Un roman, recommandé aux adolescents de 15 ans (et plus), a subi les foudres du ministère de l'Intérieur : dans un arrêté signé ce 17 juillet, l'ouvrage a été frappé d'interdiction de vente aux mineurs. Motif ? Des contenus pornographiques, interdits par la loi.
Mandaté par Françoise Nyssen, ministre de la Culture, faisant suite aux promesses de campagne d’Emmanuel Macron, Érik Orsenna est devenu rapporteur. Aux côtés de Noël Corbin, il s’est embarqué dans un tour de France des bibliothèques, pour évaluer la situation, et proposer des solutions pour valoriser les lieux.
Sortie en novembre 2012, la série Samurai Légendes apporte un autre regard sur le cycle de Di Giorgio et Genêt, cette histoire se déroule 16 ans avant que Takeo ne soit confronté aux Sœurs de l’Ombre. Un ajout essentiel aux événements survenus au cœur du Japon médiéval.
Quelques semaines après l'élection présidentielle qui a reconduit Emmanuel Macron à l'Élysée pour un nouveau mandat de cinq ans, les élections législatives recomposeront l'Assemblée nationale. Les députés, à la fois législateurs et contrôleurs de l'action de l'État, s'intéressent assez logiquement à la culture et au livre.
La dissolution de l’Assemblée nationale au sortir des élections européennes conduit les Françaises et Français à retourner aux urnes. La décision d’Emmanuel Macron a entraîné une campagne où les candidats des différents partis militent pour décrocher des places de parlementaires. Dans l’industrie du livre, la mobilisation grandit et les déclarations se multiplient.
Dans la continuité de la série mère, Samurai, les créateurs Frédéric Genêt et Jean-François Di Gorgio ouvraient un nouveau cycle avec Samurai Origines, en septembre 2017. Un scénario dynamique et saisissant qui nous entraîne dans un voyage initiatique au cœur du Japon médiéval. Mais cette fois, en remontant à l’enfance de Takeo, leur personnage principal.
Littérature française
02/2022
Littérature française
01/2023
Littérature française
02/2018
Théâtre - Pièces
01/2023
Littérature française
Le 15 avril 2010, dans l'enceinte de Pontorgueil, une bourgade érigée dans un triangle fictif avec Verrières et Valsaunier pour voisines, se déroule un drame : la cathédrale, emblème de la ville, est ravagée par les flammes et s'effondre. Reste l'énigme : est-ce un funeste accident ou un acte prémédité ? Bien que la réponse demeure inconnue, cet épisode tragique révèle une relation amoureuse clandestine entre l'évêque et une fidèle de sa paroisse. Au-delà, le récit plonge dans l'exploration minutieuse de la vie sociale d'une province typique, où chaque personnage, tout en dissimulant ses fautes, tisse des alliances et s'emploie, avec une obstination variable, à démasquer l'incendiaire : soit un migrant africain, coupable idéal par excellence, soit un rejeton d'une famille aisée, pourvu d'un mobile convaincant mais dépourvu d'alibi, soit encore un marginal, égaré dans les vapeurs de son addiction.
De cet incendie, l'évêque et sa maîtresse émergent profondément bouleversés. Radicalement séparés et ayant perdu leur foi, ils s'efforcent, avec plus ou moins de succès, d'allumer des feux de diversion pour sauvegarder ce qui reste intact en eux. Les autres protagonistes, quant à eux, s'ingénient à tirer profit de la situation, une démarche nettement plus pragmatique et donc plus susceptible de réussir.
Le roman, en alternant les perspectives sur l'incendie et ses répercussions, tisse une trame narrative centrée sur le motif du feu : feu du désir, de la passion amoureuse, de la controverse, ou de l'enfer – un feu qui, selon les circonstances, détruit ou régénère. Il offre avant tout une chronique savoureuse de la mesquinerie quotidienne et un hommage subtil à l'ambiguïté de la vérité.
01/2024
Littérature française
08/2013