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BD tout public

Villerupt, 1966. Quéquettes blues; La piscine de Micheville; Vive la classe ! Avec 1 DVD

Unlivre de 300 pages réunissant Quéquette Blues, La Piscine de Micheville et Vive la Classe ! parus entre 1984 et 1987. Ces chroniques adolescentes des années 60, à l'ombre des hauts-fourneaux de Lorraine (Villerupt) n'ont pas pris une ride. Histoires drôles, parfois émouvantes, de potes, de drague, de bastons et de rock'n roll, dans le contexte particulier de la fin de ces" 30 glorieuses " dont on fait grand cas aujourd'hui. Un DVD " Génération Baru ", documentaire de 52 mn, écrit et réalisé en 2009 par Jean-Luc Muller. Un film-portrait, celui de Baru, auteur de bandes dessinées et celui de la bande de copains qui lui ont inspiré les trois récits qui composent ce " Villerupt 1966 ".

11/2010

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BD tout public

Fais péter les basses, Bruno !

Dans un village africain, Ousmane Traoré, footballeur professionnel, est subjugué par les prouesses techniques, ballon au pied, du jeune Slimane. Pour lui, pas de doute, c’est un futur crack ! Il l’invite, s’il le peut, à le rejoindre en France. Le garçon ne se fait pas prier, et fait le voyage… dans la soute d’un avion. Dans le même temps, Zinedine, dit Zizou bien sûr, sort de prison. Le jeune dur, sans scrupules et sans cervelle, n’a qu’une idée en tête : réaliser le coup de sa vie. Mais comme il ne peut le faire seul, il demande son concours à Fabio d’Alloro, dit « Einstein », un ancien truand rangé des voitures depuis vingt ans ! Par jeu, Fabio accepte le marché et prend contact avec Paul et Gaby, ses vieux complices, soixante-dix ans aux prunes ! Gaby, le « Picasso des explosifs»… Zizou, Einstein, Picasso, c’est du lourd, forcément ! C’est fantasia chez les truands ! Une fantasia qui, vite, vire au cauchemar… Mais que vient faire Slimane dans cette galère

09/2010

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BD tout public

Bella Ciao Tome 1

"Bella ciao, c'est un chant de révolte, devenu un hymne à la résistance dans le monde entier... En s'appropriant le titre de ce chant pour en faire celui de son récit, en mêlant saga familiale et fiction, réalité factuelle et historique, tragédie et comédie, Baru nous raconte une histoire populaire de l'immigration italienne. Bella ciao, c'est pour lui une tentative de répondre à la question brûlante de notre temps : celle du prix que doit payer un étranger pour cesser de l'être, et devenir transparent dans la société française. L'étranger, ici, est italien. Mais peut-on douter de l'universalité de la question ? "Teodoro Martini, le narrateur, reconstruit son histoire familiale, au gré des fluctuations de sa mémoire, en convoquant le souvenir de la trentaine de personnes qui se trouvaient, quarante ans plus tôt, au repas de sa communion. Le récit se développe comme la mémoire de Teodoro, tout en discontinuité chronologique. Il y est question d'un massacre à Aigues-Mortes en 1893, de la résistance aux nazis, du retour au pays, de Mussolini, de Claudio Villa, des Chaussettes noires, et de Maurice Thorez... Des soupes populaires et de la mort des hauts-fourneaux... En tout, du prix à payer pour devenir transparent. Avec Quéquette Blues, publié dans les années 80, et les Années Spoutnik, publié au tournant du siècle, Bella ciao peut être vu comme le dernier volet d'une trilogie, pensée comme la colonne vertébrale de l'univers narratif de Baru.

09/2020

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Historique

Bella Ciao Tome 3

#SelectionPrixPorteDoree23 – Bella ciao, c'est un chant de révolte, devenu un hymne à la résistance dans le monde entier... En s'appropriant le titre de ce chant pour en faire celui de son récit, en mêlant saga familiale et fiction, réalité factuelle et historique, tragédie et comédie, Baru nous raconte une histoire populaire de l'immigration italienne.

Bella ciao, c'est pour lui une tentative de répondre à la question brûlante de notre temps : celle du prix que doit payer un étranger pour cesser de l'être, et devenir transparent dans la société française. L'étranger, ici, est italien. Mais peut-on douter de l'universalité de la question ? Dans troizième tome, Teo, le narrateur, poursuit le récit familial, que ses souvenirs en marabout d'ficelle restituent en autant d'histoires vives et hautes en couleur, tragiques ou comiques. Celle de sa grande frousse quand il allait porter la gamelle à son père au pied des hauts fourneaux, dans le vacarme assourdissant des tuyères et la chaleur étouffante de la coulée. Celle de la "morra" , sans doute le jeu de mains le plus vieux du monde, qui se joue à deux et qui, immanquablement, se termine en castagne ! Celle de Domenico, le grand-père de Teo, qui pouvait passer de longs moments, assis sur sa chaise, à contempler l'eau du robinet couler dans l'évier. Celle encore où il est question des garibaldiens de l'Argonne et d'un certain Lazzaro Ponticelli, devenu Lazare après sa naturalisation en 1939, qui fut pendant quelques mois le dernier poilu de 14-18 encore vivant et, à ce titre, reçut l'hommage de la Nation !

10/2022

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BD tout public

Fais péter les basses, Bruno !

Un gamin africain se cache dans la soute d'un avion pour Paris. Il veut devenir footballeur, le voici travailleur clandestin, jusqu'à ce qu'il croise d'anciens gangsters prêts à sortir de leur retraite... En rendant hommage au cinéma français des années 1960, Baru, Grand Prix de la ville d'Angoulême, nous offre un récit réjouissant sur la France d'aujourd'hui.

10/2013

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Historique

Bella Ciao Tome 2

Bella ciao, c'est un chant de révolte, devenu un hymne à la résistance dans le monde entier... En s'appropriant le titre de ce chant pour en faire celui de son récit, en mêlant saga familiale et fiction, réalité factuelle et historique, tragédie et comédie, Baru nous raconte une histoire populaire de l'immigration italienne. Bella ciao, c'est pour lui une tentative de répondre à la question brûlante de notre temps : celle du prix que doit payer un étranger pour cesser de l'être, et devenir transparent dans la société française. L'étranger, ici, est italien. Mais peut-on douter de l'universalité de la question ? Teodoro Martini, le narrateur, reconstruit son histoire familiale, au gré des fluctuations de sa mémoire, en convoquant le souvenir de la trentaine de personnes qui se trouvaient, quarante ans plus tôt, au repas de sa communion. Le récit se développe comme la mémoire de Teodoro, tout en discontinuité chronologique. Il y est question d'un massacre à Aigues-Mortes en 1893, de la résistance aux nazis, du retour au pays, de Mussolini, de Claudio Villa, des Chaussettes noires, et de Maurice Thorez... Des soupes populaires et de la mort des hauts-fourneaux... En tout, du prix à payer pour devenir transparent. Avec Quéquette Blues, publié dans les années 80, et les Années Spoutnik, publié au tournant du siècle, Bella ciao peut être vu comme le dernier volet d'une trilogie, pensée comme la colonne vertébrale de l'univers narratif de Baru.

11/2021

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