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Judith Lyon-Caen, Jean-Marc Dreyfus

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Dossier

Le Prix Jean d'Ormesson

En mars 2018, quelques mois après la disparition de Jean d'Ormesson, le 5 décembre 2017, sa fille Héloïse d'Ormesson annonce la création d'un prix littéraire pour lui rendre hommage. « C’est avec joie et fierté que je vous annonce la création du prix Jean d’Ormesson, qui sera décerné le 6 juin prochain au Centre national du livre (pour s’approcher de la date anniversaire de la naissance de mon père le 16 juin 1925) », explique-t-elle.

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Marc Levy

Né le 16 octobre 1961 à Boulogne-Billancourt, Marc Levy connait plusieurs carrières avant de se mettre à l'écriture : le succès de son premier roman, Et si c'était vrai, en 2000, l'incite à se consacrer exclusivement à son activité d'auteur. Bien lui en a pris : à un rythme qui devient rapidement annuel, Marc Levy publie un roman qui devient presque automatiquement un ouvrage classé dans la liste des meilleures ventes.

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Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Marc Voltenauer

Né en 1973 à Genève, Marc Voltenauer se destinait à être pasteur. Après des études de théologie, il réoriente sa carrière vers la banque puis l’industrie pharmaceutique et écrit son premier roman, Le Dragon du Muveran qui a obtenu le Prix SPG au Salon du livre de Genève. 

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Dossier

Romans, nouveautés : les livres de Marc Levy

À 18 ans, Marc Levy s’engage dans la Croix Rouge et il y passe 6 ans. Puis, après avoir créé une société spécialisée dans les images de synthèses en France et aux États-Unis, il dirige un cabinet d'architecture. 

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Jean d'Ormesson

Venu au monde dans le 7e arrondissement de Paris, le 16 juin 1925, au sein d’une famille noble, Jean d'Ormesson s'engagea tardivement, de son propre aveu, dans l'écriture, trop occupé qu'il était à lire. Il publie son premier ouvrage, L’amour est un plaisir, en 1956, aux éditions Julliard, mais son livre La gloire de l’Empire, en 1971, lui vaut une reconnaissance littéraire avec le Grand Prix du roman de l’Académie française.

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Dossier

De Michel Glardon à Jean Richard : histoire des Éditions d'en bas

En raison de la crise sanitaire du Covid-19 et à la suite de la fermeture des librairies, sans oublier l’annulation des salons du livre, les Éditions d’en bas ont choisi la riposte. La maison, qui célèbre ses 45 ans, a souhaité partager son histoire, à travers des podcasts et des vidéos de leurs auteurs. Mais également faire découvrir des livres plus anciens à travers toutes ces années de publications.

Extraits

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Déportation

Revue d'histoire de la Shoah N° 215, mars 2022 : Le cimetière juif dans la Shoah

Qu'est-il advenu des cimetières juifs, certains récents, d'autres immémoriaux, dans la persécution et la Shoah ? Paysages péri-urbains ou ruraux singuliers, ils ont, comme toutes les institutions juives, été bouleversés en Allemagne dès 1933 puis tout au long de la guerre. Suicides et déportations s'y lisent. Parfois, ils ont disparu et été désacralisés, tandis que les corps ont été transférés dans des fosses communes. Pourtant, la plus grande partie des cimetières juifs d'Allemagne et d'Europe n'ont pas été détruits par les nazis. Pendant la guerre, le cimetière juif fut un espace de passage, de transit au coeur de la ville hostile (comme le cimetière juif de Varsovie, adjacent au ghetto) ; il servit à rassembler les Juifs et à leur donner refuge, lorsque tous les autres lieux leur étaient interdits ; il fut le dépôt ultime des corps des victimes (juives ou non) auxquels était refusé tout traitement funéraire humain, entraînant l'ouverture de fosses communes ; il offrit aussi un cadre aux exécutions. Après la Shoah, les cimetières abandonnés, privés de leurs morts "naturels", sont demeurés les lieux témoins de la catastrophe juive, en dépit des mouvements de réenterrement – les parents survivants recherchant les corps des disparus pour les rendre au cimetière juif. A l'absence des tombes répond la construction de milliers de mémoriaux dans les cimetières mêmes, dédiés à ceux qui sont morts dans les camps, dans la clandestinité. Lieu du recueillement, lieu pour penser à la mort des disparus de la Shoah, le cimetière juif est aussi le lieu des traces d'années de persécution, celles gravées sur les pierres tombales des morts prématurées, celles que forment les espaces vides, en attente de morts jamais venus...

03/2022

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Critique littéraire

La griffe du temps. Ce que l'histoire peut dire de la littérature

Aux devantures des librairies, on ne compte plus les ouvrages d'historiens réfléchissant gravement à leur rapport avec la littérature. Doivent-ils en faire une source de leur savoir, mais en contextualisant la fiction depuis leur surplomb, au risque de ne pas faire mieux que l'histoire littéraire et manquer ce que fait la littérature ? Ou bien recourir à l'écriture de la fiction, quitte à s'installer prosaïquement dans l'entre-deux-genres d'une classique monographie ? Judith Lyon-Caen propose une aventure plus ambitieuse : à partir d'une nouvelle de Jules Barbey d'Aurevilly, "La vengeance d'une femme" , l'historienne part de ce qu'est la littérature : une expérience d'être au monde, pour mesurer l'éclairage que sa discipline peut apporter à la mise en écriture romanesque. Ainsi de ces myriades d'objets, de parures, de rues et boulevards ou de lieux parisiens dont la description a pour fonction d'attester la réalité du récit : l'historien décrypte ces traces du temps, que ce soit le temps de la rédaction ou celui de l'action du récit, en retrouve l'origine, réfléchit à la manière dont le romancier en a été affecté. Non pas pour réduire l'écriture romanesque à un ancrage dans une époque, mais, au contraire, pour éclairer comment une époque nourrit le sens d'une écriture. L'historien en "herméneute" du matériau littéraire, en quelque sorte. Une invitation à apprendre à mieux lire ce qui fait la littérature et ce que fait un romancier.

02/2019

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Beaux arts

Jean-Marc Bustamante

Jean-Marc Bustamante représente la France à la 50e Biennale de Venise en 2003. Un livre consacré à l'ensemble de son travail paraît à cette occasion aux Éditions Gallimard. Celui-ci s'ouvre en 1978 par une série de paysages photographiques intitulés «Tableaux» - zones périurbaines, chantiers de construction, sites en cours d'aménagement - dont Bustamante tirera pour une part les motifs et les matériaux de son ouvre à venir, élargie toujours plus au-delà du champ de la photographie. La sculpture, le dessin, l'architecture, entre autres médiums, seront ainsi explorés. Les auteurs de cet ouvrage s'attachent à analyser en détail les ramifications de cette production artistique aussi complexe que variée, caractérisée cependant par le souvenir omniprésent du modèle photographique et par un fréquent souci du rapport à la tradition picturale moderne. On verra également comment l'oeuvre de Bustamante s'inscrit en regard de celle de certains de ses prédécesseurs (les minimalistes, par exemple) ou contemporains, et comment elle puise à un fonds tout personnel d'images trouvées qui valent pour lui comme autant de sources et ressources.

09/2003

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Littérature française

Jeannine et Jean-Marc

Après s'être farouchement attaqué à Christine, le Destin va s'en prendre à ses enfants, devenus orphelins, et élevés par leurs grands-parents paternels. Les grands-parents Coste vont succomber également aux armes les plus perverses du Fourbe. Mais la famille s'est agrandie par la connaissance d'un garçon qui deviendra le mari de Jeannine et d'une jeune fille qui deviendra la femme de Jean-Marc. Ils ont tous appris à anticiper les mauvais coups des Forces du Mal. Jean-Marc et Jeannine vont tenter par tous les moyens de contrecarrer ce Démon qui a tué leur mère. Qui sortira vainqueur ? La famille Coste est puissante, à présent, et le Démon sera sûrement vaincu. Des personnages vont refaire leur apparition, des personnages qui avaient pris part à la vie de Christine.

07/2018

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Sciences historiques

Caen

Au début du XXe siècle, on trouve à Caen plusieurs dizaines de photographes qui éditent des milliers de photos et cartes postales. Leurs images évoquent les marchés, les places, le tramway. Leurs objectifs nous plongent au coeur des rues de la ville, on y voit nos aïeux dans leur vie quotidienne. Au fil des pages, la promenade nostalgique nous emmène dans les vieilles rues de la ville, on retrouve des boutiques réputées, on revit des évènements inhabituels, des jours de fêtes. Rejoignons-les caennais !

11/2019

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Théâtre

Judith aussi

Deux amies ou deux actrices (?) vivent ou jouent (?) plusieurs fois la même scène anodine, proche du vide, mais tout en variations, selon de nouvelles péripéties. Un homme les rejoint, directeur de casting sans doute. Et cela part dans des histoires ordinaires de sentiments, de sexe, de jalousie... L'auteur brouille volontairement les cartes, laissant personnages et lecteur comme des pantins dont il se plaît à tirer les ficelles. Ce texte à la langue rapide, directe, percutante, est singulier, ambivalent, mystérieux. Il repose sur trois fois rien, mais grâce à une mécanique qui se grippe peu à peu, il dessine un théâtre moins banal qu'il n'y paraît. Le Québécois Pier-Luc Lasalle propose ici une mise en abyme de la téléréalité et de la société du spectacle, dans laquelle nous ne sommes parfois que des pions.

11/2010

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