À ses propres périls, la presse s’amuse régulièrement de voir qu’en librairies, les ouvrages d’hommes politiques connaissent des bides presque sidérants. Au point que, face à la médiocrité des ventes, on en croirait à l’abnégation de certaines maisons d’édition, dévouées et charitables. C’est qu’il faut de l’amour pour préparer un ouvrage dont le résultat est, sinon catastrophique, par avance, du moins, plus qu’incertain...