ROMAN FRANCOPHONE – « Un matin, ça ne sert à rien », chantait Goldman. Sauf ces matins de terribles révélations, façon théophanie où apparaîtrait une divinité maléfique. Le ciel vous tombe sur la tête, embarquant les satellites et les astres. Dans l’histoire Clara, ce matin-là, celui-ci plus que tous les autres, est devenu le bac révélateur : avant toute photo, un négatif, qui a capté ce que l’on souhaitait ignorer.