Avez-vous vu ma queue ?

Oups ! Aïe ! Ouille ! Le plus petit lézard de la famille vient de perdre sa queue ! Malheur ! Le pauvre lézard est bien triste sans elle. Il décide d'aller à la rencontre des différents animaux pour leur demander s'il serait possible d'avoir leur queue. Évidemment, chacun refuse. Comment faire alors ?

Ouf ! Les queues des lézards repoussent ! Cette histoire nous l'explique bien et un petit supplément à la fin du livre permet d'en savoir davantage. Avec , on apprend et on réalise un grand voyage ! En effet, les illustrations nous emmènent immédiatement vers de lointains pays. Grâce aux contrastes entre des couleurs chaudes et froides, aux aplats de peinture et aux reliefs des matières, le voyage est long et riche en découvertes, comme celui du petit lézard. En plus, les dialogues sont rimées : de quoi donner encore plus de rythme et de couleurs au récit. Si vous souhaitez mieux connaître la vie des lézards et voyager là où le temps est ensoleillé, partez lire cet album !

Déborah Durand

« On peut pas accéder facilement aux précédentes actualités ! » Combien de mails a-t-on reçu sur ce thème, et ses innombrables déclinaisons ? 100, 2000 ? Non, 5
? Ah, bon...

Eh bien, nous, nous sommes partisans de croire qu'il faut mieux satisfaire 5 personnes qui demandent quelque chose, plutôt que de ne pas rendre service à ceux qui ne demandent rien. Mais qui, nous le savons (au lait d'amandes douces), n'en pensent pas moins...

Bref, tout ce tapage pour vous annoncer qu'une merveilleuse petite option vient de surgir.

Située tout en bas de la page, sous la dernière actualité, elle vous permet de continuer à lire au gré des pages et du temps, contre vents et marées, jusqu'à ce que mort s'ensuive. Enfin, veuillez ne pas mourir dans nos pages, cela fait désordre. Surtout que la personne qui d'ordinaire fait le ménage est absente, alors rendez-vous compte.

Bref, on vous laisse savourer cette apparition, en vous promettant que plein d'autres surgiront. Et un grand merci à notre développeur de talent, le maître Sado Maso des lignes de code... Allez donc vérifier, vous dis-je !

Nous sommes toutes et tous sous le choc. 

L’attaque atroce qui a eu lieu aujourd’hui n’a pas seulement ôté la vie de Wolinski, Charb, Cabu et des autres journalistes de Charlie Hebdo: elle menace l'essence-même de notre démocratie, notre liberté d'expression, nos droits, notre humanité partagée.

La confusion est totale et chacun y va de ses spéculations. Seule une poignée de personnes mal intentionnées jubile. À coup sûr, les terroristes et extrémistes de tous bords vont tenter d’utiliser ce drame pour diviser notre société, en jouant sur les peurs et les préjugés. Mais la tragédie de ce matin peut aussi nous rassembler comme jamais -- cela ne dépend que de nous. 

Si dans les prochaines 24h, aux quatre coins de France, nos voix ne font qu’une, que nous clamons tous ensemble notre solidarité et notre unité pour défendre la liberté de notre presse, notre diversité et notre tolérance, nous parviendrons à couvrir les discours haineux et le bruit des armes. Ne nous laissons pas diviser et réduire au silence. Cliquez ci-dessous -- lorsque nous atteindrons 100 000 personnes, nous relayerons aux médias notre message assourdissant: “Nous n’avons pas peur”, “Nous restons unis”, “NousSommesCharlie”.

L’attaque ce matin n’a pas seulement ôté la vie de Wolinski, Charb, Cabu et des autres journalistes de Charlie Hebdo: elle menace l'essence même de notre démocratie, notre liberté d'expression, nos droits, notre humanité partagée.

Seule une poignée de personnes mal intentionnées jubile. À coup sûr, les terroristes et extrémistes de tous bords vont tenter d’utiliser ce drame pour diviser notre société, en jouant sur les peurs et les préjugés. Mais la tragédie de ce matin peut aussi nous rassembler comme jamais -- cela ne dépend que de nous. 

Si dans les prochaines 24h, aux quatre coins de France, nos voix ne font qu’une, que nous clamons tous ensemble notre solidarité et notre unité pour défendre la liberté de notre presse, notre diversité et notre tolérance, nous parviendrons à couvrir les discours haineux et le bruit des armes. Ne nous laissons pas diviser et réduire au silence.

Cliquez pour s'unir contre la haine et défendre nos libertés -- lorsque nous atteindrons 100 000 personnes, nous ferons retentir notre message dans les médias: “Nous restons unis”, “Nous Sommes Charlie”.

« Quand personne ne peint, il est utile de publier l’élite mondiale de la peinture ; quand tout le monde photographie, il devient indispensable de recréer un ordre esthétique à partir du chaos visuel », attaque la maison LIZ Éditions qui souhaite annoncer la sortie prochaine d'un ouvrage pas banal.

Pink Attitude, c'est un florilège de 335 photographes, venus de 50 pays qui exhibent sans pudeur ces bougres des photos de tout ordre. Postulat de départ ? « Le numérique et les réseaux de communication ont favorisé l’émergence d’une culture photographique planétaire et populaire, qu’il fallait valoriser. »

Et cette nouvelle collection, intitulée COLORS, se veut résolument différente, de ce qui se fait, comme de ce qui a été fait. Surtout de ce qui a été fait d'ailleurs. Ce premier volume sera suivi en mai de Yellow Look et Red Inspiration.

On perçoit comme une volonté de colorer le monde, non ? Allez vous faire votre propre opinion, directement sur cette page, où il suffit de cliquer pour faire défiler les clichés... Ça vaut le déplacement. On alterne les modèles avec les vieilles cylindrées américaines, ou les chaussures, les soutien-gorge et les... non, allez voir, vraiment.

Pink attitude est disponible depuis le 30 mars, coûte 29 € pour 160 pages de rose.

Parlons un peu du numérique et de ses détracteurs. A savoir en passant, vous l’avez compris à travers les premiers articles de ce blog, je suis pro numérique et cela fait quelques mois que je n’ai pas lu de livre papier. Et finalement ca ne me manque pas trop et notamment les livres de poche où l’encre finit toujours par te rester sur les doigts ;) Mais pour autant je ne suis pas anti –papier, loin de là, vous pouvez demander à mon facteur qui va m’apporter trois livres papiers gagner dernièrement sur la toile grâce à des concours et des partenariats. Je vous en parlerai plus en détails dans les prochains billets.

Les avantages les plus flagrants du numérique ( vous en trouverez bien d’autres en navigant sur internet et vous trouverez également les inconvénients !) :

Le numérique permet aux jeunes auteurs de s’auto éditer et de faire leur promotion. EN effet il n’est pas rare que des maisons d’éditions refuse de bon textes parce que l’œuvre ne rentre pas dans les critères de la ligne éditoriale et l’auto édition numérique permet à l’auteur de faire sa promotion à moindre frais.

Le numérique permet également un net gain de place puisqu’il n’y a plus besoin de bibliothèque, ce qui est plutôt pratique quand on est étudiants et qu’on est encore au stade « studio ». Actuellement j’ai plus de 100 ebook dans mon fnacbook avec une moyenne de 250 pages par ouvrages, j’ai dans mes 240 grammes de tablettes l’équivalent de 25000 pages - je vous laisse imaginer le volume et le poids ! Bon parfois ca pose problème parce que du coup je ne sais plus où mettre le peu de livres papier que j’ai !

Vous l’aurez compris, je lis en numérique sur Fnacbook (oui je sais ce que vous en pensez !). Par contre, je lis très peu sur l’iphone, car l’écran est vraiment petit (mais le texte s’adapte avec seulement quelques phrases par pages (photo) et du coup je l’utilise uniquement pour lire des nouvelles.

Je peux comprendre que le numérique, la nouveauté ca fait peur mais de là à parler d’apocalypse et de mort du livre, je trouve que certain vont un peu loin. Je t’entends déjà lecteur me dire « Tu exagères, personne n’a parlé d’apocalypse ! » Ah ben toi tu es passé à coté du buzz…

Bon alors on reprend du début ! C'est-à-dire mi- aout, un temps que ce blog ne peut pas connaitre ! Mi août, donc, Jean Marc Roberts, directeur éditorial des éditions Stock provoque un tollé lors d'une interview sur Europe 1 en lançant une idée saugrenue, celle de supprimer la vente des livres sur internet et de créer un lieu unique de vente : la librairie. Pour voir son interview vous pouvez aller là et pour lire le coup de gueule de Marion. Alors bien sur, voyant les multiples réactions, M. Roberts s’est rétracté, en déclarant que par lieu unique, il entendait bien sur « un lieu singulier » et que les « Français connaissent mal leur vocabulaire. »

Et depuis quelques jours, sur qui se déchainent les sites d’actualité littéraires et les blogs ? Contre Fréderic Begbeider ! Mais pourquoi ? Et bien parce que Fredo est contre le livre numérique, qui est pour lui une invention apocalyptique et qu’il n’hésitera pas à te mettre sa main dans la gueule (désolée pour la vulgarité c’est lui qu’il l’a dit) si tu lis son Livre « premier bilan après l’apocalypse »  en version électronique.

Petit extrait de l’interview de Frederic Beibeder en début de semaine sur Europe 1 (décidément)

«  Non les écrans c’est pas merveilleux. C’est effrayant, et on l’a vu déjà pour l’industrie du disque : il n’y a plus de disquaire. Voilà ce qui va se passer, les gars : non seulement la disparition de cet objet qui avait 6 siècles et qui nous a donné le roman moderne, mais aussi la fermeture des librairies, des maisons d’édition, des suppléments littéraires dans les journaux et peut-être la fin de la critique littéraire… »

Selon lui donc, la fin du livre papier (et on en est loin, surtout en France) c’est la fin du livre. Et à dématérialisation est un drame et un mot poli pour dire destruction… on va loin, très loin.

Surtout que quand Bruce Toussaint rétorque un "Oui mais on a jamais vendu autant de livre",Begbeider hésite une seconde avant de répondre… « oui mais ca c’est le dernier chant du signe avant l’apocalypse »… Pourtant son livre s’intitule bien Premier bilan après l’apocalypse, non ?

Finalement, Begbeider s’est un peu perdu dans son propre raisonnement…

Et vous, numérique ou pas numérique ? avec un abandon complet du papier ou non ?

Le tome 38 de Naruto est plein de surprises. Entre les effets de la nouvelle technique de Naruto et la puissance incroyable de Sasuke on en prend plein les yeux !

Naruto a enfin terminé son entraînement, il a 50pourcent des capacités que lui confère sa nouvelle technique. Accompagné par Yamato, il a rejoint sans perdre une minute ses compagnons aux prises avec deux membres de l'Akatsuki, Kakuzu et Hidan, qui semblent immortels.

Il décide d'affronter seul Kakuzu alors que Saï et Sakura sont envoyés en renfort auprès de Shikamaru. Ce dernier affrontait seul lui aussi, l'assassin de son maître, le terrible Hidan. Comme il avait préparé le terrain le combat avait tourné à son avantage et quand les renforts sont arrivés, il s'était déjà débarrassé de son adversaire. De son côté Naruto arrivera-t-il à défaire Kakuzu ?

Les forces sont déséquilibrées

Dans ce tome, Masashi Kishimoto fait évoluer les forces en présence. Alors que l'on ne s'y attendait pas vraiment, ou du moins pas aussi tôt, le mangaka déstabilise l'équilibre des forces en présence et ouvre de nouvelles perspectives moins linéaires pour la suite du récit. Il faut dire que Masashi Kishimoto est passé maître dans l'art de créer la surprise. Et à ce point de vue là, ce tome 38 de 'Naruto' est un véritable bijou. On va de surprises en surprises, et on assiste à des scènes que l'on n’imaginait pas voir de sitôt.

Les personnages évoluent vite. Naruto se révèle être finalement un bon stratège et Sasuke l'insondable nous échappe encore un peu plus telle une anguille. Rien d'étonnant à cela quand on sait qu'il est l'élève d'Orochimaru, l'homme serpent. Quant à Shikamaru, le meurtre de son maître Asuma, l'aura fait mûrir d'un coup. Fini le gamin blasé que toutes les missions ennuient, il compte bien prendre ses responsabilités en main et devenir un grand ninja. On sent que nos héros sont en passe de devenir des hommes et des ninjas de grande valeur.

La nouvelle génération de ninjas arrive

Les dessins sont toujours aussi bien fournis, les scènes de combats toujours aussi clairs et le charac design toujours aussi bien travaillé. Quant au dessin de couverture, il est superbe, tout en couleurs, pour une fois. Ça change des couvertures sur fond blanc, et c'est très appréciable.

Ce tome est aussi un savant mélange entre action, révélations, surprises et humour. Le passage avec Konohamaru et sa technique de multi clonage couplée avec une technique lubrique est irrésistible et devrait aussi combler les amatrices de yaoi. Un fan service plutôt inhabituel, pour un mangaka faisant dans le shonen. Décidément Masashi Kishimoto est toujours là où on ne l'attend pas.

Bref, vous l'aurez compris 'Naruto' tome 38 c'est du tout bon. Le mangaka, Masashi Kishimoto, joue sur tous les plans. Les amateurs de combats seront comblés, le scénario avance bien, les personnages évoluent de manière inattendue, l'humour est présent et même d'une façon plutôt atypique. Vraiment ce tome est une belle réussite.

'Naruto' tome 38 de Masashi Kishimoto est édité par Kana. Et vous pourrez vous délecter de ses 192 pages pour 6,25euros. Le tome 39 devrait paraître le 28 novembre.

Nous vous rappelons que jusqu'au dimanche 7 septembre, vous pouvez participer au concours que nous organisons avec Kana pour gagner le tome 1 de 'Nekomura san' ou le manga 'Miyamoto Musashi'. Deux autres des nouveautés de l'éditeur pour ce mois de septembre, le 19 précisément.

Bon, d'accord, l'auteur de ces quelques lignes fait également son coming-out littéraire : « Je n'ai jamais lu en entier … »

S'il est possible de l'avouer aujourd'hui, c'est à la suite d'un sondage de la BBC, la chaine de télévision anglaise, qui affirme que le roman de Lewis Carroll est le livre que l'on prétend avoir lu, mais dont la réalité est tout autre…

Même si, grâce aux multiples adaptations, plus ou moins réussies, en album jeunesse, en dessins animés, en série animée et en long métrage, l'histoire d'Alice semble parler à tout le monde et que des phrases telle que « Mange-moi », « Bois-moi » et « Qu'on lui coupe la tête !! » font partie du patrimoine littéraire mondiale, il semblerait bien que le texte de Lewis Carroll passe au second plan.

Selon le site du Oxford Mail, même Sophie Hiscock, la responsable de la communication du Story Museum d'Oxford qui organise chaque année la journée Alice a avoué n'avoir jamais lu le texte avant d'y travailler.

« Quand, à 43 ans, je l'ai enfin lu, j'ai été très étonné par la drôlerie et combien étaient fantastique les jeux de mots […] je le recommande à tout le monde…»

Plusieurs auteurs vont certainement se retourner dans leurs tombes puisque juste après Alice au pays des merveilles, que l'on prétend donc avoir lu, viennent 1984 de Georges Orwell et Le Seigneur des Anneaux de J.R.R Tolkien.

Le sondage de la BBC souligne également qu'un quart des adultes se mettent à lire un classique quand il y a une adaptation à la télévision. De là à dire que le petit écran est vecteur de lecture, il n'y a qu'un pas…

En attendant, au cinéma il y a quelques semaines est apparue sur internet la dernière bande-annonce de la suite d'Alice au pays des merveilles, De l'autre côté du miroir…