Recherche

Amaia Arrazola

Extraits

ActuaLitté

Divers

Totoro et moi. Tout ce que j'ai découvert sur les films d'Hayao Miyazaki

Embarquez pour le Japon à travers un hommage à Hayao Miyazaki et au Studio Ghibli à travers l'analyse de la direction artistique du studio, de ses films et ses personnages emblématiques ! J'ai découvert que le mot Totoro est sorti de la bouche d'une fillette qui essayait de dire " troll ", que Mononoké est accompagnée d'esprits de la forêt appelés kodama, et que le voyage de Chihiro n'était pas imaginaire, mais bien réel. L'imagination d'Hayao Miyazaki m'a laissée bouche bée. Je me contenterai de dire que c'est un génie et qu'il y a mille détails qui font que son oeuvre est une MERVEILLE. Il vous suffira d'ouvrir ce livre pour le découvrir à votre tour !

04/2023

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Amala

Ces moments de vie oubliée permettent à Sonia de redécouvrir Amala, trésor que chacun porte en soi. Après des études à l'école polytechnique féminine de Paris, Marie Agnès Rossfelder obtient un diplôme d'ingénieur et est chargée de travaux dirigés en résistance des matériaux pendant 5 ans. Puis Marie Agnès Rossfelder consacre sa vie à ses enfants. A 50 ans, elle passe un Master en psychologie clinique et enseigne les mathématiques dans une école pour jeunes en difficulté. Actuellement, elle se consacre au piano et à l'écriture.

05/2019

ActuaLitté

Indépendants

Amalia

Amalia est au bord du burn-out. Dans sa famille, où elle s'occupe de sa fille Lili, 4 ans et subit sa belle-fille Nora, 17 ans, ça crie et ça claque les portes, sans répit. Dans l'entreprise où elle est coach, on parle rentabilité, process', elle perd le sens de ce qu'elle fait. Dans les campagnes alentours, elle voit la terre épuisée par la pollution et à la radio, les nouvelles du monde sont loin d'être rassérénantes. Alors Amalia fatigue et s'épuise, Amalia craque.

01/2022

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Terra amata

Il était une fois un petit bonhomme, il avait quatre ans. Il s'appelait Chancelade. On pourrait parler de quatre étapes sur le chemin de sa vie : quatre ans, douze ans et demi, l'événement de la mort de son père, vingt-deux ans et la vie commune avec Mina, sorte de long dialogue sur l'immortalité de l'âme ou non, et enfin le passage en une nuit de vingt-deux ans à quatre-vingts ans. En effet, Chancelade autrefois avait été fort frappé par un mot de sa grand-mère, un mot qu'il avait jugé être le comble de la tristesse; elle lui avait dit et elle avait quatre-vingts ans : "La vie est si courte". D'où la volonté de Chancelade de vivre intensément, de ne pas perdre une seconde, et d'être sans cesse au niveau de cette rumeur de la vie et de ce qui pourrait l'être. C'est donc une fête continuelle, un émerveillement, une vraie joie, mais précaire, menacée...

11/1998

ActuaLitté

Littérature française

Villa Amalia

Loin devant les villas sur la digue, elle se tenait accroupie, les genoux au menton, en plein vent, sur le sable humide de la marée. Elle pouvait passer des heures devant les vagues, dans le vacarme, engloutie dans leur rythme comme dans l'étendue grise, de plus en plus bruyante et immense, de la mer.

08/2007

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Les Maia

Jorge Luis Borges considérait Eça de Queiroz comme "un des plus grands écrivains de tous les temps" : Les Maia, paru en 1888, est indubitablement son chef-d'oeuvre. Il appartient au genre des romans "cycliques" où l'on suit le destin non seulement d'une personne, mais d'une famille, précédant ainsi Les Buddenbrooks de Thomas Mann. Le noeud de l'action est une sulfureuse histoire d'amour dans le goût romantique, mais le grand intérêt du récit est ailleurs : dans la peinture d'une société bourgeoise décadente ; dans l'évocation de la ville de Lisbonne qu'arpente le héros, Carlos de Maia, de la rue des "Janelas Verdes" jusqu'au Chiado ; enfin dans le personnage d'Ega, type du Portugais cultivé, hyperconscient, cosmopolite, enclin à dénigrer son pays auquel il est profondément attaché - comme Eça lui-même. A la fois histoire d'une passion fatale, peinture de moeurs objective et virulente satire, ce livre, dont le rythme rappelle les romans anglais par son style à la fois lumineux, attendri et ironique, a immortalisé Lisbonne dans la littérature. Robert Bréchon

01/2018

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté