Recherche

Hélène Lewandowski

Extraits

ActuaLitté

Troisième République

La face cachée de la Commune

1871. Au lendemain de la guerre franco-prussienne, Paris est le théâtre de la Commune, dernière révolution du XIXe siècle, au cours de laquelle les plus beaux monuments disparaissent dans les flammes. Ces incendies ont-ils été aussi destructeurs que le prétend la version officielle ? Les communards sont-ils les seuls responsables de ce bilan ? Et si ce vandalisme avait offert à la bourgeoisie l'opportunité de métamorphoser Paris en capitale de la modernité? Hélène Lewandowski nous conduit à travers les ruines encore fumantes pour nous dévoiler les conséquences inattendues de cette guerre civile et les secrets de la reconstruction de Paris.

09/2024

ActuaLitté

Troisième République

La face cachée de la Commune

Les incendies de la Commune ont-ils été aussi destructeurs que le prétend la version officielle ? Les communards sont-ils les seuls responsables de ce bilan ? Et si ce vandalisme avait offert à la bourgeoisie l'opportunité de métamorphoser Paris en capitale de la modernité? C'est la thèse d'Hélène Lewandowski, qui raconte ici une autre histoire de la dernière révolution du XIXe siècle. En mai 1871, la Commune prend fin. Le palais des Tuileries et l'Hôtel de Ville sont réduits en cendres. Pris d'assaut par les touristes, les monuments calcinés sont à l'origine d'une économie florissante : vente de guides, plans illustrés, albums-souvenirs, organisation de voyages par les Cook's Tour de Londres... Un siècle et demi après, voici un livre qui révèle comment cette insurrection, loin de détruire la ville modelée par le baron Haussmann, a servi la bourgeoisie en favorisant une transformation qu'elle attendait pour stimuler une industrie qu'elle possédait. Un parcours à travers les ruines qui dévoile les secrets de la reconstruction de Paris.

05/2018

ActuaLitté

Histoire de l'architecture

Le Palais d'Orsay

L'incroyable histoire du palais d'Orsay commence en 1808, quand Napoléon décide de faire construire un bâtiment sur-mesure pour son ministère des Relations extérieures. Bientôt les guerres engloutissent les budgets et, à la chute de l'Empire, les murs ne s'élèvent que de quelques mètres. Délaissé sous la Restauration, l'édifice est sauvé par la monarchie de Juillet et devient le siège du Conseil d'Etat et de la Cour des comptes. En mai 1871, les incendies de la Commune contrarient à nouveau son destin. Sa restauration semble possible, mais les tergiversations de la IIIe République le condamnent à des décennies de ruines. En 1898, il laisse place à la gare d'Orsay, ancêtre du musée que nous visitons aujourd'hui. Hélène Lewandowski peint à fresque la première histoire de ce symbole d'un temps où démesure rimait avec politique. Elle raconte comment le palais d'Orsay, objet d'admiration et de critiques des plus grands écrivains, Victor Hugo, Emile Zola ou encore Théophile Gautier, rencontre les rêves de Napoléon, les ambitions de Louis-Philippe, les faiblesses de la IIIe République et se confond avec l'histoire du passionnant et chaotique XIXe siècle.

09/2023

ActuaLitté

Histoire de l'architecture

Le palais d'Orsay

En 1808, Napoléon ordonne la construction du palais d'Orsay pour accueillir son ministère des Relations extérieures. Dès le début du chantier, les problèmes commencent : terrain marécageux, budget englouti par les guerres, etc. A la chute de l'Empire, en 1814, les murs ne s'élèvent que de quelques mètres. Délaissé sous la Restauration, l'édifice est sauvé, trente ans après la pose de la première pierre, par Louis-Philippe. En mai 1871, il est victime des incendies de la Commune. Le monument résiste aux flammes et sa restauration paraît possible, mais les tergiversations de la IIIe République le condamnent à des décennies de ruines. En 1898, il devient une gare bientôt baptisée "Orsay", ancêtre du musée que nous visitons aujourd'hui. Hélène Lewandowski peint à fresque la toute première histoire de ce symbole d'un temps où la démesure rimait avec modernité. Elle montre que le palais d'Orsay est l'objet d'admirations de grands écrivains, Victor Hugo, Emile Zola ou encore Théophile Gautier ; mais est aussi l'objet des rêves de Napoléon Bonaparte, des ambitions de Louis-Philippe, des atermoiements de la IIIe République et se confond finalement avec l'histoire du XIXe siècle.

09/2020

Tous les articles