Recherche

Caroline Fontenoy

Dossiers

Extraits

ActuaLitté

Littérature française

Caroline

Immersion dans une école primaire... Avec de jolies mamans efficientes, bien pétillantes et bien mariées. Quelques-unes aussi, moins jolies peut-être ou moins bien mariées. Mais toutes sûres de leur droit d'ingérence dans le fonctionnement de la scolarité de leurs petits anges pleins d'appétence qu'elles confient, sourcilleuses, à des enseignants convaincus par leur tâche, tellement indispensable. Des psychologues de haut lignage portant un regard distancié et pertinent sur les apprentissages fondamentaux. Des édiles attentifs en leurs devoirs à l'égard de la gestion de l'école, berceau de l'avenir des enfants de leur commune. De talentueux Inspecteurs de l'Education Nationale faisant appliquer de bénéfiques et congrues directives ministérielles... Parmi toutes ces personnes hautement concernées, une jeune Professeure des Ecoles, Caroline, fraîchement nommée dans ce marigot, tentant de ne pas trop y patauger... Garder les yeux rieurs jusqu'à ce que je la rencontre, elle ou une autre, sur une page de mon quotidien préféré dans la rubrique des faits divers. Elle était gracieuse et souriante et maman également. Tenter de comprendre pourquoi un environnement paisible, loin des turbulences de banlieues fébriles, devient hostile.

09/2016

ActuaLitté

Grossesse et maternité

La peur au ventre

"En quinze ans d'exposition médiatique, je vous ai peu habitués à vous parler de ma vie perso. Pourtant, vous avez peut-être l'impression de me connaître... Après tout, je m'invite chez vous à l'heure du déjeuner ou du souper pour vous parler des nouvelles du monde. D'une certaine manière, je fais "partie la famille. C'est le paradoxe de n'importe quelle figure médiatique : à la fois familière et lointaine. Si j'ai décidé aujourd'hui de dévoiler un pan de mon jardin secret, c'est pour apporter un témoignage qui, je l'espère, pourra être utile à de nombreuses femmes dont les rêves de maternité ne se déroulent pas tout à fait comme prévu... Il y a quatre ans, je me suis retrouvée à hanter les couloirs d'un service de néonatalogie. La peur au ventre. Pendant plus de deux mois, ma vie est restée suspendue à un berceau, confinée dans les quelques dizaines de mètres carrés séparant la salle des infirmières pédiatriques du "local des parents" , cet entre-deux un peu triste où les thermos de café, berlingots de lait et spéculoos emballés à la pièce, tentaient vainement de nous donner l'illusion que "tout était normal" . J'ai découvert de façon brutale un monde dont on parle peu. J'ai eu envie de partager avec vous cette traversée en apnée, si particulière, à la fois profondément¬¬ intime, personnelle, mais aussi universelle par les flots d'émotions qu'elle provoque. Je veux en parler parce que je pense que cette expérience peut inciter celles qui ont un désir d'enfant, celles qui vivent une grossesse "difficile" , à s'écouter - vraiment ! -, à se faire confiance et à ralentir le rythme pour conduire leur bébé à bon port. J'en suis la preuve vivante : parfois, on peut faire mentir les pronostics ! Je souhaite aussi pointer le projecteur sur celles et ceux qui se battent dans l'ombre, qui accomplissent des miracles, chaque jour, pour sauver des enfants nés trop tôt. Et pour soutenir des parents traumatisés qui ont du mal à se réjouir. J'ai eu la chance d'être épaulée par des équipes médicales exceptionnelles qui se sont battues à nos côtés, de bout en bout. Dans ce combat commun, nous n'avons d'autre choix que de leur faire confiance : la vie de notre enfant est entre leurs mains. Dans ce contexte particulier, les émotions sont décuplées, chaque progrès est célébré comme une victoire et certaines minutes d'attente semblent durer des heures. Dans ces éternités, nous tentions de refroidir nos cerveaux en ébullition, de respirer calmement, de nous accrocher à chaque espoir pour ne pas sombrer. Il y a eu, malgré tout, des "craquages" , des torrents versés, des découragements fugaces. Mais nous avons gardé ce cap : rester solides, debout, envers et contre tout. Si j'ai la force de vous en parler aujourd'hui, c'est parce que cette bataille nous l'avons remportée. Lou, Jérôme et moi, mais aussi toutes celles et ceux qui nous ont accompagnés.

10/2023

ActuaLitté

Autres personnages

Caroline et ses amis : Caroline détective

Une nouvelle édition de la série Caroline, ce grand classique que tout le monde connaît et qui traverse le temps. Nostalgie de l'enfance ou découverte d'une héroïne intemporelle, profitez de ce bel album au grand format mettant en valeur les magnifiques illustrations de Pierre Probst. L'histoire de l'album : Incroyable mais vrai ! Pouf, le petit chat blanc, a disparu ! Caroline et ses amis s'inquiètent et partent à sa recherche ! Mais quelle n'est pas leur surprise lorsqu'ils croisent dans la ville plein de chats blancs portant chacun un noeud papillon ! Vont-ils le retrouver ?

07/2023

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Caroline assassine

Caroline a sept ans. Son unique passion, la lecture, est un refuge à l'enfer familial. Mais le jour où sa mère jette Les misérables dans les toilettes, tout bascule. Caroline se sent investie d'une mission qu'elle seule a la force et le courage de mener à son terme : pour sauver tous les enfants du monde de l'injustice, il lui faut tuer sa mère...

03/2006

ActuaLitté

Histoire de France

Caroline Bonaparte

Caroline, la plus jeune et la plus charmeuse des saurs de Napoléon, n'a pas vingt ans lorsqu'elle épouse l'homme qu'elle aime passionnément, le vaillant général Joachim Murat. Tous deux forment un couple politique tumultueux, animé par d'ardentes ambitions. Sous l'Empire, tandis que Murat guerroie, Caroline, promue grande duchesse de Berg, reçoit somptueusement dans sa demeure de l'Elysée. parmi ses hôtes : Metternich, ambassadeur d'Autriche, avec lequel elle noue une relation étroite. Lorsque, en 1808, Napoléon confie à sa Sœur et à son beau-frère le royaume de Naples, Caroline n'a qu'un désir : partager le pouvoir avec son mari. Sa compétence éclate bientôt lorsqu'elle devient régente. Cependant, comprenant que la mégalomanie de Napoléon et sa politique belliciste vont leur faire perdre le trône, les Murat finissent par s'allier à l'Autriche. Comment en vinrent-ils à prendre une telle décision, considérée comme une trahison ? A Naples, Caroline a laissé un souvenir brillant, celui d'une énergique femme d'Etat, d'une reine élégante, protectrice des arts et des modes. Au terme de plusieurs années de recherches, Florence Vidal nous raconte un destin étonnant et méconnu.

09/2006

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Fontenoy ne reviendra plus

Comme je viens d'une époque, voire d'un monde, où chacun jurait de rester éternellement fidèle à ses convictions, je me suis souvent demandé pourquoi tant de figures énergiques avaient ensuite, et parfois sans trop tarder, tourné la page de leur jeunesse. Cette question-qu'est-ce qui pousse un homme à changer de camp, à passer, par exemple, de la gauche à la plus enragée à la droite la moins clémente ?-a fini par m'obséder. J'aurais pu en tirer la matière d'un pamphlet si ce n'est que je voulais toucher au-delà du cercle des convaincus. Aussi ai-je ressuscité un écrivain du siècle dernier, Jean Fontenoy, qui, pour reprendre le mot de Malraux, ne rata rien de ce qui comptait, tout du moins dans ses vingt ans : la Grande Guerre, Dada, la révolution d'Octobre, Maïakovski, Lénine et Trotski, Moscou et Shanghai, Tzara et Crevel, etc. " Or, lui qui était né pauvre, que l'école de la République avait su distinguer et dont les livres avaient séduit aussi bien Kessel que Colette, Blanchot que Céline, voilà que, contre toute attente (n'avait-il pas, l'un des premiers, dénoncé le nazisme dès 1933 dans un dossier de La NRF ?), il se fit soudain fasciste. "Quelques années plus tard, logique avec lui-même (et aussi par haine de la lâcheté), il ne lui resta plus qu'à partir mourir dans Berlin assiégée par l'Armée rouge. "J'ai donc écrit Fontenoy ne reviendra plus pour comprendre de quoi nous sommes faits et à quoi tiennent nos destinées".

02/2013

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté