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Cailloux... graviers... poussières...

Extraits

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Poésie

Cailloux... graviers... poussières...

De la chanson au théâtre en passant par de modestes études littéraires (Alexandre Vialatte, Joseph Delteil), l'écriture poétique n'a jamais été loin des préoccupations de Denis Wetterwald. Il fallait du temps pour sauter le pas de la poésie assumée. Voilà qui est fait depuis quelques années. A publié Silence à fendre en 2013 et 111 poèmes de soldats tués à la guerre suivi de Foutez-nous la paix, contre-épopée poétique en 2014 aux éditions de Villèle. L'important dans le tableau n'est pas ce qui reste mais ce qui a été enlevé... sur le papier ce sont les vides, espaces de liberté non atteints par l'encre ou l'aquarelle... dans la musique, les silences. Chaque tableau comme une île, dérisoire dans l'espace, mais qui s'offre à la découverte pas à pas, chemin après chemin... monde clos sur lui-même et cependant ouvert aux grands vents de l'ailleurs. Jacques Reverdy, Notes d'atelier

09/2015

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Littérature française

Les graviers rouges

Une grande part de ce que nous sommes se forge au cours des premières années de notre existence. Se remémorer cette époque, c'est comme s'immerger dans un bain d'huile essentielle de nous. Tout ce qui a fait ce que nous sommes devenus. Alors, ce regard sur notre enfance n'est pas une nostalgie qui peut nous laisser des regrets, mais au contraire un moyen de mieux se connaître, pour peut-être avancer dans notre vie, prendre une autre direction. Des petites histoires, comme autant de senteurs de l'enfance qui nous prennent aux tripes. L'amitié, l'amour et le désamour des parents, les jeux, la mort aussi. Rire, pleurer... vivre.

06/2020

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Littérature française

Les graviers blancs

Les graviers blancs explore le tumulte de l'enfance, passant de l'obscurité à la clarté. Il dépeint un parcours marqué par des dissonances familiales irréparables, une fusion d'émotions contradictoires. C'est une fuite épuisante où la poésie se mélange aux secousses constantes de la lutte pour survivre.

06/2023

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Humour

Cailloux

Ce livre propose une méditation comique, où un caillou sympathique et doué de conscience, nous fait part de sa sagesse ancestrale... Le dessin, minimaliste et répétitif, s'efface presque devant ses pensées millénaires. Le temps s'écoule et les bons mots sont distillés au fil des pages, à un rythme savamment dosé. On regarde le temps passer. Et chaque apparition des éléments extérieurs, vent, pluie, escargot, un randonneur, est un véritable évènement venant perturber cette apparente quiétude, ainsi que les certitudes de ce docte caillou. Cette nonchalance et cette stylisation d'une grande simplicité, sont au service d'un ton et d'un rythme personnel. L'agencement des pages presque identiques et les petites perturbations qui interviennent créent un décalage réjouissant. C'est subtil et doux-amer. L'humour naît du tempo du livre. Mais si ce numéro d'équilibriste fonctionne, c'est aussi grâce à un dessin communicatif. Les émotions du caillou, émois ou malaises sont représenté avec justesse, servis par un dessin qui inspire une immédiate sympathie. Cet ouvrage a été édité pour la première fois en 2021 par la maison d'édition allemande Rotopol.

09/2023

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Poésie

Cailloux !

Cailloux ! quand le poète-géologue - ou le petit Poucet - collectionne les langues, de l'ancien français à l'américain des panneaux urbains, en passant par... Mais reprenons. Il faut lire ce livre comme on mord dans un sandwich. A pleines dents, bien sûr, mais aussi parce qu'il est construit comme un sandwich. Trois sections : la partie centrale avec ses échos d'ancien français, sa concision résolue, sa densité minérale, encadrée par deux parties, certes pas moelleuses plus amples, traversées par la multitude, les contradictions, les cris, les objets, les fragments et les horizons contemporains. Il faut lire ce livre comme on coud à points-arrière. Allers-retours incessants. Il faut un peu fouiller. Et l'on comprend sans même s'en rendre compte. Chaque strophe-caillou de la partie centrale renvoie à un poème- caillou de la partie centrale. Qu'est-ce que la poésie prend, récolte, collecte de la langue d'une époque ? Et qu'en fait-elle ? ce sont les questions auxquelles Daniel Pozner tente de répondre dans Cailloux ! Archivage, redécouverte, dynamitage, nostalgie, répétitions, archéologie préventive, parkings déserts, autoroutes de l'information, ruines neuves, trous de mémoire, petit air tenace, souffleries...

07/2023

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Théâtre

Cailloux

La pièce se passe à Capri, mais c'est un Capri hors saison, débarrassé des touristes et des estivants, réduit à sa petite société cosmopolite qui, sur ce "caillou", espère trouver un remède à son angoisse. Arrive le vieux Douglas Forstetner, ex-roi du chocolat. Il est venu à Capri pour y acheter une maison et chercher à entrer dans ce milieu plein de prestige à ses yeux. Il est accompagné de son secrétaire, un jeune Hongrois réfugié, sans argent, sans papiers, sans appuis. Douglas lui fait cruellement sentir à quel point il dépend de lui. Le jeune Hongrois pourtant s'éprend de Sandra et, poussé par elle, il va lutter pour retrouver sa liberté. Par snobisme, Douglas multiplie les attentions à l'égard d'une Américaine, Marjorie Watson, dont tout peut faire penser qu'elle est une des reines de New York. En réalité, c'est une petite employée, à qui le hasard a fait gagner une certaine somme et qui s'en est servie pour vivre son rêve : mener la grande vie pendant quelques mois. Elle aime Vos, un peintre qui a renoncé à la peinture et qui a cru trouver à Capri son équilibre et sa paix. Déçue, à bout de ressources, Marjorie finira par se suicider. Pour sauver le jeune Hongrois, Sandra vole l'argent de Forstetner. Elle sera arrêtée. Le jeune Hongrois renonce au combat. Il accepte son esclavage. A côté de ces deux couples qui luttent pour leur bonheur, gravitent d'autres personnages dont l'exemple contribuera à les acheminer vers la défaite : Cetrilli, le play-boy mâtiné de bourgeois ingénu, lady Ambersford qui vole les petites cuillers, lady Noakes qui les rapporte, Passiekoc, l'antiquaire somnambule, Jacquot, le joli parasite. Comme l'île sur laquelle ils vivent, tous ces personnages sont des cailloux. Ils sont atteints de ce mal contemporain : l'impossibilité de communiquer. Il s'agit ici d'une pièce où l'essentiel peut-être se trouve dans ce qui est suggéré, non dans ce qui est dit.

04/1962

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