Dans l'ouest de l'Ukraine, une Crimée dont personne ne se souvient qu'elle a finalement toujours été russe, et avant cela, soviétique, des manifestants ont souhaité réchauffer l'ambiance, actuellement assez compliquée. Pour ce faire, rien de mieux qu'un feu de joie. Et s'il s'agit d'affirmer des convictions politiques, autant brûler des ouvrages écrits dans la langue des opposants. Ainsi, parmi les milliers de protestations, ce 16 mars, on a pu assister à au moins un autodafé.