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Françoise Xenakis

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Regarde, nos chemins se sont fermés

Un jour d'été, l'époux, l'ami depuis plus de cinquante ans, se perd et ne retrouve plus la sente qu'il a tracée dans les montagnes de Corse. C'est le début, à travers la maladie, d'un isolement et d'un silence qui l'excluent peu à peu de toute vie. La femme raconte ses appels de nuit chez les pompiers, le service d'urgence de l'hôpital où les médecins le soignent du mieux qu'ils savent et où errent, entre les brancards des grands malades, les excités, les clochards, les rejetés de partout. Au long de ce récit si pudique et si sincère, Françoise Xenakis exprime une infinie tendresse, une immense compassion pour tous ces meurtris. Grâce à ses mots aigus et son humour inébranlable, on rit, on s'énerve, on est outré, attendri, bouleversé. Un chant d'amour offert à l'homme malade, mais aussi à ces médecins et infirmiers qui, dans le ventre de cet hôpital hors d'âge, s'usent, jours après nuits, à sauver le patient qui souffre, à sourire à un trop perdu...

10/2002

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Regarde, nos chemins se sont fermés

Un jour d'été, l'époux, l'ami depuis plus de cinquante ans, se perd et ne retrouve plus la sente qu'il a tracée dans les montagnes de Corse. C'est le début, en raison de la maladie, d'un isolement et d'un silence qui l'excluent peu à peu de toute vie. La femme raconte les appels de nuit aux pompiers, le service d'urgence de l'hôpital où les médecins le soignent du mieux qu'ils savent et où errent, entre les brancards des grands malades, les excités, les clochards, les rejetés de la vie. Au long de ce récit si pudique et si sincère, Françoise Xenakis exprime une infinie tendresse, une immense compassion pour tous ces meurtris. Grâce à ses mots aigus et son humour inébranlable, on rit, on s'énerve, on est outré, attendri, bouleversé. Un chant d'amour offert à l'homme malade mais aussi à ces médecins et infirmiers qui, dans le ventre de cet hôpital hors d'âge, s'usent, jours après nuits, à sauver le patient qui souffre, à sourire malgré les vicissitudes.

12/2004

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Littérature française

Ecoute

Par petits paragraphes, par phrases, par images, voici dans toute son horreur la guerre. Atrocités, massacres, tortures, nous sommes peut-être au Vietnam, peut-être en Grèce, partout où l'on pend, on fusille, on tue. Par pudeur la voix qui décrit, qui raconte, s'efforce de rester froide. Comme en filigrane se devine l'histoire d'une jeune révolutionnaire et de sa mère. Mêmes gestes, mêmes échecs recommencés, même espoir aussi de ceux qui, contre tous les bourreaux, réinventent la vie.

10/1972

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Littérature française

Un Chagrin d'amour et d'ailleurs

" Allegra, déjà, était l'émouvant portrait d'une femme qui perd pied dans un roman sans espoir, et Dickie Roi, l'expression d'une même quête aveugle. Jeannette, sa nouvelle héroïne, est leur sœur. Si elle boit, si elle se trouve en cure de désintoxication dans une jolie clinique fleurie, ce n'est pas seulement pour oublier sa quarantaine alourdie, ni son mari qui la trompe avec Marie-Christine, sa jeune, son ambitieuse assistante. Il lui manque un sens à la vie, sans doute. " Matthieu Galey, L'express " Pas féministe ? sûrement ! Mais déchirant de vérités si dures à dire, et que Françoise Mallet-Joris n'hésite pas à redire, et autrement, tandis qu'un monde affairé s'agit, chacun fayotant avec le patron... C'est Jeannette la soûlarde la plus pure ; la plus dure, la plus seule aussi, c'est vrai, c'est comme si c'était le prix à payer ! Non, ça n'est pas qu'un petit roman d'amour, ce chagrin d'amour et d'ailleurs... " Françoise Xénakis, le Matin

11/1984

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Littérature française

L'adieu à la femme sauvage

Roman bouleversant, plus que bouleversant de bout en bout... que plus jamais vous n'oublierez. Françoise Xénakis, Le matin. On ne peut s'en arracher... On court à la fin au bord de l'angine de poitrine. Vraiment, c'est un très grand livre. Jean Clémentin, Le Canard Enchaîné. Si vous ne devez lire qu'un livre pendant toute cette année, pas d'hésitation, c'est celui-là. Thérèse Hamel, Marie-France. Dès maintenant, nous pouvons considérer son second livre comme la première pierre de la grande oeuvre romanesque et épique que nous attendons depuis quarante ans. Jean Mistler, Le Journal du Dimanche. Inoubliable. Henri Coulonges a raison: il n'y a rien de plus beau qu'un beau roman. Pierrette Rosset, Elle. L'Adieu à la femme sauvage a obtenu le Grand Prix du Roman de l'Académie Française.

02/1995

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Littérature française

L'Adieu à la femme sauvage

Roman bouleversant, plus que bouleversant de bout en bout... que plus jamais vous n'oublierez. Françoise Xénakis, Le Matin. On ne peut s'en arracher... On court à la fin au bord de l'angine de poitrine. Vraiment, c'est un très grand livre. Jean Clémentin, Le Canard enchaîné. Si vous ne devez lire qu'un livre pendant toute cette année, pas d'hésitation, c'est celui-là. Thérèse Hamel, Marie-France. Dès maintenant, nous pouvons considérer son second livre comme la première pierre de la grande oeuvre romanesque et épique que nous attendons depuis quarante ans. Jean Mistler, Le Journal du Dimanche. Inoubliable. Henri Coulonges a raison : il n'y a rien de plus beau qu'un beau roman. Pierre Rosset, Elle. L'Adieu à la femme sauvagea obtenu le Grand Prix du Roman de l'Académie française.

07/1998

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