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Florence Noiville, Juliette Hirsch

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Actualité et médias

Après. Six femmes pour un monde différent

"Tout commence dans une cuisine, un jour de confinement. Mère et fille. Un long et privilégié tête-à-tête. Dans nos esprits, un brouillard noir : qu'est-ce qui nous attend après la crise du Covid ? A l'aube de quoi sommes-nous ? Lasses d'échanger nos questions sans réponses, nous décidons de les poser à d'autres : des femmes de toutes générations et de tous horizons. Chacune dans son pays traverse l'épreuve de la pandémie, mais beaucoup ont vu bien pire, la dictature, la barbarie... Pourtant, elles agissent, résistent, osent, en dehors des conventions et des idéologies toutes faites. Comment voient-elles le "monde d'après" ? Où puisent-elles leur force vitale ? Leur foi en l'humanité ? Qu'est-ce qui les fait tenir, aller de l'avant ? Elles savent qu'il n'existe pas de solution miracle mais sont convaincues qu'il nous faut maintenant changer de perspective. Leurs plaidoyers sonnent parfois comme ceux de la dernière chance. Mais ils sont de véritables rais de lumière dans l'obscurité. Des paroles refuges pour temps d'incertitude." Juliette Hirsch Florence Noiville.

10/2020

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Jazz, Blues, Soul, Rap, Reggae

Nina Simone. Love me or leave me

Des Etats-Unis jusqu'au Sud de la France, en passant par Londres, l'Afrique et les Pays-Bas, les auteures, mère et fille, sont parties sur les traces d'une artiste magistrale en quête d'absolu et de liberté. Caroline du Nord, 1936. A 3 ans, Eunice Waymon, petite fille noire infiniment douée, donne son premier concert dans une église. A 10 ans, elle refuse de jouer si ses parents ne sont pas assis au premier rang, comme les Blancs. A 18 ans, elle veut devenir concertiste classique mais - à cause de la couleur de sa peau ? - son rêve se brise. Alors elle se rebaptise Nina Simone et, des bars crasseux jusqu'au Carnegie Hall, elle va connaître la gloire. De sa voix puissante, chaude et mystique, elle invente un langage unique - entre jazz, classique, soul et gospel - et chante pour défendre les droits des Noirs. Mais la vie est violente avec cette écorchée vive. Nina flambe son argent et sombre dans les troubles psychiques.

10/2021

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Musique, danse

Nina Simone. Love me or leave me

Caroline du Nord, 1936. A 3 ans, Eunice Waymon, petite fille noire infiniment douée, donne son premier concert dans une église. Elle a su jouer du piano avant même de marcher. A 10 ans, elle lutte déjà contre la ségrégation : lors d'un récital, elle refuse de jouer si ses parents ne sont pas assis au premier rang, comme les Blancs. A 18 ans, elle veut devenir la plus grande concertiste classique noire, mais - à cause de la couleur de sa peau ? - son rêve se brise. Alors elle se rebaptise Nina Simone et, des bars crasseux jusqu'au Carnegie Hall, elle va connaître la gloire. De sa voix puissante, chaude et mystique, elle invente un langage unique, entre jazz, classique, soul et gospel. Amie de James Baldwin, elle chante pour défendre les droits des Noirs aux côtés de Martin Luther King. Mais la vie est violente avec cette écorchée vive : déboires sentimentaux, cupidité de l'industrie du disque, mort de ses frères de combat, difficulté à être une bonne mère... Nina flambe son argent et sombre dans les troubles psychiques. Des Etats-Unis jusqu'au Sud de la France, en passant par Londres, l'Afrique et les Pays-Bas, les auteures, mère et fille à la vie, sont parties sur ses traces. Elles nous offrent le portrait inédit d'une artiste magistrale en quête d'absolu et de liberté.

05/2019

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Critique littéraire

So british ! 23 visages d'écrivains d'Outre-Manche

"A l'âge de neuf ans, je suis tombée amoureuse de la langue anglaise. J'écoutais la BBC sans comprendre, comme on écoute une musique. Puis j'ai aimé l'Angleterre, le pays et ses écrivains..." Au Monde, l'anglomanie de Florence Noiville est connue. Elle est toujours volontaire pour franchir les trente-sept kilomètres qui séparent Calais de Douvres. Au fil du temps, elle a ainsi rencontré la plupart des écrivains qui comptent de l'autre côté du "Channel". Avec certains, des liens privilégiés se sont tissés. Autour de la littérature bien sûr, mais pas seulement : "J'ai parlé de peinture avec William Boyd, de cuisine avec Julian Barnes. J'ai plaisanté avec David Lodge au sujet de la France, joué à cache-cache avec Ian McEwan et recueilli la dernière interview, à Berne, de John le Carré..." Le tout a fini par constituer une galerie de portraits intimes, décalés, non conventionnels. Ce sont vingt-trois d'entre eux qui sont réunis ici. Tous ont paru dans Le Monde des livres entre 1997 et 2013. Par petites touches, ils composent un tableau vivant et coloré de la littérature d'Outre-Manche - celle qui est en train de s'écrire. Stefan Zweig avait beau dire que "la véritable Angleterre, c'est Shakespeare", qu'avant lui tout n'est que "préparation" et qu'après lui il n'y a plus que "contrefaçon boiteuse", ce qui se dégage de ces textes, au contraire, c'est la vitalité extraordinaire du roman anglais où se mêlent, depuis quelques décennies, la prose la plus classiquement "british" et le souffle régénérateur venu de l'ancien Empire. Ce qui se publie à Londres aujourd'hui ? Une littérature globale, souvent au meilleur sens du terme.

10/2013

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Littérature française

L'illusion délirante d'être aimé

"Une évidence. Une évidence aussi tangible qu'une pierre au milieu d'un jardin : C. est persuadée que je l'aime, que je l'ai toujours aimée. Comment puis-je faire semblant d'avoir oublié ?". L'illusion délirante d'être aimé est une maladie, chronique, dangereuse, et parfois mortelle, nommée syndrome de Clérambault, car elle fut découverte par le célèbre psychiatre. C'est aussi un roman implacable, un thriller des sentiments : l'histoire d'une obsession et d'une dépossession. Un amour à perpétuité. Un amour qui ne peut que mal finir. Milan Kundera a dit de ce roman de Florence Noiville : "Ce que dévoile L'Illusion délirante d'être aimé, c'est la présence aussi forte qu'inexplicable de l'amour dans la haine".

08/2015

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Critique littéraire

Isaac Bashevis Singer

Isaac Bashevis Singer détestait les biographies : " C'est l'œuvre qui compte, disait-il, pas le bonhomme. " J'ai quand même mis mes pas dans les siens. J'ai tenté de reconstituer ses trente premières années, en Pologne. Je suis allée à Leoncin, sur la Vistule, et à Radzymin, le village de son enfance. J'ai cherché ce qui avait pu échapper à l'enfer nazi, et retrouvé quelques très vieux témoins qui l'avaient connu à Varsovie. J'ai interrogé le fils que Singer avait laissé derrière lui, en Pologne, à l'âge de cinq ans... À New York, j'ai convaincu des femmes qui comptèrent dans sa vie de bien vouloir me parler de lui. À Stockholm, j'ai rencontré ceux qui, en 1978, décidèrent d'attribuer le prix Nobel à ce grand écrivain qui s'exprimait dans " la langue de personne ". Peu à peu m'est apparu, derrière le facétieux fabuliste de l'âme juive, un champion du désarroi physique et métaphysique, l'un des virtuoses les plus modernes de l'angoisse, de l'inhibition et du fiasco. Ce Singer-là est à mille lieues des stéréotypes généralement véhiculés sur lui. Qu'il me pardonne donc cette biographie, qui n'est pas un ouvrage de chercheur, mais une lecture de sa vie. Ce livre contreviendra peut-être à sa conception des écrivains et de la littérature. Mais, après tout, il a bien connu, lui aussi, le plaisir de la transgression. (Florence Noiville)

10/2003

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