Camille DeAngelis

Camille Peretti sera honorée du 25e Prix des Romancières le mercredi 3 avril chez Livres Hebdo, récompensée pour L’inconnue du portrait, éditée par Calmann-Lévy. Désignée lauréate dès le premier tour, elle prend la relève de Véronique Ovaldé, gagnante de l'édition 2023 pour Fille en colère sur un banc de pierre (Flammarion). Le processus de sélection a eu lieu le 20 mars à la bibliothèque André Gide du Bistrot de Paris.

De grandes planches en bois à taille humaine sur lesquelles des portraits d'illustres inconnus du monde entier sont peints. Voilà l'exposition TOTEMS, réalisée par le peintre illustrateur Laurent Corvaisier. Elle présente les personnages des albums parus en 2002 et 2008 chez Rue du Monde La famille Totem sur des textes d'Alain Serres et des photographies de Françoise Stijepovic. Ces livres sont une galerie de portraits d'hommes et de femmes de tous horizons représentés dans leurs envies, leurs paysages, leurs rêves, leurs manies.

Pendant deux semaines, ils investiront nos vitrines de la rue Malte Brun pour un « cherche et trouve » géant spécialement dessiné pour nous par Christophe Bataillon, le facétieux créateur de cette turbulente famille ! 

ROMAN FRANCOPHONE – Parce que j’éprouvais une furieuse envie de terminer cette revue estivale avec une talentueuse auteure helvétique. Parce qu’il me tenait à cœur de prouver ici que la francophonie ne s’arrête pas à la France. Parce que les écrivains originaires du pays des montres, des coucous et du chocolat, n’écrivent pas tous des livres longs, trop longs (toute ressemblance avec un personnage existant n’est que pur hasard…). Pour toutes ces raisons, voici Le bus de Mélanie Richoz.

BONNES FEUILLES - Dans ce nouvel album-jeu inédit, la famille Oukilé voyage à Paris. Monsieur et madame Oukilé, leurs enfants Flore et Nestor, et le petit chien Opié se baladent dans les rues de Paris. La ville est grande et les personnages se perdent souvent. C'est au lecteur de les retrouver… 

The Making of Harry Potter Attraction

Susie MorgensternLa famille trop d'filles Clotka

BONNES FEUILLES - La Famille est devenue célèbre en 2021 au travers d’ouvrages à succès. Voici sa version historique, par un grand historien du catholicisme. 

Fjällbacka, un petit village de la côte suédoise, prisé depuis quelques années par les riches Stockholmois en saison

Un homme avec des prothèses mystérieuses greffées dans le corps. Une femme quasi immortelle avec des antennes sur le crâne. Et un petit bébé blond qui n’a rien demandé. Ce trio qui n’a pas grand-chose d’une famille se retrouve avec la mafia aux trousses dans un monde où le trafic d’humains fait loi. Bienvenue dans le sombre et haletant univers de Badducks.

En juin dernier, la maison d’enfance de Camille et Paul Claudel a ouvert ses portes au public à Villeneuve-sur-Fère, dans l’Aisne. Dans cet ancien presbytère du XVIIIe siècle, le poète et dramaturge Paul Claudel a vu le jour le 6 août 1868, 4 ans après sa sœur Camille, née le 8 décembre 1864, à Fère-en-Tardenois. Ils y ont vécu jusqu’en 1870, date à laquelle la famille Claudel vend la propriété et quitte le Tardenois pour Nogent-sur-Seine. Le presbytère, qui jouxte le cimetière où sont enterrés leurs parents et grands-parents, retourne alors à sa fonction première. 

Les académiciens ont désigné deux nouveaux pairs, qui vont rejoindre leurs rangs dès la prochaine réunion de l'Académie Goncourt, le 3 mars prochain. Camille Laurens et Pascal Bruckner ont respectivement été élus au 7e couvert et au 1er couvert.

FIBD 2020 — La jeunesse se lève tôt : avant même l'ouverture officielle du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême, le 29 janvier dernier, deux Fauves, les prix de l'événement, ont été remis par les jeunes lecteurs. Akiko Higashimura a ainsi reçu le Fauve Jeunes Adultes, et Camille Jourdy le Fauve Jeunesse.

« Camille Morand (…) C’est rien, c’est un écrivain » Si, pour une fois, on prenait conscience que l’histoire n’était qu’un prétexte, un moyen pour démontrer que Camille Laurens n’est jamais là où on l’attend, n’est jamais Celle que vous croyez : titre de son dernier roman.

Dans le cadre de ses rendez-vous littéraires, la Maison des écrivains et de la littérature propose une rencontre avec : Jacques Réda dans le cadre du cycle « A demain la poésie », le mercredi 11 avril 2012 de 13h à 15h à l’auditorium du Petit Palais, musée des Beaux-arts de la Ville de Paris, Camille de Toledo, présenté par Gilles Rozier dans le cadre du cycle « En échange » , le mercredi 18 avril 2012 de 18h30 à 19h30 cycle organisé à la BPI, Bibliothèque publique d’information, salle de lecture 2e niveau, rue du Renard 75004.

Dans le cadre de ses rendez-vous littéraires, la Maison des écrivains et de la littérature propose une rencontre avec : Jacques Réda dans le cadre du cycle « A demain la poésie », le mercredi 11 avril 2012 de 13h à 15h à l’auditorium du Petit Palais, musée des Beaux-arts de la Ville de Paris, Camille de Toledo, présenté par Gilles Rozier dans le cadre du cycle « En échange » , le mercredi 18 avril 2012 de 18h30 à 19h30 cycle organisé à la BPI, Bibliothèque publique d’information, salle de lecture 2e niveau, rue du Renard 75004.

En 1905, Camille Mauclair (1872-1945), sentit qu’avec le fauvisme et le début du cubisme en 1905, apparaissait un nouveau paradigme, auquel il était incapable en tant que critique de donner une réponse. Et cette incapacité signa la rupture de Mauclair avec l’art moderne. En 1931, il écrira un ouvrage critique sur le Greco, dont l’originalité le confrontera à nouveau au problème de la rupture de la tradition dans l’art pictural. Cet article paraît en deux parties. La seconde est programmée pour la semaine prochaine. Par Antoine Cardinale

En 1905, Camille Mauclair, sentit qu’avec le fauvisme et le début du cubisme en 1905, apparaissait un nouveau paradigme, auquel il était incapable en tant que critique de donner une réponse. Et cette incapacité signa la rupture de Mauclair avec l’art moderne.  En 1931, il écrira un ouvrage critique sur le Greco, dont l’originalité le confrontera à nouveau au problème de la rupture de la tradition dans l’art pictural. Ceci est la deuxième partie de notre article (voir la première partie). Par Antoine Cardinale

BONNES FEUILLES - « Pleine et douce », comme la peau de la petite Ève, qui a juste vu le jour et dont une galaxie de femmes s’apprête à célébrer la naissance. Dans à peine deux semaines, aura lieu la fête en blanc organisée pour sa venue au monde. Stéphanie, sa mère, cheffe de cuisine, a toujours désiré un enfant, jamais une vie à deux. Elle est partie en Espagne, pour une procréation médicalement assistée, alors impossible en France. 

BONNES FEUILLES - Une plongée inattendue dans les paradoxes du Mexique contemporain avec une héroïne moderne, animaliste et féministe, confrontée aux problématiques de son engagement.

CINEMA - On sait peu de chose, finalement, sur le réalisateur du Fabuleux destin d’Amélie Poulain, Délicatessen, La Cité des enfants perdus, Alien Résurrection, Un long dimanche de fiançailles… L’homme n’est pas un habitué de la rubrique people, et se fait plutôt discret. Jean-Pierre Jeunet a décidé de révéler un peu de lui-même dans un ouvrage, au titre en clin d’œil au Je me souviens de Perec.

ROMAN ETRANGER - Bob Dylan, et bien d’autres avant lui nous l’ont dit : l’art a pour mission première de faire bouger l’humanité. Jennifer Egan, lauréate d’un prix Pulitzer partage cette vision du monde. et, mieux encore, sait nous la transmettre. Manhattan Beach est une éprouvante course à l’identité.

ROMAN ETRANGER - Noël est une fête de famille. En Italie peut être plus qu'ailleurs car religion et famille s'y combinent avec force. Tous les invités, ou presque, sont présents et attendent arrivée de l'ultime convive qui tarde un peu. Il n'y a que des femmes, pour l'instant, autour de la table, qui commencent à se regarder avec un drôle d'air car ne manque que celui qui fait le lien entre toutes : Vittorio...

Gomez et Morticia Addams, ainsi que l'Oncle Fester, Lurch ou encore Merredi et son frère Pugsley, et puis La Chose, Mamie Addams et le Cousin Machin... en voilà une belle famille, unie et soudée... mais surtout lugubre à plus d'un titre et passablement déjantée. 

Cette famille, française et périgourdine, descend d’un gentilhomme écossais qui combattait dans les armées anglaises à la fin de la guerre de Cent Ans. Fait prisonnier à la bataille de Formigny (15 avril 1450), puis libéré, il fit venir son épouse irlandaise et quitta la Normandie pour s’installer en 1454 à Sarlat, au cœur du Périgord. L’auteur appartient à la vingtième génération de cette lignée.

Pour qui n’a pas lu Le mec de la tombe d’à côté, cette lecture ne s’impose pas. Le caveau de famille se présente comme la suite du roman précédemment cité. Il reprend les mêmes personnages et leur fait vivre de nouvelles situations sans autre originalité que le décalage de milieux sociaux opposés, certes exprimé avec drôlerie dans le précédent roman, mais bien fade dans le second, avec une impression de déjà vu et de déjà lu.

Casey Han est déterminée à entrer dans un monde étincelant de privilèges, de pouvoir et de richesse, mais à quel prix ?

BONNES FEUILLES - De quoi se compose l’ossature d’une famille ? Des membres essentiels ? D’une construction invisible qui les soutient tous ? Qui ne fait pas partie de l’ossature Raba ? 

Succubes, Tome 1 : Camilla. Robespierre qui roule….

#PEPLP23 – La remise du Prix Envoyé par La Poste marque toujours les esprits. De fait, voilà l’unique célébration qui consacre un lauréat (Mokhtar Amoudi, en l’occurrence, pour Les Conditions idéales), tout en conviant les autres autrices et auteurs sélectionnés. Une place pour toutes et tous, sous le regard bienveillant d’Olivier Poivre d’Arvor, président du jury.