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Animality

Extraits

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Romans d'espionnage

Animality

" Je te le répète, on a un homicide sur les bras, Baryton veut que l'on y aille tout de suite, c'est à l'usine Mac Gregor ". Tout a commencé avec ce message sur sa boîte vocale. Des scènes criminelles, Matt a l'habitude d'en voir, mais celle-ci est exceptionnelle, tant la scène de crime questionne sur la théâtralisation mise en oeuvre. L'usine Mac Gregor va être le point de départ d'un itinéraire macabre, dès lors des victimes vont succomber à une folie meurtrière sans précédent. Que ce soit dans les secteurs de l'agroalimentaire, les loisirs, le domaine scientifique, le meurtrier choisit ses proies avec application. Pour le FBI, une seule certitude s'impose : les homicides ont un rapport avec l'animal ! Pourquoi ? Quelles peuvent être les motivations de ce tueur en série ? Comment l'arrêter ? Le temps presse, car les crimes vont continuer à se perpétrer sur le territoire. Plusieurs pistes vont être exploitées. A l'affût du moindre indice et activant leur réseau, les policiers vont mener leurs recherches, en découvrant des vies chargées d'une histoire si personnelle et intime, comme tout à chacun. De surprises en rebondissements, l'enquête va délivrer une réalité inattendue vers les bas-fonds d'une bestialité hors du commun. La brigade criminelle ne ressortira pas indemne de ces investigations. Quand l'inconcevable est au rendez-vous, l'homme s'accroche à sa raison d'être !

01/2023

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Poésie

Animalité

L'a-t-on assez répété que l'homme était un loup pour l'homme ? On en oublie une autre victime bien plus fréquente : la femme... Sans compter l'injuste attribution au loup de cruautés dont seul est coupable l'humain. Dans ce recueil, le poète Roland Marx a tenté de recenser les travers, horreurs et autres ignominies dont l'Homme est et a été capable. En craignant fort que les temps à venir et leurs technologies sophistiquées ne nous en permettent d'autres. Puis, le poète est retourné voir du côté des bêtes... Ce n'est ni une consolation, ni une fuite ; juste un intermède.

12/2019

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Notions

Perspectives sur l'animalité. Vulnérabilités, empathie, statut moral

Cet ouvrage collectif témoigne de la volonté de s'engager activement dans une série de collaborations scientifiques, sociales et artistiques sur la vulnérabilité, et ce, autour du sujet animal. Il se consacre à l'ontologie animale ou la zooontologie qui questionne sur ce que sont les animaux, et souvent, par ricochet, à ce qui les distingue ou les rapproche fondamentalement des êtres humains. L'ontologie animale s'intéresse aux animaux en eux-mêmes, non pour donner un discours sur l'homme, mais pour les penser en eux-mêmes.
Que sont-ils, ou plutôt qui sont-ils ? Comment les connaître ? Quel effet cela fait d'entrer en contact avec un animal d'une autre espèce ? Y a-t-il un psychisme animal ? Quelle forme de rationalité manifestent-ils ? L'approche est bien souvent continentale, phénoménologique, mais pas exclusivement.

12/2021

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Notions

Humanité/Animalité. Une querelle contemporaine entre spécistes et antispécistes

Y a-t-il une différence de degré ou de nature entre les hommes et les animaux ? En d'autres termes, doit-on considérer une nature humaine spécifique qui, par son intelligence rationnelle et consciente, caractérise une espèce singulière et la distingue de la nature animale, ou bien l'homme est-il un animal comme les autres, à quelques degrés d'évolution près ? Le débat entre créationnistes et évolutionnistes semble de nos jours resurgir à travers la querelle entre spécistes et antispécistes. Ces derniers remettent en cause cette différence de nature entre hommes et animaux, parce qu'ils portent sur elle des jugements de valeur et l'associent systématiquement à une attitude supérieure et discriminatoire envers les animaux. Pourtant, loin d'affirmer cette supériorité humaine, loin de l'interpréter stricto sensu en termes de domination et d'exploitation, loin de réduire de surcroît l'animal à un simple objet ou à une machine selon la conception cartésienne, cette différence n'existe-t-elle pas de facto ? Vouloir la nier ne conduit-il pas à humaniser l'animal et à animaliser l'homme ? Cette tendance post-humaniste pourrait aboutir à une dévalorisation de l'humanité, à moins qu'une forme d'hybridation "humanimalis" ne soit conçue. Que nous apporte néanmoins l'antispécisme dans la considération de la cause animale ? Avec les contributions de : Guillaume André, Georges Chapouthier, Bernard Grasset, Jean-Marc Joubert, Jean-Baptiste Juillard, Alain Lanavère, Olivier Launoy, Alain Le Gallo, Jean-Pierre Marguénaud, Clément Millon, René Moniot-Beaumont, Sylvie Paillat, Gilbert Pons, Jocelyne Porcher, Catherine Rémy, Jacques Ricot, Claudia Terlouw, Egle Barone Visigalli, Francis Wolff.

10/2023

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Philosophie

Le complexe des trois singes. Essai sur l'animalité humaine

Quelque chose a changé dans notre rapport aux animaux. La " cause animale " est à l'ordre du jour, et le vivant humain est désormais plus essentiellement animal qu'humain. Cela s'appelle un zoocentrisme : au centre de notre humanité, l'animalité. En apparence, nous avons tout à gagner à cette nouvelle image de l'homme. Elle nous vient de la biologie de l'évolution, qui nous a situés, quelque part dans l'ordre des primates, en bonne compagnie avec nos cousins les grands singes. Elle est aussi un appel à réformer et à moraliser nos relations avec les animaux que nous exploitons : on respecte d'autant mieux qui nous ressemble. Enfin l'animalité humaine fait de nous des esprits forts, qui ont su en finir avec les dualismes et les grands partages métaphysiques d'antan. Bref : c'est à tous égards une pensée progressiste, car ouverte à la science, généreuse envers les animaux, et philosophiquement éclairée. Il se pourrait pourtant que ces raisons d'en finir avec la différence homme-animal ne soient qu'un ensemble de pensées bancales qui, entre oubli des sciences humaines, réduction de la vie humaine à sa seule vulnérabilité et déni de ce que nous vivons en première personne, composent finalement le portrait idéologique d'un progressisme stérile. Pouvons-nous échapper au " complexe des trois singes ", ces trois façons de méconnaître ce que nous vivons et faisons comme vivants humains ? Et pouvons-nous imaginer un progressisme de vérité conscient de tout ce que nous devons aux animaux sans pour autant renier ce que nous sommes ? Etienne Bimbenet est professeur de philosophie contemporaine à l'université Bordeaux Montaigne. Il est notamment l'auteur de L'Animal que je ne suis plus (Gallimard, 2011), et de L'Invention du réalisme (Cerf, 2015).

10/2017

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Développement durable-Ecologie

L'Homme et la Société N° 210, 2019/2 : Humanité & animalité

Dans un contexte de déclin de la biodiversité et d'extinction de différentes espèces animales, qu'accompagne une multiplication des animaux de compagnie depuis soixante ans (la moitié des habitants en possèdent au moins un, de nos jours, en France), se réanime un débat très ancien sur les relations entre humanité et animalité. Beaucoup de personnes donnent des noms humains à leurs animaux de compagnie, transgressant ainsi un vieil interdit tacite qui tend à disparaître. La prise en compte de la souffrance animale est considérée de nos jours comme de plus en plus légitime ; elle met en cause l'élevage et favorise différentes formes de végétarisme. On nomme "animalisme" ce vaste mouvement d'attention aux animaux et de volonté d'égalité entre eux et les humains. Cependant, l'animalisme consacre une égalité paradoxale en cela qu'elle nie aux humains - nonobstant qualifiés d'animaux - le droit d'être carnivore droit qu'elle reconnaît pourtant à d'autres animaux. Cet animalisme ordinaire a un versant plus scientifique. De nombreux auteurs, se revendiquant de l'Interspécisme et de l'éthique de l'environnement ou encore de l'éthologie, quelquefois de la psychologie évolutionniste ou de la paléontologie, mettent en cause aujourd'hui le clivage fondateur de l'humanisme et de la hiérarchie des espèces, renouant ainsi avec la sociobiologie des années 1970. Ils alimentent la réflexion de certaines fractions du mouvement de défense des animaux, ainsi que du mouvement écologiste (notamment "l'écologie profonde"). Le grand retour du naturalisme dans les sciences humaines met aujourd'hui en question les fondements de la socio-anthropologie en niant toute spécificité ou toute essence particulière à l'humain. Mais, en prétendant que les animaux ont une culture, créent des institutions équivalant aux nôtres, ne favorise-t-on pas l'anthropomorphisme et ne commet-on pas de grossières erreurs anthropologiques ?

12/2020

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