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Geneviève Sicotte, Martial Poirson, Stéphanie Loncle, Christian Biet

Dossiers

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Dossier

Les livres et poèmes de Christian Bobin

Christian Bobin est un écrivain et poète français né le 24 avril 1951 à Le Creusot, en Saône-et-Loire. Il est particulièrement connu pour son style d'écriture poétique et méditatif, qui explore souvent des thèmes tels que la nature, l'amour, la beauté, et la spiritualité.

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Dossier

Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF)

Le Bureau International de l'Édition Française (BIEF) est une association créée en 1873 par le Cercle de la librairie pour être au service des éditeurs en facilitant leur développement à l'international, l'exportation des titres, mais aussi les achats de droits de traduction. Aujourd'hui, cette mission est sensiblement la même.

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Dossier

“Bien trop Petit”, le livre qu'a censuré Gérald Darmanin

Un roman, recommandé aux adolescents de 15 ans (et plus), a subi les foudres du ministère de l'Intérieur : dans un arrêté signé ce 17 juillet, l'ouvrage a été frappé d'interdiction  de vente aux mineurs. Motif ? Des contenus pornographiques, interdits par la loi.

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Dossier

Samurai Légendes : le préquel, bien avant les Soeurs de l'Ombre

Sortie en novembre 2012, la série Samurai Légendes apporte un autre regard sur le cycle de Di Giorgio et Genêt, cette histoire se déroule 16 ans avant que Takeo ne soit confronté aux Sœurs de l’Ombre. Un ajout essentiel aux événements survenus au cœur du Japon médiéval.

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Dossier

Terres de Paroles 2024 : “Dans le bain du monde”

« Rien de tel qu’un enfant pour vous mettre dans le bain du monde », écrivait Christian Bobin, dans son recueil Tout le monde est occupé (éd. Mercure de France, 1999). Pour cette nouvelle édition itinérante en Seine-Maritime, le festival Terres de Paroles renoue avec littérature, théâtre, cinéma ou encore musique. 

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Dossier

Des livres aux auteurs : à la découverte de l'identité tchèque

Le livre jeunesse tchèque est mondialement reconnu, maintes fois primé et honoré à cinq reprises par le plus prestigieux des prix décerné à un auteur jeunesse : le prix Hans-Christian Andersen, qu’ont notamment reçu Jiří Trnka (1968), Květa Pacovská (1990) et Petr Sís (2012).  Mais malgré cette reconnaissance des pans entiers de son patrimoine nous restent néanmoins à découvrir. 

Extraits

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Critique littéraire

Fiction et économie. Représentations de l'économie dans la littérature et les arts du spectacle, XIXe-XXIe siècles

Au cours du XIXe siècle, dans le cadre de l'émergence progressive des sciences humaines et sociales, l'économie s'affirme de façon polémique comme capable de rendre compte du fonctionnement du réel et même de l'anticiper, bref comme un savoir à prétention hégémonique. Cet essor de la pensée économique, combiné avec le développement effectif du capitalisme, conduit à la généralisation des schèmes de pensée économiques dans le discours social, et ce, du XIXe siècle jusqu'à l'époque contemporaine. Or ces schèmes de pensée se retrouvent aussi dans les fictions proposées par la littérature et les arts du spectacle ; cependant ils y prennent des formes qui impliquent souvent des transformations ludiques ou critiques. En effet une oeuvre est, en soi, une structure où se déploient l'échange, la réciprocité, le don, le gain ou la perte, le vol ou l'appropriation. Mais en raison même de leur statut économique problématique, c'est souvent aux formes parallèles, souterraines et illégitimes de l'économie que les oeuvres se réfèrent. Elles établissent ainsi, en décalage de l'hégémonie et dans un rapport mouvant face à elle, un espace où se représentent autrement la vie sociale et les rapports entre les êtres. De la sorte, elles peuvent opérer une exégèse qui est d'emblée une lecture critique. C'est à l'examen de pans variés de cet imaginaire économique dans la littérature et les arts du spectacle que se consacrent les contributeurs à ce recueil, avec la conviction que les productions esthétiques peuvent aider à saisir et à interpréter, dans la longue durée comme dans le contexte contemporain, les phénomènes économiques qui nous entourent.

11/2013

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Sciences historiques

Combattantes. Une histoire de la violence féminine en Occident

Amazones, saintes en armes, émeutières, résistantes, femmes soldats, activistes luttant contre la domination masculine, la violence sexuelle ou sexiste, les régimes autoritaires, l'esclavage ou le colonialisme, mais aussi terroristes, kamikazes, gardiennes de camps ou délinquantes... Notre histoire est traversée par ces figures de femmes offensives. Elles ont pourtant rarement eu droit de cité dans le récit national et plus largement occidental, faisant au contraire les frais de caricatures qui permettaient d'éclipser la violence prédominante subie par les femmes : de victimes, elles devenaient bourreaux désignés. Preuve que la violence féminine marque les esprits et frappe les imaginaires, aujourd'hui comme hier. Cette violence revendiquée a été longtemps occultée par une histoire écrite par et pour des hommes soucieux de perpétuer le mythe de l'innocence féminine, socle d'un modèle patriarcal qui permettait de reléguer les femmes dans des fonctions subalternes. Si les violences féminines domestiques (infanticide, crime passionnel, violence conjugale), secrètes (empoisonneuse, traîtresse, usurpatrice) ou déviantes (sorcière, criminelle, violeuse, veuve noire, femme fatale) sont aujourd'hui mieux connues, il semble que la violence commise par des femmes au sein de l'espace public le soit moins. Elle s'exprime pourtant au grand jour, réactivant des stéréotypes dépréciatifs tenaces : vénéneuse, poissarde, tricoteuse, incendiaire, virago, pétroleuse, vitrioleuse, suffragette... Autant de termes destinés à évacuer leu sexe faible "d'une sphère publique où sa place n'est jamais considérée comme acquise. Cet ouvrage met en évidence un inconscient culturel aussi puissant que persistant, à l'oeuvre dans nos représentations collectives ; il identifie les figures antiques, souvent mythifiées, de ces femmes d'action, leurs mutations au cours de l'histoire et leur résurgence ambivalente au sein de notre monde contemporain, afin de saisir une question qui interroge notre modernité. Il fait la part belle à une perception féminine longtemps négligée de la violence.

09/2020

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Biographies

Molière imaginaire. Dix mythes fondateurs de sa légende

La vie de Molière a suscité de nombreuses légendes. Elles se sont perpétuées, du fait de l'absence d'archives, des points aveugles de son existence et de la puissance des mythes qu'il a inspirés aussi bien à ses partisans que ses détracteurs. Ils se sont infiltrés jusque dans le discours savant et scolaire, tout en connaissant de nouveaux développements dans les médias et dans les arts aujourd'hui. La survivance de ces idées fausses, d'une étonnante longévité, a contribué à altérer la lecture de l'oeuvre, dont l'interprétation littéraire est souvent réduite à des raccourcis biographiques approximatifs. Ils ont durablement infléchi la réception de ce théâtre jusqu'à nos jours, à la faveur de contre-sens historiques et d'anecdotes contre-factuelles. L'auteur nous livre ici l'archéologie d'une dizaine de mythes, indiquant leurs probables motivations, leurs principaux arguments de réfutation et leurs biais de lecture. A l'heure des fake news, voici un salubre exercice de déconstruction de l'opinion publique, et une incitation à la relecture d'une oeuvre majeure.

11/2023

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Théâtre - Essais

Molière. La fabrique d'une gloire nationale . (1622-2022)

Conçu comme l'album du quadri-centenaire de Molière, cet ouvrage propose d'abord le portrait de celui que l'on considère comme l'homme de théâtre par excellence : auteur, comédien, directeur de troupe, "metteur en scène" , organisateur des divertissements de Cour. Le livre montre que ce mythe national a immédiatement inspiré après sa mort jusqu'à aujourd'hui. Symbole de l'esprit français et de la politique de rayonnement d'un Roi-Soleil, Molière est aussi l'inspirateur d'une tradition artistique qui s'en réclame dès la fin du XVIIe siècle jusqu'au XXe siècle, l'incarnation d'un théâtre populaire, au prix de récupérations et détournements tant dans les arts vivants que dans les arts visuels, industries culturelles et médias de masse. L'ouvrage offre enfin une traversée dans les espaces culturels d'un Molière vu d'ailleurs, par-delà les frontières culturelles et linguistiques, afin de percevoir la façon dont il est perçu en-dehors de l'hexagone, où il a conservé toute sa portée satirique, comme un auteur s'opposant à l'autorité, résistant à l'oppression, antidote à l'esprit de sérieux.

01/2022

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Critique littéraire

Martial

Quoi de neuf à la fin du Ier siècle à Rome ? Martial. Curieux : un poète auquel personne ne croyait, sauf lui. Dont personne d'ailleurs n'a parlé à l'époque, sauf Pline. Et qui, miraculeusement, a traversé les siècles. Parce qu'il était obscène (lascivus) et que les moines copistes raffolaient de ce genre de chose ? Pas seulement. Pourquoi ce poète mineur, venu d'Espagne (près de Calatayud, en Aragon), en 64, à vingt-quatre ans, est-il devenu un mythe, un peu comme Pétrone et son Satiricon ? Voilà le mystère. D'abord, l'épigramme latine lui doit tout. Il est le plus grand épigrammatiste romain, et l'épigramme est un genre très moderne. Le goût de la vacherie, de l'exécution en trois mots, comme Truman Capote, on adore ça. Martial est aussi le chroniqueur de Rome (son " publiciste ", pourrait-on dire). Le bruit infernal, les lumières de la Ville, le luxe des grandes domus (sur l'Aventin ou le Janicule), les caves sordides des prostituées (fornices), les tripots clandestins (popinae). Le Prince ? Un tyran. Il s'appelle Domitien. A régné quinze ans (8196). Les quinze ans (grosso modo) où Martial a publié. Et publié des épigrammes. Très dangereux, tout ça. Comment faire, sinon en flattait ? La flatterie, pour Martial, est une ruse. Sa prudentia à lui. Des gens comme Tacite ou Pline le Jeune, des professeurs de morale, feront toute leur carrière politique sous Domitien, mais ne diront rien. Dans cette société de rapaces, Martial fait servir ses courtes poésies (environ 1500) à ses nécessités personnelles : flatter, complimenter, demander, râler, rire, se venger, etc. Bref, il fait de la poésie (comme disait Lautréamont) une " vérité pratique ". Il pose aussi des questions très actuelles : comment peut-on être bisexuel, s'arranger des pueri (quinze, seize ans) et des puellae ? Peut-il y avoir une écriture du plaisir ? Un bon écrivain est-il un écrivain mort ? Martial restera trente-quatre ans à Rome. Puis rentrera en Espagne, après l'assassinat de Domitien. Presque un exil. Il mourra d'ennui. Etait trop lié à la Ville, à son temps, à l'oreille de Rome. Avec on ne sait quoi de mélancolique qui est, paraît-il, le propre du tempérament espagnol. Et on ne sait quoi de libertin qui le fait ressembler au Neveu de Rameau. Décidément, un auteur d'aujourd'hui.

03/2003

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Littérature française

Geneviève

"Toute l'affaire a duré douze mois. De ma vie, je ne me suis senti en désaccord si profond avec les saisons, les révolutions des astres, les équinoxes. Je me suis détaché pendant douze mois du système solaire. En fait de journal intime, j'ai, pour cette période, deux calendriers des PTT. sur lesquels j'ai mis quelques signes".

11/2012

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