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Fabien Ribery, Marc Loyon

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Dossier

Livres, actualités : tout sur Marc Levy

Né le 16 octobre 1961 à Boulogne-Billancourt, Marc Levy connait plusieurs carrières avant de se mettre à l'écriture : le succès de son premier roman, Et si c'était vrai, en 2000, l'incite à se consacrer exclusivement à son activité d'auteur. Bien lui en a pris : à un rythme qui devient rapidement annuel, Marc Levy publie un roman qui devient presque automatiquement un ouvrage classé dans la liste des meilleures ventes.

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Roman, nouveautés : les livres de Marc Voltenauer

Né en 1973 à Genève, Marc Voltenauer se destinait à être pasteur. Après des études de théologie, il réoriente sa carrière vers la banque puis l’industrie pharmaceutique et écrit son premier roman, Le Dragon du Muveran qui a obtenu le Prix SPG au Salon du livre de Genève. 

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Romans, nouveautés : les livres de Marc Levy

À 18 ans, Marc Levy s’engage dans la Croix Rouge et il y passe 6 ans. Puis, après avoir créé une société spécialisée dans les images de synthèses en France et aux États-Unis, il dirige un cabinet d'architecture. 

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Livres, actualités : tout sur Andrée Chedid

Née le 20 mars 1920 au Caire, en Égypte, sous le nom Andrée Saab, Andrée Chedid y mène ses études, apprenant le français et l'anglais, et utilisant de manière ponctuelle l'arabe. Avec son mari Louis Selim Chedid, qu'elle épouse en 1942, elle part au Liban l'année suivante, où elle publie son premier recueil poétique, On the Trails of My Fancy, sous le pseudonyme A. Lake.

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Romans, essais, dictées : tous les livres de Bernard Pivot

Bernard Pivot, né le 5 mai 1935 à Lyon et décédé le 6 mai 2024, est une figure emblématique de la culture française, célèbre pour son rôle de journaliste, animateur de télévision et défenseur passionné de la langue française. 

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Bandes dessinées, nouveautés : les livres de Chloé Cruchaudet

Chloé Cruchaudet, née à Lyon en 1976, a établi sa résidence dans cette même ville. Élevée par des parents antiquaires, elle a été immergée dès son plus jeune âge dans des environnements liés à l'histoire et à la littérature.

Extraits

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Photographie

Mise au point. Entretiens : didier ben loulou, fabien ribery, conversation

Didier Ben Loulou ne sépare pas l'incarnation de l'invisible, la pure présence d'une force agissante transcendante, la beauté d'une conscience harmonique suprême, la rareté de la richesse, la noblesse d'âme de la pauvreté. Depuis plusieurs années, ces thèmes faisaient partie de nos conversations, ayant lieu très souvent dans un café parisien. Nous avons décidé d'en faire un livre, non pour clore définitivement nos spéculations, mais pour mieux les relancer en les accompagnant de photographies, dans la dimension d'un work in progress qui n'aura pas de fin. Fabien Ribery.

06/2019

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Photographie

De la limite à la marge

C'est à l'occasion d'une résidence d'artiste organisée par le Centre des arts de la ville de Douarnenez en 2017 que j'ai découvert le travail de Marc Loyon : il venait me présenter son souhait de pénétrer dans les réserves du Port-musée pour y saisir la dimension d'une collection "hors-norme" conservée dans des espaces qui ne le sont pas moins. Il n'a pas eu beaucoup de mal à me convaincre et je garde de ce premier échange un souvenir ému : alors qu'il me présentait son travail en cours et ses tirages plus anciens, les noms et les recherches de Bernd et Hilla Becher, de Robert Adams ou de John Davies se rappelaient à mon souvenir. Incontestablement il y a dans la démarche de Marc Loyon une filiation, une parenté d'esprit avec eux : une aspiration à saisir un paysage en transformation, à appréhender une réalité de terrain en explorant son modèle urbain ?

03/2020

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Photographie

Elégies. Résidence 1+2, Edition 2019

Matthieu Gafsou Notre relation au monde change. Le futur est désormais vu comme un horizon inquiétant. Le point de départ de ce projet vient certainement de la transformation qui s'est opérée dans ma relation au monde : l'effritement d'une vision d'avenir sereine, l'apparition de l'angoisse. Il s'agit d'explorer la notion d'effondrement, considérée comme un nouveau récit de civilisation. [... ] Matilda Holloway Un curieux aura entoure l'idée du laboratoire. Entre hypothèses, mesures, observations, expériences et découvertes, le laboratoire scientifique retient un formidable potentiel d'imaginaire, incarne une place forte de la connaissance. La dimension structurante des savoirs qui s'y modèlent est fascinante ils orientent notre conception du et rapport au monde, tout en conservant un versant mystérieux. [... ] Manon Lanjouère De tout temps, l'homme observa la voûte céleste. Toujours présente au-dessus de sa tête, les planètes et les étoiles ont stimulé l'imagination de l'homme, suscité''

11/2019

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Actualité politique France

Qui connaît Fabien Roussel ?

Le plaisir est-il une valeur de gauche ? Qu'est-ce que le peuple ? Peut-on être communiste et défendre les petits patrons ? Faut-il autoriser ceux qui le souhaitent à travailler au-delà de 60 ans ? Le voile islamique est-il un problème en République ? Vaut-il mieux parler de "violences dans la police" que de "violences policières" ? Comment lutter contre les antivax sans imposer de vaccin ? Est-on encore révolutionnaire quand on considère que les personnes l'emportent sur les idées ? Toutes ces questions, et bien d'autres, sont abordées dans des entretiens sans filtre, que Fabien Roussel a bien voulu ac-corder à Raphaël Enthoven. Il en résulte un dialogue vivant, un livre étonnant où s'entremêlent politique et philosophie. Un livre précieux où se dessine, peut-être, le meilleur portrait du candidat communiste à l'élection présidentielle.

03/2022

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Photographie

Fuck You Jean-Marc Chapa

La Belgique ose tout, et surtout l?insolence. Mais que fait la police ? Jean-Marc Chapa sévit encore. Le photographe liégeois ne transige pas avec son art : il le veut de nuit et de sueur, de foutre et de lumière indécente. FUCK YOU est un autoportrait à la passoire renversée sur la tête, un livre à offrir à nos amis les extraterrestres, si jamais ils cherchent à comprendre un peu de quoi relève l?humaine condition. (Fabien Ribery)

03/2021

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Thèmes photo

Lost Shadows

En Camargue, Marco Rigamonti a rencontré un monde premier, l'eau et la terre épousant leurs intensités sous un ciel de lumière pure. Les paysages qu'il contemple sont silencieux. L'homme est passé par là, qui disparaîtra plus vite que la forme des lieux. Percevant les correspondances entre les objets façonnés et le territoire qui les porte, le photographe aborde l'espace comme on le respire, calmement, les poumons se remplissant d'air, puis se vidant. Ses images sont ainsi dépouillées d'affects faciles ou de sentimentalité, la psychologie étant le plus souvent une taie entre le regardeur et les scènes qu'il reçoit. Au pays des manades, Marco Rigamonti propose un voyage dans l'ocre et la grâce de toute présence, entre allègement du moi et solennité très ancienne. Il y a dans ses rectangles de vision de la gravité, mais aussi de l'absurde et de l'humour spontané, sans moquerie. L'émouvante intimité des choses y rencontre le saugrenu, ou l'incongru, et l'éclat de la vérité de ce qui est, simplement baigné de soleil, la malice du spectateur. On entre en ses photographies comme on pénètre dans une arène sans savoir d'où viendra l'animal qu'il nous faudra affronter dans un combat plus spirituel que physique. Les signes de la culture camarguaise sont montrés, entre sentiment de survivance de l'ethos d'un peuple et surprise d'advenue. Si l'on perçoit ici de l'oisiveté, ce n'est pas au sens du vice que déploraient nos grands-mères, et les affairés du Spectacle tournant sans fin dans le vide, mais au sens du souci du soi des Antiques, cette sagesse dans l'approche du temps et des corps jetés dans l'impermanence. C'est une attente sans drame sous la brise chaude, ou les rayons de plomb, une conscience de la maturation nécessaire pour que chaque entité - végétale, animale, humaine - arrive à son terme en développant le meilleur de son suc. Marco Rigamonti a photographié un Far-West français à la fois drôle et sauvage, ouvert à tous les êtres ayant su préserver leur part d'indocilité, leur liberté, leur grain de folie. La Camargue qu'il révèle, sèche et recouverte d'eau séminale, est une puissance, un royaume camarade pour les solitaires, un désert où affronter, front droit, la Camarde. Dans le dialogisme de ses images, un tuyau d'arrosage est bien plus qu'une ligne de caoutchouc serpentant dans le sable, c'est aussi, dans la conversation secrète des formes, l'arcature surplombant une fontaine en construction, le rail d'un train fantôme, ou la courbe délicieuse d'un tobogan. S'il est identifiable sur une carte de géographie, l'espace qu'arpente l'artiste italien est aussi de l'ordre d'une cosa mentale peuplée de signes pouvant paraître étranges pour les non-initiés, comme des archétypes sibyllins. On peut penser à la peinture métaphysique de Giorgio De Chirico, et à la sensation troublante d'un monde de pure autonomie échappant à la causalité ordinaire. En ces territoires de sable et de poussière, des Aliens débarqueront peut-être, les tables de pique-nique arachnéennes n'étant d'ailleurs pas sans rappeler tel épisode fameux de La Guerre des étoiles. Par petites touches et décalages de détails, presque imperceptiblement, Marco Rigamonti nous fait entrer dans une fiction où un homme torée une camionnette, et où les éléments de la réalité semblent concourir à la construction d'un vaste trompe-l'oeil. Plane en ce pays unique, et rempli d'artefacts, une âme taurine gigantesque, comme si le moindre acte, la moindre scène, était regardée par qui a déjà été soumis au combat ultime, et l'a perdu. Voyant défiler les grandes étapes de son cadre familier, le bel animal trépassé prend le temps, luxe pour une noble bête à cornes élevée pour la lutte - mais l'éternité n'est pas pressée -, d'aller flâner du côté de Piémanson, de ses caravanes parfois éventrées, de ses pirates, de ses baigneuses graciles et de ses touristes égarés. Par la stupeur sereine de ses images, et leur douce ironie, le photographe affirme qu'il n'y a pas de pureté identitaire, mais un jeu, certes sérieux, intime, avec les codes de l'appartenance, ce qui ne peut que réjouir. Faulkner l'écrivait : "Le temps ne passe pas, il n'est même pas passé". Fabien Ribery

09/2023

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