Recherche

Claudine Pailhès

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

Pailhès

Au Havre, le temps d'une nuit, un jeune homme en souffrance reprend goût à la vie en compagnie d'un homme âgé, qui ressemble au personnage d'un tableau du peintre havrais, Fred Pailhès, et d'une jeune femme, marquée par la vie. Grâce à ces deux êtres empreints d'humanité, à l'image du peintre, il va se trouver lui-même.

03/2017

ActuaLitté

Littérature française

Les «Claudine». Claudine à l'école ; Claudine à Paris ; Claudine en ménage ; Claudine s'en va

Les voilà de nouveau, après trois quarts de siècle, ces Claudine qui "font l'enfant et la follette" — le mot est de Colette elle-même, qui ajoute : "La jeunesse, certes, y éclate. "La jeunesse, oui, et l'éclat : ainsi apparut Claudine, un jour de l'année 1900, dans son sarrau noir d'écolière, campée sur le seuil de la classe des grandes... Dès sa parution, Claudine à l'école est un succès, qui tourne au triomphe après la publication, l'année suivante, de Claudine à Paris, puis coup sur coup de Claudine en ménage et Claudine s'en va. On mesure mal aujourd'hui l'engouement que suscitèrent les Claudine durant ces premières années du siècle. Le théâtre s'en empare, l'opérette, le music-hall, la mode aussi... Engouement, parfum de scandale, battage publicitaire... Mais quelque chose de plus : un ton nouveau — le naturel. Et la naissance, comme le prédisait Catulle Mendès à Colette, d'un type littéraire. Et puis, cette Claudine, "personnage acide qui, vêtu en enfant, a licence de se comporter en femme ", ne faut-il pas la voir comme le premier état, la gracieuse et fraiche ébauche de tant d'héroïnes qui vont lui faire escorte dans l'oeuvre de Colette ? Julie de Carneilhan par exemple, cette Claudine parvenue à la maturité... Blessée, bafouée, elle n'abdique ni son intrépidité ni sa sincère imprudence. Comme Claudine, Julie s'en va... Comme s'éloignent Renée Néré, la Vagabonde, et la narratrice de La Naissance du jour... Quant à la valeur autobiographique des Claudine, elle n'est peut-être pas aussi mince qu'ont pu le penser certains. Des recoupements avec des ouvrages tels que Mes apprentissages, Le Pur et l'impur, feraient à coup sûr surgir similitudes, contradictions et.. prémonitions. Cependant voici Claudine : elle se suffit à elle seule. Colette l'a voulu ainsi : "Un jeune lecteur, une jeune lectrice n'ont pas besoin d'en savoir davantage sur un écrivain caché, casanier et sage, derrière son roman voluptueux. " GB.

06/2019

ActuaLitté

Littérature française

Imagine Claudine

Le temps passe, le village change. La ville se rapproche et Claudine devient riche. En ville, être riche c'est aller au massage, se faire livrer à manger par de jeunes cyclistes, c'est faire les vitrines chaque jour, c'est porter une robe différente par semaine, c'est aller au restaurant quand ça vous chante, c'est arrêter un taxi d'un geste de la main. Au village, être riche consiste à cacher son argent et à s'arranger pour donner des imaginations, des envies et des jalousies sournoises à tout le monde. Entre les deux, Claudine hésite.

04/2024

ActuaLitté

Histoire de France

Gaston Fébus. Le prince et le diable

Issu d'une grande famille compromise dans le catharisme, Gaston Fébus (1331-1391), comte de Foix et vicomte de Béarn, fascina ses contemporains. II mena entre le roi de France et le roi d'Angleterre un jeu diplomatique qui lui permit de préserver ses Etats des ravages de la guerre de Cent Ans. Mécène célébré par les poètes, les musiciens et les chroniqueurs de son temps, ce fin lettré a laissé "Le Livre de la chasse" et "Le Livre des oraisons", qui révèlent une âme tourmentée. Entre l'homme public, le prince éclairé et le père et mari hanté par ses démons, Claudine Pailhès nous invite à comprendre la personnalité complexe de ce seigneur médiéval à la destinée hors du commun.

09/2010

ActuaLitté

Bas Moyen Age (XIVe au XVe siè

Petite histoire de Gaston Fébus

LE LIVRE Gaston Fébus (1331-1391), comte de Foix, vicomte de Béarn, coseigneur d'Andorre et seigneur de nombreuses autres terres pyrénéennes, a marqué son siècle d'une empreinte brillante. Il fut un grand capitaine qui écrasa tout le clan Armagnac lors de la bataille de Launac. Il fut un très grand diplomate qui sut tracer son destin entre roi de France et roi d'Angleterre, défiant l'un ou l'autre jusqu'aux limites de l'acceptable en utilisant la crainte qu'avait chacun de le voir s'allier à l'autre. Il obtint ainsi ce miracle de tenir ses terres de Foix et de Béarn à l'abri des ravages de la guerre de Cent Ans. Il fut un administrateur hors pair qui sut tirer de ses domaines les ressources nécessaires à la mise sur pied d'une armée et à l'édification d'un ensemble de forteresses qui constituèrent une très efficace force de dissuasion. Il fut un prince mécène, faisant de sa cour un foyer de recherche musicale ; il fut un prince savant qui avait une importante bibliothèque et qui fit traduire en occitan des ouvrages scientifiques, encyclopédies ou traités médicaux ; il fut un prince poète qui écrivit des chansons dans la tradition des troubadours, qui composa aussi un "Livre des oraisons" et un "Livre de Chasse" qui servit de modèle des siècles durant... Le fait que cette brillance se soit accompagnée d'une face sombre et violente - il tua son fils de sa propre main -, d'une "légende noire" certainement voulue par lui, ne fait qu'ajouter à la fascination que le personnage inspira à ses contemporains comme aux générations futures.

05/2023

ActuaLitté

Ouvrages généraux et thématiqu

Les Comtes de Foix. Histoire d'une dynastie. XIe-XVIe siècle

Jusqu'ici, l'histoire de la dynastie des comtes de Foix n'avait jamais été écrite. On est pourtant en présence d'une lignée hors du commun, qu'une trajectoire sans faille a menée des montagnes de Haute-Ariège au trône de France. Depuis Bernard, au début du XIe siècle, les comtes de Foix - qui ont été, à trois reprises, des comtesses - ont toujours occupé une place de premier plan dans l'histoire du midi de la France, des Pyrénées et même de la Catalogne, avant de devenir des acteurs majeurs de l'histoire de France, jusqu'à Henri III, roi de Navarre et comte de Foix en 1572, futur roi Henri IV. Au cours de ces six siècles de continuité dynastique, chaque représentant de la lignée a prolongé l'oeuvre de son prédécesseur, dans une montée en puissance de leur maison et une expansion territoriale permanente qui les amena à la tête du plus grand domaine seigneurial de France puis à la Couronne de Navarre. Toujours au coeur des grands évènements de leur temps, ils y mêlèrent les provocations téméraires, les risques calculés et le génie diplomatique, condition de la survie. Quelques figures exceptionnelles jalonnent leur histoire. Raimond Roger, violent guerrier, pilleur de la cathédrale d'Urgell, mais familier du monde courtois des troubadours, tolérant envers l'hérésie cathare, meneur des troupes du comte de Toulouse contre les croisés de Montfort, mais aussi acteur de débats théologiques et flamboyant défenseur de la cause languedocienne devant le Pape lui-même. Roger Bernard III, qui mena une vie de défis permanents mais en sortit plus puissant que jamais. Gaston Fébus, bien sûr, le prince le plus brillant d'Occident selon Jean Froissart, administrateur et diplomate exceptionnel, mécène fastueux, écrivain lui-même, mais entouré de drame et de mystère. Gaston IV, le prince munificent qui obtint la Couronne de Navarre. Henri de Navarre enfin, qui devint le mieux connu et le plus aimé des rois de France. Même au plus haut de leur ascension, ces comtes, ces princes n'oublièrent jamais le pays de Foix ; au contraire, c'est là qu'ils puisèrent jusqu'au dernier, le roi Henri, la part de sacré et de mythe qui grandissait leur dynastie.

02/2022

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté