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Djilali Boukhari

Extraits

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Littérature française

La Dysharmonie

A travers les yeux – et les poings – de Tonio et Ali, deux amis d'enfance, Djilali Boukhari nous immerge dans la vie d'un quartier populaire. Entre les matchs de boxe et les heures passées sur la "plaque chauffante" avec les copains, Jean et Michel, entre les injonctions religieuses et familiales, entre les barres d'immeuble, les patrouilles de bétaillères et le trafic de livres érotiques, entre les tabous et les amours impossibles, on s'installe avec curiosité dans le quartier Paul-Mistral, un microcosme propice aux rires et à la violence, aux aventures et à l'amitié. Tonio et Ali s'engagent, chacun à leur manière, dans une quête à la fois surréaliste et douloureuse : celle de leurs origines. A travers leurs deux histoires croisées, leurs questionnements, leurs découvertes du monde et leurs désillusions, l'auteur révèle la difficile et éprouvante expérience de la construction de soi. Il nous fait ressentir les doutes, les affres et, plus largement, les émotions de deux jeunes hommes confrontés à un milieu social complexe.

12/2021

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Islam

Al-bukhari

Figure incontournable de l'islam, al-Bukha?ri? est l'un des plus célèbres the?ologiens et traditionnistes du 3e sie?cle he?girien. Connu pour son travail dans le domaine du H?adi?th et la publication du S?ah?i?h?, le recueil le plus fameux du genre, al-Bukha?ri? n'a pourtant, en langue française, aucune véritable biographie digne de son nom. Son parcours, de ses études à sa renommée, ainsi que sa personnalité, son contexte, et le reste de son oeuvre, sont restés le plus souvent méconnus du grand public. Et pourtant ! Découvrez ainsi, au travers de notre ouvrage, la vie d'un érudit qui n'a pas manqué d'être exceptionnelle.

06/2022

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Guides étrangers

Ouzbékistan. Samarcande, Boukhara, Khiva

Des splendeurs bleues et or de Samarcande à la ville sainte de Boukhara qui peut s'enorgueillir de posséder presqu'une mosquée pour chaque jour de l'année, en passant par le khanat de Khiva entouré de déserts, le patrimoine architectural de l'Ouzbékistan est tout simplement extraordinaire. Irriguées par les eaux du Toit du monde, ses oasis fertiles ont attiré, tout au long de l'histoire bimillénaire de la Route de la Soie, d'innombrables voyageurs et conquérants qui ont profondément marqué l'histoire humaine : Gengis Khan, Tamerlan et bien d'autres ont légué un héritage dont on peut encore aujourd'hui admirer les vestiges. Les fouilles archéologiques, dont certaines très récentes, ont mis à la lumière des documents et des objets permettant de mieux comprendre les relations historiques complexes entre Orient et Occident. Ce guide met en valeur les richesses des sites et la vie colorée de cette ancienne république soviétique au coeur de l'Asie centrale. Il propose également les excursions les plus intéressantes dans les républiques voisines du Kazakhstan, du Kirghiiistan et du Turkménistan.

09/2019

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Documentaires jeunesse

L'Algérie

L'Algérie présentée aux jeunes lecteurs en douze étapes qui couvrent géographie physique, économique, humaine, culturelle, mais aussi la faune et la flore. L'auteur, un universitaire algérien, et l'illustrateur, un artiste plasticien très talentueux, proposent un album qui est un bel hommage à leur pays d'origine.

10/2008

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Littérature étrangère

Souvenirs de voyage pour les gens de Boukhara

L'activité des cercles lettrés de Boukhara, de la fin du XVIIIe siècle jusqu'au milieu des années 1920, fut marquée par une exceptionnelle effervescence. Au point que la Noble Cité put servir longtemps de lieu de ralliement de tout ce que l'Asie centrale comptait de musulmans soucieux de renouveau social et intellectuel. Le protectorat russe, établi en 1873, devait entraîner la formation d'une classe de négociants autochtones liés à la culture du coton et de la soie. Cette première bourgeoisie étendit rapidement ses activités au-delà de l'Asie centrale ; soucieuse de ses intérêts propres face au capital russe, elle se montra aussi solidaire des mouvements de modernisation et d'émancipation qui parcouraient le monde musulman au tournant des XIXe et XXe siècles. C'est à cette classe qu'appartenait Mîrzâ Sirâdj ad-Din Hakîm (1877-1914). Négociant boukhariote en soie et coton, il se lança dans des activités commerciales qui l'amenèrent à entreprendre, un beau jour de juin 1902, un long voyage d'affaires et d'agrément en Europe, via Istanbul, Londres, Marseille et Moscou. Les vicissitudes de son commerce devaient ensuite le contraindre à huit années d'incessants déplacements, riches en péripéties, entre l'Iran, divisé par la révolution constitutionnelle, l'Afghanistan des émirs modernisateurs et l'Inde déliquescente des derniers nababs. Le récit de ces voyages est très classique, par des schémas et un ton d'objectivité qu'il emprunte au genre du récit de pèlerinage. Mais c'est dans ce cadre que les Souvenirs de Mîrzâ Sirâdj trouvent leur caractère novateur - par un effet de désacralisation de l'espace et de brouillage des frontières entre islam et non-islam - à l'aube d'un siècle qui, vu d'une Asie centrale bientôt livrée au stalinisme, devait se montrer, d'une manière générale, peu amène envers les tentatives d'instauration d'un libéralisme islamique.

09/1999

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Tourisme étranger

LES CITES LEGENDAIRES D'ASIE CENTRALE. Samarkand, Boukhara, Khiva

Longtemps, Samarkand, Boukhara et Khiva passèrent pour trois des plus belles villes du monde. Emergés des sables des déserts d'Asie centrale tel un décor de théâtre, le mirage des dômes d'un bleu éclatant, les minarets gracieusement élancés et les revêtements de céramique aux mille chatoiements attirèrent et fascinèrent pendant des siècles voyageurs et conquérants. Pour les marchands du Moyen Âge qui, empruntant la fameuse route de la soie, se trouvaient soumis aux rudes fatigues de leur périple vers la Chine, ces villes n'étaient rien moins que le paradis. Rattachées à la Russie depuis le siècle dernier, les grandes cités d'Asie centrale étaient encore il y a peu totalement interdites aux visiteurs occidentaux. Aujourd'hui, grâce au récit de Robin Magowan et aux cent soixante-dix photographies du grand artiste russe Vadim Gippenreiter, les merveilles de Samarkand, Boukhara et Khiva s'offrent enfin à nous. En complément, une sélection de précieuses photographies noir et blanc du début du siècle donne un aperçu significatif de la vie à Samarkand et Boukhara avant l'instauration du pouvoir soviétique. En déambulant ainsi dans Samarkand, la Rome de l'Asie centrale, comment ne pas être médusé par l'architecture monumentale, vivant témoignage du génie de Timu (Tamerlan), peut-être le plus grand conquérant que le monde ait jamais connu ? L'auteur nous invite à le suivre à travers le labyrinthe des rues de Boukhara, dont le renom de cité sainte de l'islam ne le céda pendant de longs siècles qu'à celui de La Mecque ou Médine. Avec lui, nous découvrons, émerveillés, les incroyables entrelacs des panneaux de bois sculpté et des céramiques de la cour royale de Khiva, l'Ichan Kala, construit par cinquante mille esclaves il y a moins de deux cents ans. Au récit de cette tumultueuse histoire et à la description de l'architecture incomparable de ces cités légendaires, sont mêlées des remarques notées sur le vif à propos des mœurs et des populations d'aujourd'hui. Nous voici tour à tour conviés à un mariage, découvrant à travers une épaisse buée l'intérieur d'un bain public, délicieusement sollicités par les images, les bruits et les odeurs d'un bazar animé, ou attablés au bord d'un bassin, dans un restaurant directement sorti des Mille et Une Nuits. Du témoignage de l'auteur, Robin Magowan, surgit l'image contemporaine d'une Asie centrale dont la complexité et le pouvoir de fascination ne se sont pas démentis avec le temps.

10/1995

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