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Danielle Régnier-Bohler

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Critique littéraire

Eidôlon N° 115 : Désir n'a repos. Hommage à Danielle Bohler

Ce volume Desir n'a repos, offert à Danielle Bohler par ses amis, collègues et anciens étudiants, propose une trentaine d'articles organisés selon trois champs de recherches universitaires au carrefour des disciplines, dans lesquels Danielle Bohler s'est investie et s'est illustrée, avec prédilection mais sans exclusive, tout au long de sa carrière à la Sorbonne Nouvelle-Paris 3, puis Michel de Montaigne Bordeaux 3 : imaginaire et symbolique ; normes, histoire et anthropologie ; femmes, féminin et féminité. Derrière l'hommage à une carrière bien remplie et le témoignage d'amitié à une collègue qui a déployé une chaleureuse énergie au service des études médiévales, cet ouvrage veut être un état des lieux, un bilan d'étape et une ouverture sur les recherches menées actuellement sur le monde du Moyen Age, ses mentalités et ses représentations, ses gens et ses oeuvres, dans leur richesse, leur mouvance, et leur diversité, sans cesse renouvelées.

12/2015

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Critique littéraire

Récits d'amour et de chevalerie. XIIème-XVème siècle

Ce volume présente les plus merveilleuses histoires d'amour composées entre le XIIe et le XVe siècle. Puisant dans la matière de Bretagne, qui a richement inspiré les romans du roi Arthur et de la Table ronde, dans les contes folkloriques ou dans les traditions littéraires venues de l'Antiquité latine, les auteurs du Moyen Age s'attachent avec subtilité à la naissance du sentiment amoureux et aux angoisses de la passion. L'amour y est toujours lié aux quêtes et aux initiations aventureuses - les tournois, les combats contre les êtres enchantés, la lutte contre les personnages malveillants, les déguisements y jouent un rôle essentiel. Le héros, parfait amant, reste la figure exemplaire ; pourtant, certains récits font place au burlesque et au comique, parfois même au grivois. Le héros n'hésite pas, le temps de quelques ruses, à se faire passer pour un antihéros. La dame, mue par une curiosité hardie, ne tarde pas à promettre ses faveurs. Ainsi, les situations amoureuses, évoquées souvent avec délicatesse et pudeur, peuvent manifester une audace amusée. Pour la première fois dans la littérature du Moyen Age, les héroïnes féminines jouent un rôle de premier plan. Telle la jeune Silence, travestie en garçon, qui découvre à tous son identité féminine lorsque, par des appâts très gourmands, elle réussit à capturer l'enchanteur Merlin ; ou, dans une tonalité plus grave, la belle fille du comte d'Anjou, poursuivie par le désir incestueux de son père, qui trouve, au cours d'une douloureuse errance, un mari très épris, mais subit la malveillance d'une parente envieuse ; elle est finalement sauvée de la calomnie et de la mort grâce au sourire magique de son enfant. D'Ipomédon, chasseur et homme des bois, à Narcisse, la figure mythique née d'un étrange quiproquo ; de Joufroi de Poitiers, l'homme comblé par les femmes, à Jason le volage devenu le modèle de l'ordre de la Toison d'or ; de la dame courtoise pour laquelle s'accomplissent les prouesses les plus étonnantes à ces jeunes femmes qui n'hésitent pas à prendre en mains leur destin, l'imaginaire médiéval, à chaque page, se montre prodigieusement fécond.

05/2000

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XXe siècle

Marie de Régnier

Femme de lettres, femme du monde, femme fatale, Marie de Régnier brilla de tout l'éclat de sa grâce et de son esprit sur la vie littéraire française de la Belle Epoque aux Années folles. Fille de José-Maria de Heredia, l'un des maîtres du mouvement parnassien, promoteur de l'Art pour l'Art, elle est courtisée dans le cénacle de son père par deux jeunes poètes : Henri de Régnier et Pierre Louÿs. Mariée à Henri, le plus fortuné des deux, c'est de Pierre qu'elle est éprise et dont elle devient l'amante. Elle aura à ses pieds beaucoup d'autres écrivains comme Gabriele d'Annunzio ou Henry Bernstein, nouera des idylles féminines qui ne manqueront pas de scandaliser. Elle-même poétesse délicate, romancière à succès, elle est admirée en son temps à l'égal de Colette. Donnant la parole à la soeur aînée de Marie, Hélène, Michel Peyramaure nous fait entrer dans l'intimité d'une femme extraordinairement libre, vivante, sensuelle, dont la vie tumultueuse se lit comme un roman.

10/2022

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Cuisine

Recettes illustrées de Danielle

La cuisine... ma passion au même titre que la peinture, la sculpture et les arts plastiques en général, mais ne dit-on pas que la cuisine est un art ? Mon père m'a offert mon premier livre de cuisine à 12 ans, je me suis lancée avec enthousiasme dans l'élaboration de recettes. C'est un engouement qui dure encore aujourd'hui. J'ai éprouvé récemment le besoin de transmettre à mes enfants et petits enfants, mes recettes, celles de ma famille, de mes amies, de mon pays d'origine l'Italie et de ma terre natale, la Provence. J'ai peint mes recettes avec autant de soin que j'ai cuisiné mes aquarelles. Tout est affaire de couleurs. J'ai également décoré plats et assiettes lorsque je pratiquais la peinture sur faïence et porcelaine. Ainsi, des arts de la table à l'art culinaire en passant par les beaux-arts, je rassemble famille et amis autour de mes trois penchants et pour mon plus grand plaisir.

05/2019

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Littérature française

Michel buhler helvetiquement votre

Michel Bühler "Hélvètiquement vôtre" La chanson de Michel Bühler est à l'opposé du tout-venant, de ces insipides ritournelles que pissent en continu les robinets du showbiz et des médias asservis. De ce qu'ils n'osent même plus qualifier de "chanson" mais de "son" . De ce son dont on nourrit les ânes. Cet Helvète puise son art dans d'autres origines, entre Commune et Communale. Commune comme ces soixante-et-onze jours d'utopie qui imaginèrent une démocratie directe, hélas furtive, vite réprimée ; commune comme un chant commun, mutualisé. Communale pour l'instit' qu'il fut, pour encore cette idée de partage, de transmission... Le chant de Bühler est, sinon de combat, au moins d'engagement. A l'évidence d'utilité publique. Il n'existe pas pour franchement distraire, encore que, mais pour témoigner, instruire, à la manière d'une gazette. Pour bien le situer, il nous faut tirer de l'oubli ce terme si beau d'éducation populaire qui, en des temps pas si lointains, allait de pair avec la chanson. Avant que celle-ci, par abandon autant que par vouloir, ne devienne majoritairement outil d'abrutissement... Ca fait cinquante ans que, avec un succès fluctuant digne des montagnes suisses, il chante les gens, la marche de ce monde qui ne sait vraiment que reculer, les méfaits de la mondialisation, la lutte des peuples à disposer d'eux-mêmes. Un chant toujours remis sur le métier, tissé d'humanité, frappé au coin du bon sens. Qui plus que jamais, se heurte au silence, à l'indifférence, et vit dans le maquis où il partage le sort des siens, d'autres artistes de sa trempe, de son caractère, rebelles et insoumis au seul fait qu'ils osent chanter quand rien ne les invite à le faire encore. Ce qui frappe au premier abord chez Bühler, c'est l'évocation des gens, des petites gens. Ceux qui, justement, n'ont jamais voix au chapitre. En cela, Michel Bühler est parent des François Béranger, Anne Sylvestre, Gilles Vigneault, Michèle Bernard et autres encore, qui font large place dans leurs vers à ces vies anonymes, aux espoirs et aux souffrances des peuples, aux lieux où ils vivent. Bühler est empathie, dont le chant rend justice aux déclassés, leur rend la dignité dont on les a spolié. Dans ses vers, les gens existent. Au moins, là, ils ne sont pas invisibles. Le chant de Bühler n'est pas "moderne" au sens des canons, des dogmes du moment : programmateurs et journaleux le raillent pour ça. Mais lui comme nous s'en contrefoutent : il est sans âge et survivra aux modes dérisoires et futiles, aux chanteurs qu'on produit en batterie, hors sol, aux chansons à l'obsolescence programmée, à peine chantée déjà oubliées. Il est d'un chant puissant qui existe depuis toujours et existera longtemps encore, qui trouvera toujours les sillons, les sentiers, les maquis s'il le faut, pour exister, pour instiller une différence qui, à ben l'écouter, n'est jamais qu'une expression de bon sens. Michel Bühler est de cette tradition de colporteurs de nouvelles, de chansons, de presqu

11/2022

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Littérature française

Régner, poèmes

Régner : poèmes / Léon Deubel ; préface par Louis Pergaud Date de l'édition originale : 1913 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

01/2021

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