Cent portraits ardennais

Sur iPhone, le credo d'Apple était de clamer qu'il y avait une application pour ça. Et une application pour tout. Amazon l'a cru et a lancé un kit de développement d'applications pour son Kindle en janvier dernier. Moralité... pas des masses d'enthousiasme.

Mince alors : on peut écrire dans le Parisien et se tromper ? Faut croire. Parce que selon toute vraisemblance, quand le quotidien a annoncé que prochainement, la maison Léo Scheer publierait un ouvrage de Jean-Luc Delarue, il n'en était rien du tout.

Du 27 avril au 7 mai derniers se déroulait la 14e édition de l’action solidaire et littéraire PARTAGERLIRE. Chez Payot Libraire, Nature & Découvertes Suisse et dans les supermarchés Coop Suisse romande, les clients ont pu déposer les ouvrages dont ils n’avaient plus l’usage. Cette opération a permis de rassembler pas loin de 230.000 livres.

Un week-end décisif pour l'Imprimerie Nationale

Trente-neuf ans après celle-ci qu'en est-il vraiment
dans le Nouveau-Brunswick au sujet du bilinguisme ?

De plus en plus de professeurs se déclarent menacés.

Espresso Book Machine : 2 millions de livres offerts par Google books

Ténèbres : entre fantasy et démons, un monde en péril

Séduire comme un Dieu, les leçons de flirt antique

Gros contrat d'édition pour Rod Blagojevich, le gouverneur destitué

Salon du livre d'Alger : « La vente en gros, c’est fini ! »

Auteur de L'Anomalie (2020, Gallimard) et actuel président de l'Oulipo, Hervé Le Tellier, se confie sur sa jeunesse et les conditions de ses créations littéraires, dans un podcast.

Au cours de la séance plénière de ce mercredi 22 mai, l’Académie des beaux-arts a élu Claudine Grammont correspondante de la section de gravure et dessin. Elle rejoint quatre homologues, avec lesquels elle secondera les académiciens dans leurs travaux.

Walt Longmire, le shérif du comté d’Absaroka, Wyoming, a passé, non sans mal puisqu’il n’a pour toute pièce d’identité que son permis de conduire, le poste frontière après avoir glissé entre les doigts du FBI qui avait tenté de l’empêcher de le faire.

Estimant que la France est en retard sur le point des chatiments corporels sur les enfants, la député UMP et pédiatre reconnue Edwige Antier a déposé un projet de loi visant l'interdiction de la fessée. Elle estime en effet que cet acte violent n'a jamais permis de résoudre un conflit.

Pire, il contribue à donner à l'enfant une perception mauvaise des choses : le plus fort peut se permettre de frapper le plus faible.

Pour étayer sa position Edwige Antier s'appuie sur les choix législatifs déjà faits par différents pays européens dont la Suède et l'Allemagne. Actuellement en France, une enquête de l'Union des familles en Europe, montre que 87 % des parents disent avoir eu recours à ce châtiment corporel et plus de la moitié se prononcent contre son interdiction.

Si ce projet de loi passait devant l'Assemblée nationale, il ne s'agirait pas de mettre les parents qui donnent des fessées derrière les barreaux, mais de contribuer à faire baisser le nombre de ceux qui pratiquent ce geste.

L'interdiction de la fessée serait inscrite non pas dans le Code pénal mais bien dans le Code civil. Ainsi les mentalités pourraient être amenées à évoluer progressivement comme ce fut le cas en Suède. Lorsque l'interdiction fut votée dans ce pays, 70 % des parents étaient alors opposés à ce texte. Désormais, ils ne sont plus que 10 %.

Le site Bloody Disgusting vient de lâcher une petite bombe. En effet, il semblerait selon deux de leurs sources que le film live d'Akira ne verra pas le jour. Pour l'instant, rien d'officiel. Ni la Warner, ni Appian Way (la société de production de Léonardo di Caprio) n'ont confirmé cette rumeur.

Le premier volet de ce diptyque (qui devait couvrir en deux films six volumes du manga) devait sortir sur les écrans cet été. Et il pouvait paraître étonnant de ne pas en entendre plus parler. Il semblerait que Ruairi Robinson ait décidé qu'Akira ne devait pas être son premier long métrage live (film avec de vrais acteurs par opposition à film d'animation). Il aurait quitté le projet.

Toujours est-il que la Warner avait quand même dû se battre pour conserver les droits d'adaptation de l'oeuvre de Katsuhiro Ōtomo en signant un chèque qui dit-on atteignait les sept chiffres. Avec un tel investissement, il y a fort à parier que la maison de production, ne va pas laisser tomber Akira. Cependant, il ne s'agit là que de spéculation.

Outre son rôle de producteur, Léonardo di Caprio devait tenir un rôle dans Akira. Et c'est peut-être le seul point positif, si effectivement ce projet de film ne voit pas le jour, on pourra se dire que l'on a évité une apparition du bellâtre blond dans ce beau classique qu'est Akira.

Nos confrères de Plume Libre ont interviewé l'auteure de la trilogie La cité des ténèbres dont le premier tome La coupe mortelle est sorti il y a peu en France. Cassandra Clare s'est prêtée avec franchise et bonne humeur au jeu des questions réponses.

Dans cet entretien on apprend notamment que l'écrivaine ne s'inspire pas vraiment de sa vie et des personnes qu'elle côtoie pour écrire ses histoires. Elle déclare : « Une des choses que j'ai toujours trouvé hilarante à la télé, c'est cette idée que tous les auteurs écrivent une version voilée de leur propre vie qui mettrait en scène toutes les personnes qu'ils connaissent [...] En réalité, sauf si vous écrivez vos mémoires, je trouve qu'il est très difficile de calquer vos personnages en bloc sur des personnes que vous connaissez réellement ».

Elle explique aussi que le travail des personnages est très important pour elle et nous donne sa recette pour faire de bons personnages : « Je pense que le truc c'est de prendre des personnages "racontables " avec des imperfections et de les mettre dans des situations où tant leurs forces que leurs faiblesses seront mis en avant et où ils seront obligés de faire des choix qui révéleront leur vraie personnalité. Je pense que les personnages doivent toujours êtres testés ».

Pour retrouver l'intégralité de cette interview de Cassandra Clare, il vous suffit de suivre notre lien vers le site de Plume Libre.

À la fin des années cinquante, dans un petit village de la vallée de la Cèze entre Avignon et Nîmes, vit Marcellin Lapeyrade, trente-cinq ans, directeur d’un grand domaine de vignes. Nous sommes entre deux mondes, celui des restrictions de la guerre et celui du début du tourisme de masse. Solitaire et réservé, Marcellin mène une vie chaste aux côtés d’une mère qui n’a guère connu le bonheur dans sa vie, entre un premier époux défunt, «

Il est étrange que la littérature croise le chemin du communisme qui fut l’ennemi déterminé de toute libre expression artistique là où le malheur des temps le conduisit à s’imposer à un pays.

Scarlett Johansson sera la star du futur Ghost In The Shell New Movie, un titre encore provisoire, mais le long-métrage de Kazuya Nomura débute sa campagne de promotion. Un teaser est déployé sur les réseaux. Adapté des ouvrages de Masamune Shirow, les perspectives sont nombreuses, et le public en attend évidemment beaucoup.

Rencontres / Débats - Samedi 21 septembre 2013 à 17h00 - A la librairie

Rencontres / Débats - Mardi 15 mai 2012 à 20h00 - A la librairie

Ou la question du T’es-qui-toi-à-la-base-pour-causer-de-ça ? Suite à notre entretien avec l'éditeur Stephen Carrière, autour de la censure d'ouvrages, nous avons souhaité prolonger la réflexion posée sur l'avenir de l'édition. Et ce, à travers deux thématiques très contemporaines : le rôle du trigger warning, détaillé la semaine passée. Il évoque cette fois-ci les sensitivity readers et la notion d'appropriation culturelle autre enjeu pour l'industrie du livre.

Agé de 38 ans, Guillaume Bailly est devenu croque-mort à la faveur des hasards de la vie, après plusieurs missions effectuées en interim. Dans la profession depuis maintenant  une vingtaine d'années, il vient de publier un livre pour relater ses nombreuses anecdotes, rapporte La Voix du Nord.

Depuis sept ans que l'on n'a plus rien lu de JK Rowling, appartenant à l'univers d'Harry Potter, JK Rowling a décidé de se consacrer au sport de prédilection de ses personnages : le Quidditch. Cette compétition qui se déroule sur un balais, demande une discipline stricte et un fort esprit d'équipe. C'est du moins ce que devrait raconter Ginny Weasley, l'épouse du petit Harry, qui depuis a bien grandi. 

Voilà une nouvelle histoire de livre rendu bien en retard au sein d’une bibliothèque. Tout commence dans l’est de l’Angleterre, dans la bibliothèque du lycée de North Walsham en 1953.