Ronald Bosmans

Milliardaire impliqué dans toutes sortes de secteurs, de l'immobilier aux compagnies aériennes, Donald Trump a récemment été rattrapé par la justice et contraint à payer de fortes amendes. Peut-être à la recherche de nouvelles sources de revenus, il s'est dernièrement associé à une société productrice de Bibles, vendues à distance.

Le musée et centre historique consacré à Roald Dahl va rouvrir ses portes ce 20 octobre, après deux mois de travaux intensifs. Une rénovation impérative, après les dégâts qu’a causés une inondation fulgurante. 

Le poète et lauréat de littérature pour la jeunesse, Michael Rosen, est également un grand fan de Roald Dahl. Son dernier livre, qui sort aujourd'hui chez Puffin Books, a été l'occasion pour l'écrivain de se pencher sur l'histoire et la personnalité de l'auteur de Charlie et la Chocolaterie. La biographie s'annonce touchante et inspirante, pour une nouvelle génération de jeunes lecteurs.

L'Angleterre vit actuellement de glorieux moments. La petite-fille de Roald Dahl vient de solliciter l'amour de ce peuple pour l'auteur de livres jeunesse... et surtout son porte-monnaie. C'est que la question est délicate : il faut déplacer la petite cahute dans laquelle Roal se réfugiait pour écrire.

Il est temps d’en savoir un peu plus sur un des auteurs jeunesse les plus emblématiques du XXe siècle. Roald Dahl est l'auteur à qui l'on doit Charlie et la chocolaterie, Matilda, Sacrées Sorcières ou bien James et la Grosse Pêche. Mais le succès retentissant de ces livres cache des surprises dans la vie et l’œuvre de ce grand écrivain, qui n'avait pas écrit que pour la jeunesse. 

Tout le pays, moutons y compris, vient de se retrouver pour organiser un grand vote littéraire qui a salué, d'entre tous les auteurs jeunesse, Roald Dahl. L'homme qui a écrit Charlie et la Chocolaterie ne pouvait pas être foncièrement mauvais, et voilà qu'il est devenu foncièrement le favori.

Connu pour ses oeuvres jeunesse, Roald Dahl n'aurait pas qu'une seule corde à son arc, finalement... Au cours de la Seconde Guerre mondiale, l'écrivain aurait agi comme un véritable James Bond, mais pas uniquement dans le domaine de l'espionnage. Tout aussi bien dans celui des conquêtes féminines à rallonge.

Les versions révisées de livres signés Roald Dahl, à la demande des ayants droit de ce dernier, ont secoué le Royaume-Uni. La polémique bat son plein : certains déplorent une hypocrisie mercantile, voire l'appauvrissement de la langue. D'autres saluent une modernisation bienvenue. En France, Gallimard Jeunesse, qui publie les traductions de Dahl, assure que la réécriture n'est pas d'actualité.

Les personnages de Roald Dahl, favoris des enfants

On peut éteindre sa télé, couper la radio, ne lire que quelques pages du journal, mais il arrive toujours qu'un message de Donald Trump posté sur Twitter apparaisse dans sa timeline. Certes, on peut aussi désinstaller Twitter, mais un robot a été créé pour proposer une réponse en forme de happening, plutôt séduisante : imprimer les tweets de Trump, pour mieux les brûler. 

Les scénaristes des aventures de James Bond, Neal Purvis et Robert Wade, se sont confiés sur leurs difficultés à écrire la suite de la franchise. Un problème qui, selon eu, serait dû au climat politique actuel et l'arrivée de Donald Trump au pouvoir. Difficile, dans ces conditions, de trouver meilleur profil pour un super méchant.

Il a peut-être célébré ses 70 ans, le roi de l’horreur n’en est pas moins vif, et tout particulièrement sur les réseaux sociaux. Twitter, devenu son terrain de jeu au même titre que JK Rowling, lui sert régulièrement à dénoncer la bêtise ambiante. Et tout particulièrement celle qui émane de la Maison Blanche.

Passablement agacé par la publication d'un livre très critique sur ses premiers mois à la Maison-Blanche, Donald Trump aurait toutefois mieux fait de passer ses nerfs sur une balle anti-stress. Le courrier envoyé à l'éditeur de Fire and Fury, réclamant l'arrêt de la publication du livre, a conduit à son succès. Et vaut désormais à Trump une réputation de censeur que critique ouvertement l'Union internationale des éditeurs.

Pour Garry B. Trudeau et tous les artistes satiriques américains des années 80 qui font commerce du ridicule, Donald Trump est l’étalon de la démesure kitsch et sans limites : faire semblant de ne pas le voir aurait été une faute impardonnable pour tout humoriste, un cadeau qui dépasse leurs rêves les plus fous : Trump est alors intégré à plein régime dans leur business plan.

[Avant-critique] Fire and fury, inside the Trump White House, de Michael Wolff, paru en janvier 2018 aux États-Unis est un livre bombe, selon l’expression du quotidien le Courrier international, décrivant la première année de la présidence Trump. Je me suis intéressée, tout d’abord, à son écho dans la presse. Ensuite je me suis livrée à une vague description de l’auteur, le journaliste controversé Michael Wolff, avant de donner mon regard sur l’œuvre.

Quelques semaines après son coup de force raté contre un ouvrage critique à son égard, Donald Trump s'en prend de nouveau au livre et à la lecture. La proposition du budget des États-Unis pour l'année fiscale 2019, au rayon des économies à réaliser, évoque ainsi de larges coupes dans les financements accordés aux artistes, à la recherche et aux bibliothèques fédérales.

La Galerie Glénat, située à Paris dans le 3e arrondissement, accueillera dès le 16 et jusqu'au 29 mai une exposition consacrée aux dessins de Nicolas Keramidas pour Donald's Happiest Adventures, un recueil d'aventures inédites signées avec Lewis Trondheim. Le 16 mai, pour le vernissage, Nicolas Keramidas réalisera un dessin en direct, qu'il sera possible de voir sur la page Facebook de la galerie.

« Bourré de mensonges » : utiliser les mots de Donald Trump pour vendre le livre qu’il avait tenté de censurer, c’est la stratégie ingénieuse et (très) amusante adoptée par la chaîne de librairies britannique Waterstones. Beau retour à l’envoyeur pour le président amateur de tweets grotesques. 

Nouvelle polémique autour du président des États-Unis, mais pour une fois, ce n'est pas lui qui l'a provoquée. Les plaintes fusent sur le directeur de théâtre Oskar Eustis et sa mise en scène de la pièce de Shakespeare Jules César, jouée à Central Park pour un festival mettant en avant les pièces de Shakespeare. Car le personnage principal ressemble comme deux gouttes d'eau à un certain Donald Trump, et ce n'est visiblement pas pour plaire aux Républicains.

Quand le président américain ne sait plus écrire, c'est la Toile qui s'affole. Alors que Stephen King critique ouvertement les décisions de Donald Trump, les dictionnaires, eux, s'indignent contre son langage ; car Trump publie régulièrement des tweets où se nichent des erreurs qui font se dresser les poils des anglophones. Et lorsque la langue anglaise a besoin d'être sauvée, c'est le dictionnaire Merriam-Webster qui intervient.

On hésitera une fois encore – une fois n’est pas coutume – entre l’ire et la joie, face aux dernières déclarations de Donald Trump. D’abord, parce que son obsession à manipuler les informations en devient pathétique. Ensuite, parce que la publicité qu’il offre à George Orwell devient indécente. 

« Je doute sérieusement que Trump n’ait jamais lu un livre de sa vie d’adulte. » La phrase, douloureuse pour l’intéressé, provient de son ghostwritter, Tony Schwartz. Alors que l’ex-président des États-Unis se voit proposer des montants records pour des livres et de la télévision, l’écrivain vient d’objecter une fin de non-retour.

A l'approche des élections américaines, les médias se focalisent sur le petit état de l'Iowa, où résonne le coup d'envoi de la course à l'investiture républicaine. A cette occasion, nos confrères du JDD proposent le portrait d'un ancien shérif reconverti dans l'écriture de romans noirs Donald Harstad.

C’est officiel, Donald ne publiera pas sa biographie en janvier. Mais en octobre. Le 6 précisément. Ce qui en soi constitue une non-information dont les médias pourront se régaler. Sauf qu’en sa qualité de candidat dans la course présidentielle américaine, Donald Trump profite de toute occasion de communiquer. Et cette décision d'avancer la parution est une occasion comme une autre. 

La plus importante récompense littéraire hispanophone au monde, le Prix Cervantes, vient de mettre à l'honneur José Manuel Caballero Bonald. En présence du ministère de l'Education, Jose Ignacio Wert, l'écrivain, âgé de 86 ans a été élu, pour sa contribution littéraire tout au long de sa vie.

Penguin qui perd l'un de ses auteurs fétiches, a publié lundi un communiqué de presse déclarant le décès pour cause naturelle, de Donald J. Sobol, le 11 juillet dernier à Miami.

Donald Rumsfeld n'aura pas cessé de partir en guerre et de relancer le goût des soldats pour le conflit, d'un côté, et noyant de l'autre le regard des concitoyens étatsuniens sous les déclarations plus mensongères les unes que les autres.

Donald Trump n’est pas seulement accusé dans plusieurs affaires plus ou moins graves, jusqu’à une possible inculpation future, pour « conspiration ». Il est également souvent accusateur : ce dernier intente cette fois-ci un procès contre le célèbre journaliste américain, Bob Woodward et son éditeur. Les avocats de Trump réclament près de 50 millions $ de dommages et intérêts…

L'ex-président du pays de la liberté d'expression n'a pas perdu ses bonnes habitudes. L'ancien procureur de New York, Mark Pomerantz, et l'éditeur de son livre à paraître, Simon & Schuster, ont reçu une missive salée, signée par l'avocat de Donald Trump. Ce dernier menace de poursuites judiciaires l'auteur et la maison, si l'ouvrage People vs. Donald Trump: An Inside Account venait à paraître. Le titre porte sur la gestion financière de l'empire Trump...