1961. Montagne sarde. Un jeune garçon, tiré du sommeil en pleine nuit par les bruits de son chien, se lève et suit ce dernier dans les bois. Attiré par une odeur de sang, le chien fonce dans la végétation qui les griffe au passage et finit par s’arrêter à bonne distance d’un spectacle horrible : une jeune femme, emmaillotée de peaux de bêtes, est recroquevillée au sol, le visage recouvert d’un masque en bois représentant une figure bovine, les cheveux éparpillés, son sang s’éculant par une sorte de canal de pierres vers un puits.