Recherche

(très) Cher cinéma français

Extraits

ActuaLitté

Non classé

(très) Cher cinéma français

"HS. Kaputt. Finito. Arrêtons les frais. Le cinéma français agonise sous nos yeux. Il ne faut plus se voiler la face. Il est à peine l'ombre de lui-même. Bientôt, on punira les enfants qui n'ont pas fini leurs devoirs en les obligeant à regarder les nouveautés. C'est ainsi, le plaisir est devenu une corvée. Si tu n'es pas sage, tu iras voir le dernier Ozon. C'est une morne plaine. Comment en est-on arrivé là ? " Eric Neuhoff livre un tableau sans concession du cinéma français actuel. Réalisateurs, acteurs, professionnels du septième art, nombreux sont ceux soumis à sa critique acérée. Nostalgique du cinéma des années 1960 et 1970, il déplore que celui d'aujourd'hui ne fasse plus rêver.

11/2021

ActuaLitté

Non classé

(très) Cher cinéma français

"HS. Kaputt. Finito. Arrêtons les frais. Le cinéma français agonise sous nos yeux. Il est à peine l'ombre de lui-même. Bientôt, on punira les enfants qui n'ont pas fini leurs devoirs en les obligeant à regarder les nouveautés. C'est ainsi, le plaisir est devenu une corvée. Si tu n'es pas sage, tu iras voir le dernier Ozon".

09/2019

ActuaLitté

Correspondance

Cher, très cher, admirable et charmant ami...

Quand débute cette correspondance, en 1956, Georges Perec va avoir vingt ans. Lui et Jacques Lederer, tous deux étudiants, sont inséparables ; ils fréquentent fort peu la Sorbonne mais passent un temps considérable à hanter cinémas et boîtes de jazz, à lire, écrire et chercher l'âme soeur. Leur service militaire, en pleine guerre d'Algérie, met un frein à leurs activités nocturnes et diurnes ; l'éloignement qui en découle donne véritablement naissance à cette correspondance. Débordant de jeux de mots, de citations plus souvent ironiques que déférentes et d'inventions langagières invraisemblables, ces 250 lettres font cohabiter André Gide, Apollinaire, Lester Young, Ingmar Bergman et Tex Avery. D'une vitalité irrésistible, elles sont un témoignage unique de la jeunesse d'un des écrivains les plus marquants et les plus singuliers du XXe siècle français.

05/2019

ActuaLitté

Littérature française

Cocktail de saison

Dans ce Cocktail de saison, on emprunte la N20 et des longs courriers. On trinque avec Fitzgerald et Hemingway. On s'échappe à Cadaques, Venise ou New York. On se remémore les années Giscard et un incroyable réveillon au Meurice. On célèbre les 50 ans du Parrain. Des ombres de disparus passent, s'attardent. Tel un antidote à la mélancolie, les mots buissonniers d'Eric Neuhoff sont à consommer sans modération, à la manière d'Avec mon meilleur souvenir de Françoise Sagan ou de Ma vie entre les lignes d'Antoine Blondin. Des croquis de mémoire où se mêlent portraits, voyages, choses vues, flâneries cinématographiques, esquisses de journal. Comme des photos dans un album souvenir. Comme une quête du temps enfui. Comme les pages arrachées, et offertes, d'un carnet. Journaliste au Figaro et au Masque et la Plume, Eric Neuhoff a publié une vingtaine d'ouvrages dont Un bien fou (Grand Prix du roman de l'Académie française 2001), Costa Brava (Prix Lipp-Cazes 2017) ou (Très) cher cinéma français (Prix Renaudot essai 2019). L' Académie française a salué son oeuvre en lui remettant le grand prix de littérature Paul-Morand en 2022.

10/2022

ActuaLitté

Tunisie

Une expérience humaine de coopération universitaire franco-tunisienne au temps de l’ "ère Bourguiba" (1969-1973)

La Tunisie des années 1970, un pays très attachant, qui savait mêler avec succès un charme oriental originel et une certaine modernité occidentale progressiste, sous l'égide de son "guide spirituel" : Habib Bourguiba. Un pays respectueux de ses valeurs traditionnelles ancrées dans ses racines islamiques mais tolérantes vis-à-vis des religions chrétiennes et judaïques et dont les médias étaient largement ouverts aux moeurs libérales occidentales, qu'elles soient culturelles (le cinéma, la littérature...), vestimentaires (la minijupe portée par les étudiantes) ou sanitaire (le planning familial recommandant la contraception symbolisée par le stérilet dénommé alors "le scoubidou"). Une nation-amie, une nation-soeur largement ouverte culturellement à l'influence française qui se matérialisait par une étroite coopération scientifique inter-universitaire justifiant la présence d'assez nombreux "coopérants" responsables de la formation des futures élites tunisiennes. C'est cette Tunisie-là et son peuple, chaleureux, accueillant et sympathique, que nous avons tellement appréciés et tant aimés... Les Tunisiens sont demeurés libres, depuis, de choisir d'autres voies... Nous pouvons cependant, Nous, les Coopérants de "l'Ere Bourguiba" , être fiers d'avoir apporté notre modeste contribution à l'édification d'un Pays qui demeurera, quoi qu'il arrive, "toujours cher à nos coeurs" . Jacques Bruslé témoigne de son travail durant les années 1969-1973 dans ce pays particulièrement hospitalier qui possédait depuis longtemps une élite intellectuelle avancée et ouverte aux échanges. Un regard nostalgique sur une expérience humaine et exotique avec des étudiants assoiffés de savoir et de fraternité avec la France.

07/2023

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté