Il y a encore quelques années, il était assez simple de définir le métier de journaliste : était journaliste professionnel celui qui détenait une carte de presse, soit une carte d’identité professionnelle qui permet de prouver son activité, de revendiquer des droits sociaux et d’accéder facilement aux lieux pour obtenir des informations, conformément à la Loi Brachard de 1935. Aujourd’hui, si la reconnaissance professionnelle du métier de journaliste est toujours en vigueur, de nouvelles formes de rédactions éclosent, notamment avec le développement d’internet. Blogueurs, rédacteurs, chroniqueurs… L’écrit étonne par sa vivacité : protéiforme, il semble à la portée de chacun.