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Gaël Rideau

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Littérature française

Rideau

"La malchance, elle vous saute à la figure. Pas moyen de l'éviter. La chance, elle ne fait que vous frôler. Si vous ne tendez pas le bras, elle passe. Rêvez, sans rien attendre, sans rien espérer, mais battez-vous pour vos rêves et surtout, surtout, ne tournez pas le dos à la chance ! " Et vous, intrépides lecteurs, laissez ce récit incisif vous ébranler dans vos certitudes. Entrez en résonance avec la narratrice. Entre les lignes, il y a toute la place pour que vous glissiez vos propres souvenirs, vos regrets, vos craintes, vos rêves.

10/2019

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Littérature française (poches)

Rideau !

Originaire de province, issu "de la race des fils de petits commerçants", le narrateur est confronté à son passé lorsque la maison de la presse-librairie familiale dans laquelle il a grandi va fermer. Cet événement, qui lui paraît tout d'abord dans l'ordre des choses, le conduit à accompagner sa mère, prise au piège de bouleversements aussi brusques qu'inéluctables. Peut-il l'aider quand les commerces de proximité et les librairies sont chassés des centres-villes ? Qui remplacera les discussions avec les habitués du petit matin, les coups de coeur et les vitrines ? Le rideau métallique va tomber. Entre silences et non-dits, entre délicatesse et questionnement, Rideau !, hommage à la librairie traditionnelle et à tous ceux qui la défendent, témoigne de ces vies que l'on affirme minuscules et des liens sociaux quotidiens qui se tissent dans les rayons.

10/2014

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Histoire de France

Une société en marche. Les processions en France au XVIIIe

Le 1er juillet 1766, le chevalier de La Barre est brûlé pour ne pas avoir salué une procession. Le 4 mai 1789, Louis XVI conduit la procession du Saint-Esprit qui ouvre les Etats-Généraux à Versailles avec des représentants des trois ordres. Dans ces deux images se traduisent la présence et la force de ce rituel religieux qui semble ainsi pérenne et inchangé. Le 18ème siècle est comme pour de nombreux thèmes ici ambivalent. Les processions sont omniprésentes et suivies, comme en témoignent nombre de journaux privés et chroniques municipales, marque d'une ferveur continue, d'un besoin religieux notamment dans sa forme climatique ou mémorielle, que précise ce livre. Elles sillonnent également les écrits de controverses portant sur leur origine, leur sens, leur composition. Leur description abonde dans les articles de presse, les récits de voyage, les oeuvres littéraires. Pourtant, ce paysage animé renvoie des images différentes. Rituel religieux, elle est aussi parade sociale, objet politique, vecteur d'identité et de mémoire urbaines, dans un entremêlement permanent. Cette polysémie et cette présence en font un lieu essentiel d'observation de la société et de ses transformations. Elle participe de la transition religieuse et de la construction d'un nouveau discours pastoral. Elle pose la question des critères de classement d'une société et met en tension les devoirs collectifs et la liberté individuelle. Elle met en scène les pouvoirs, mais offre une tribune à leur contestation. Elle pose la question des modalités de la présence du religieux dans l'espace public et ainsi ouvre aux problématiques de l'ordre public et de la tolérance. Loin d'être un hapax dans un siècle sécularisé, l'affaire La Barre est un des aspects d'expression du sens de la procession. Ce livre veut en proposer une lecture globale contribuant à une relecture religieuse sociale et politique du 18ème.

10/2021

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Histoire de France

Honneur, bourgeoisie et commerce au XVIIIe siècle. Le mémorial à mes enfans du marchand-drapier orléanais, Pierre-Etienne Brasseux

En 1773, le marchand drapier orléanais, Pierre Etienne Brasseux, se 'retire de son commerce et ouvre deux volumes. Le Mémorial à mes enfants veut "mettre devant les yeux de [ses] enfants leur origine bourgeoise". Il y parle d'Orléans, de ses institutions et de sa vie sociale, de son parcours des honneurs, des réformes de Turgot et Necker, de la politique royale, de l'avènement de Louis XVI. Il se désespère de la disparition des Jésuites, critique Voltaire et Rousseau, s'effraie des faits-divers. Par ce récit, étendu de 1703 à 1781, il donne à voir un système de valeurs, fondé sur l'honneur et la vertu marchande. Le second volume, Les hommes célèbres de l'Orléanais, rassemble des notices, reprises de grands dictionnaires de l'époque. S'y côtoient auteurs, évêques, abbés, hommes de science. Ces deux manuscrits, rédigés en parallèle, construisent une figure de notable. Leur auteur se présente comme interprète des événements politiques, pleinement associé à l'élite culturelle du temps qui s'adonne à l'histoire locale. Ils permettent de faire parler le monde marchand, d'approcher un rapport au politique, au religieux, aux affaires économiques, chez un négociant de ville moyenne. Il y associe honneur, commerce, et bourgeoisie. Outre la mise à jour de documents inédits, ces manuscrits sont la trace d'un homme, mais ouvrent sur l'image d'une cité, l'écho d'un temps. Cette édition, accompagnée d'un important apparat critique, contribue à éclairer l'importance de la deuxième moitié du XVIIIe siècle, comme période de basculement, religieux, politique et culturel.

09/2019

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Littérature française

Le rideau

Un soir, au théâtre, le rideau refuse de se lever. Contraints mais déboussolés, les acteurs jouent quand même. Tout comme eux, le monde chavire : chaque jour, des murailles s'élèvent, transformant les pays en contrées retranchées et hostiles… A travers les trajectoires croisées de Caïd, Luana, Ezzou et les autres, ce roman trace un portrait saisissant de notre époque : une planète où les frontières font loi, où les pays se cadenassent, tandis que migrants et réfugiés, relégués derrière un invisible rideau, cheminent sur les bas-côtés de l'existence.

12/2019

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Critique littéraire

Le rideau

" Un rideau magique, tissé de légendes, était suspendu devant le monde. Cervantes envoya don Quichotte en voyage et déchira le rideau. Le monde s'ouvrit devant le chevalier errant dans toute la nudité comique de sa prose... C'est en déchirant le rideau de la préinterprétation que Cervantes a mis en route cet art nouveau ; son geste destructeur se reflète et se prolonge dans chaque roman digne de ce nom ; c'est le signe d'identité de l'art du roman. "

11/2006

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