On connaît les coups de gueule de François Ruffin, député de profession, rueur dans les brancards par déformation. Ou l’inverse. Adepte des saillies à l’Assemblée nationale, sa dernière intervention fait fureur : le pauvre parlementaire se désole de ce que son libraire, qu’il apprécie au demeurant, se borne à payer des impôts. Et ce, alors qu’Amazon, lui, a trouvé des options bien plus confortables.