Bonjour cher Hervé, J.M.G. Le Clézio a été institué monument littéraire officiel avec l’obtention du Prix Nobel en 2008. J’ai beaucoup aimé Le Clézio : il incarnait l’insolence, l’écart, la conscience. L’Extase matérielle (1967), et Le livre des fuites (1969) ont compté dans ma jeunesse. Et je me suis assis sur les mêmes bancs que lui, à Nice, au lycée Masséna ! En 1963, son premier roman fut un succès, et depuis, Le Clézio n’a plus cessé de publier. Que de livres ! S’il y avait un point commun entre Simenon, dont j’ai parlé il y a peu, et J.M.G. Le Clézio, ce serait la productivité.