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Claudia Tavares

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Littérature française

La Volonté d’Exister

" ...Après les religions, ce fut l'amour que l'on inventa pour façonner le monde, basé sur des sentiments créés uniquement avec du leurre. Quelle sensation délicieuse, c'est vrai, que celle d'être aimé et de penser que l'autre nous aime...Mais ô combien mensongère et bête à la fois ! Dès l'enfance, on nous ment, avec l'amour ! D'ailleurs, on peut se demander pourquoi il a été inventé ! Des experts diront que non, que je me trompe, que je raconte de bobards, eux justement qui, la plupart du temps, ne savent même pas de quoi ils parlent. Or, quelque part dans mon cerveau, une petite voix les contredit, car il suffit de voir le nombre de crimes commis au nom de l'amour : "Je t'aime, mais je te tue..." Depuis que je suis née, je n'ai vu que des violences faites aux Femmes. Dans tous les pays du monde la femme subit la colère d'un abruti délaissé parce que, dans son petit cerveau de crétin sûr de son droit, droit dit "divin", il croit qu'il peut faire ce qu'il veut de la Femme - même la tuer !

01/2021

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Littérature française

L'exclue

Loin du voyeurisme et du sensationnel récit, Claudia Tavares nous livre un témoignage poignant et celui d'une femme qui, depuis sa naissance, se bat contre l'injustice et pour le droit à la différence. C'est le témoignage d'une battante qui a toujours cru en la vie, en sa bonne étoile et en ses rêves. Il a les accents d'une saudade brésilienne, la spontanéité d'un récit populaire et l'humour d'un film d'Almodovar.

05/2017

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Littérature française

Claudia. Ma mère m'appelait la chose

Et je vis les barreaux claquer derrière moi. Les larmes vinrent me tenir compagnie. Un surveillant avec une grosse moustache, probablement d'origine espagnole, très aimable, me regarda et poussa un cri d'admiration. Il regarda ma fiche et demanda au surveillant accompagnateur s'il n'y avait pas d'erreur. Il fit signe de la tête que non. Puis il me dit que j'étais très belle. Me demanda pourquoi je pleurais. Je n'ai pas voulu répondre. On ouvrit la cellule 47 en me murmurant : -Bienvenue à la maison d'arrêt de la Santé. La grosse porte se referma sur moi. Je me suis jetée sur le lit, j'ai commencé à cogner ma tête contre le mur tout en regardant le couteau posé sur la petite table. Je voulais que ma tête éclate pour ne plus penser à ce que je venais de faire. Pourquoi mon Dieu, pourquoi tu me fais ça ? Pourquoi m'as-tu abandonnée dès ma naissance ? Ma tête se baissait, puis avec force revenait en arrière, provocant un bruit sourd.

11/2022

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Cinéma

Claudia Cardinale

Alberto Moravia : Quelle est, selon vous, la caractéristique principale de votre beauté ? Et avant tout, pensez-vous être belle ? Claudia Cardinale : Je ne sais pas si je suis vraiment belle. Je crois que je suis étrange.

03/2010

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Provence, Alpes, Côte d'Azur

Le souffle des tarares

Saint-Remy-de-Provence est en 1876 une ville entourée de champs de fleurs a perte de vue. La culture de la graine y est devenue une institution et des affaires prospères s'y développent. Antoine et Firmin dirigent une compagnie qui exporte dans le monde entier et connaissent de nombreux succès commerciaux.

11/2014

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Cinéma

Moi, Claudia, toi, Claudia. Le roman d'une vie

Regard de braise et sensualité féline, tels sont les traits que le public retient de la somptueuse Angelica du Guépard incarnée par Claudia Cardinale. Cette actrice, qui a tourné avec les plus grands, raconte sa vie dans ce livre. Elle l'a fait sans complaisance, en un dialogue lucide avec elle-même, où la femme qu'elle est devenue parle, à bonne distance, de sa vie privée. L'enfance tunisienne, l'adolescence paisible soudain bouleversée par la violence, le fils qu'on lui impose de tenir caché et les rebondissements de sa carrière aux côtés des plus grands metteurs en scène (Zurlini, Visconti, Fellini, Germi, Bolognini, Comencini, Squitieri, Blake Edwards, Hathaway et d'autres encore), tout cela est rappelé avec émotion, retenue et un certain humour. Claudia Cardinale parle aussi avec un respect infini de son "maître" Luchino Visconti, de Cinecittà et d'Hollywood. On découvre, alors, quelle force étonnante dissimule ce sourire éclatant. Dans ce livre, Claudia Cardinale dit, sans fard, les joies et les souffrances d'une femme qui, parce que son goût de la vie l'emporte sur tout, accepte de se regarder avec sérénité dans le miroir que lui tend Anna Maria Mori.

10/1995

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