« Je hais les voyages et les explorateurs » : ceux qui ont connu cet été, cher Hervé, les moustiques dingues, les méduses sur les plages, les colibacilles dans la salade, l’artisanat local industriel, les bouchons sur les autoroutes, les nuits d’attente à la gare Montparnasse, les bagarres d’aéroport, les flammes léchant le camping, les locations bancales et les notes salées souscriront à cette déclaration désabusée qui ouvre Tristes tropiques.