sont rappelés les fondamentaux pour réaliser pâte brisée, sablée, feuilletée, pâte à brioche, à génoise, à choux, à meringue. Sans se perdre dans des détails inutiles, de manière concise et efficace, sont énumérées les techniques de base indispensables qui serviront ensuite à innover. Une fois la préparation de base assimilée, 40 recettes, toutes illustrées avec gourmandise, s'offrent au lecteur et raviront assurément les amateurs de pâtisseries anglo-saxonnes.

Si la richesse (calorique) des ingrédients ne vous effraie pas, n'ayez aucune hésitation à réaliser ces recettes ; elles contiennent en elles de quoi régaler n'importe quel convive gourmand.  De l'Angel cake au flan à tomber aux brioches suisses en passant par le quatre-quarts, le carrot cake, la génoise à la confiture ou l'éclair au chocolat, tout tente, attise les papilles et la mauvaise conscience. Des recettes généreuses à tous points de vue, à réaliser avec parcimonie si votre tour de taille vous obsède. Sinon, foncez, le plaisir est garanti !

* Dans la même collection, Zéro sucre, La cuisine des potes, Un homme en cuisine.

L’apprentissage du code informatique à l’école primaire, une annonce phare du gouvernement concernant l’enseignement. C’est en tout cas ce qu’expliquait le Ministre de l’Éducation Benoit Hamon, dans une interview accordée au JDD le 13 juillet dernier. Pourtant, certaines voix s’élèvent pour faire valoir que le délai est trop court pour mettre en place d’ici la rentrée un tel enseignement. 

C’est le cas notamment de Claude Falguière, responsable chez Devoxx4Kids et spécialiste de l’enseignement du code auprès des jeunes enfants, qui s’exprime dans les colonnes du site « 01net ». 

Selon elle, l’apprentissage du code dans les écoles primaires dès la rentrée ne semble guère envisageable. « Cela me paraît malheureusement impossible », explique-t-elle. 

Rappelons que ces fameux cours de code, outre qu’ils seront facultatifs, n’auront pas lieu sur les horaires de cours. Les cours seront dispensés sur le temps périscolaire, au titre des activités proposées aux enfants dans le cadre de la très débattue réforme des rythmes scolaires. En clair, ce sont les communes qui doivent mettre en place les cours de code. 

Dans ce sens, l’Éducation nationale a lancé un appel à manifestation d’intérêt, comme nous l’indique « 01net », afin d’identifier les organismes à même d’assurer les cours. On comprend bien dès lors que la rentrée de septembre semble un délai pour le moins optimiste. 

Claude Falguière détaille : « En annonçant cela mi-juillet, je ne vois pas comment les mairies vont avoir le temps de se retourner d’ici septembre. Seuls les ateliers de code déjà prévus pourront effectivement se dérouler à cette date ». 

Enfin, la question de la taille des classes pourrait poser un autre problème. La moyenne d’enfants dans une classe de primaire se situe entre 25 et 30 élèves. Pas facile d’enseigner le code de manière optimale à un tel groupe. Pour plus d’efficacité, il faut des groupes réduits. 

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ajmexico

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« En r'tard, en r'tard, je suis toujours en r'tard », braillait le lapin blanc d'Alice au pays des merveilles. Et il est question d'horaires justement dans l'Éducation nationale et plus particulièrement du temps scolaire passé par les élèves en classe. Le chambardement et l'installation des nouveaux horaires se heurtent au retard de plusieurs collectivités « pas complètement prêtes », estime Pierre Yves Jadel, président de l'Association des maires de France.

Tout le monde fait de son mieux, mais « simplement, elles [les collectivités] n'ont pas eu le temps suffisant ». Et tout particulièrement les petites...

« Si on veut mettre 30 minutes de soutien le midi, alors que les enfants ont une heure et demie pour manger, comment faire pour assurer un service à la carte? Des heures de soutien le mercredi matin ? Ça voudrait dire un car pour quelques élèves seulement, ce qui a un coût supplémentaire, ou alors laisser les parents emmener leurs enfants à l'école ? » Questions rhétoriques de M. Jabel, qui font écho à une situation pas évidente.

Du château de carte à la pagaille...

À Bordeaux, on s'inquiète des bus de ramassage scolaire, véritable « château de cartes » (et on s'y connaît en château dans la région), qui s'écroule au moindre mouvement. En Seinte et Marne, « c'est la pagaille », constate le maire PCF, Maud Tallet.

Et en plus de la réorganisation pour les parents, il faut compter sur le travail des agents scolaires, qui ont en charge la cantine ou le nettoyage : non seulement des complications à n'en plus finir, mais surtout des surcoûts pour les communes. Et le soutien scolaire entre midi et deux ne manquera pas de multiplier le nombre de repas pris à la cantine, avec de nouvelles subventions à prélever sur le budget des mairies.

Une mise en place qui aurait peut-être mérité une concertation plus grande, et surtout... de ne pas courir après l'horaire...

250 élèves strasbourgeois de l'école primaire du Zieglwasser vont relever le « Défi, 10 jours pour voir autrement », soit 10 jours sans écran, qu'il soit de télévision, de console portable ou d'ordinateur. Pour Xavier Rémy : « Ce sera le match de toute une école contre un ennemi qui a de gros moyens de séduction, c'est pas gagné d'avance. »

Trois acteurs se sont inspiré du travail de chercheurs canadiens, l'institut strasbourgeois Eco-Conseil, adepte du développement durable et de l'initiation à la citoyenneté, la Chambre de consommation d'Alsace et toute l'équipe de l'école située en ZEP. Autour d'eux, associations et parents d'élèves ont été largement sensibilisés. Mais les enfants aussi. Depuis quelques mois, on leur enseigne le décryptage d'image, à travers des spots pubs, et la création de vidéos.

Lundi prochain, ils auront tous en main leur carnet d'abstinence, promettant de « faire tout ce qui est humainement possible pour réussir ce défi et à compter honnêtement les points ». Au jour le jour, ils mentionneront leurs activités, les difficultés rencontrées et les points totalisés : 5 les journées scolaires, 7 pour les autres. Rémy détaille la comptabilisation : « Le maximum pour l'école est de 14.732 points. On estimera qu'on a gagné le match si on obtient environ 70 %. »

La télé et les Français

Souvenez-vous, les Franaçs passent en moyenne 3 h 27 par jour devant leur télévision et les enfants 1.200 heures par ans, contre 800 à l'école, montre une étude canadienne. Alors bien sûr, « faut pas rêver, on n'a pas la prétention de changer le monde avec 10 jours sans écran, mais on croit à ce projet », explique Rémy.

L'an prochain, deux autres établissements devraient suivre cette initiative, en collaboration avec des psychologues et des sociologues. En ville, des affiches de soutien prennent possession des bus, et si vous souhaitez soutenir l'initiative, une adresse — postale, évidemment — est disponible : École du Ziegelwasser, Aux enfants de l'école, 3 rue de Bergerac - 67100 STRASBOURG.

Le ministre Xavier Darcos avait renouvelé, à quelques encablures de la rentrée, le plan Aide Handicap École, pour lequel « 22 personnes, recrutées, formées et encadrées par deux spécialistes, travaillent et répondent aux usagers », afin de leur simplifier les démarches administratives.

Et du côté enseignant, on se met au diapason ministériel dans une étude montrant que 8 professeurs sur 10 sont en faveur de l'insertion d'élèves « mentalement handicapés » au sein des classes, selon l'Unapei. 608 personnes ont été sollicitées pour cette étude.

En effet, « 86 % des enseignants non spécialisés ont le sentiment qu'il serait aujourd'hui possible d'accueillir des enfants ayant un handicap mental au sein de leur école ». Un chiffre encourageant et qui semble reposer essentiellement sur la bonne volonté, puisque seuls 26 % des sondés « ont déjà accueilli un enfant handicapé mental au cours des ces trois dernières années ».

Mais les réticences ne sont pas loin, du fait d'une absence de compétences et de formation : 94 % considèrent « ne pas être préparés pour l'accueil d'un enfant différent ». D'un autre côté, parmi les enseignants ayant eu un enfant dans ce cas, 87 % des généralistes et 27 % des spécialisés « déclarent ne pas du tout avoir reçu de formation spécifique au handicap mental ».

Pour l'essentiel, leur formation n'a pas été suffisante, puisque 87 % des professeurs des écoles et 66 % des professeurs en Clis s'accordent sur ce point.

Annoncé à demi-mot sur son fil Twitter, la à Paris annonce le « retour d'une expo pour enfant qui a eu grand succès » pour octobre 2014.
Message mystérieux s'il en est…

Allez, quelle exposition pourrait cette année ne pas mieux tomber ?

Nous vous le donnons en mille ! Oui c'est bien le Zizi Sexuel, l'expo qui va refaire parler d'elle !

Comme un fait exprès (ha bon, vous pensez ?), l'exposition pour les 9-14 ans qui avait déjà fait grand bruit entre 2007 et 2009 revient sur le devant de la scène pour tout expliquer aux jeunes sur la sexualité de manière « joyeuse et positive »…

Adapté du Guide du Zizi sexuel de Zep et d'Hélène Bruller paru en 2001 aux éditions Glénat avec pour héros Titeuf et sa copine Nadia, cette expo délivre les clefs pour tout comprendre sur les poils qui poussent, l'amour, le célèbre « comment on fait les bébés »,  mais également plein d'autres sujets…

L'expo itinérante a créé des mini-scandales un peu partout où elle est passée, que ce soit en Suisse, au Québec ou en France, certaines associations familiales ont interdit à leurs enfants de s'y rendre.

C'est dans un cadre social extrêmement tendu que cette annonce se fait, on peut espérer que les mouvements extrémistes de ces dernières semaines ne vont pas intervenir. Dans la précédente version, un espace « interdit aux parents » était réservé à l'homosexualité et à la masturbation…

La vidéo de l'expo itinérante à Villeneuve d'Ascq en août 2012.

Zizi sexuel, l'expo !par Nord-le-Departement