La ministre de la Culture s'était fait épingler par un journaliste internet consterné : comment ça, sur le net, rien n'était éditorialisé ? C'est quoi cette histoire, Aurélie ? « Si la presse abandonne la qualité, il n'y aura plus de différence entre les journaux, les magazines payants et la presse gratuite, notamment sur le Net où rien n'est éditorialisé. Il n'y a que par la qualité, que par le professionnalisme, que par un parti pris, un point de vue, un regard photographique que la presse s'en sortira. C'est par le haut qu'elle surmontera la crise. »