Le mastodonte dont la capitalisation boursière se chiffre à 1500 milliards $ est connu pour ses habiles optimisations fiscales en tous genres. Extrêmement agressif dans sa politique tarifaire, oppressante pour les fournisseurs, douce pour le consommateur, il aime aussi profiter de l’argent du contribuable. Au cours des dix dernières années, il aurait bénéficié de 4,7 milliards $, à travers le monde, d’aides au développement. Des subventions publiques.