Blâmons internet, blâmons les GAFA, blâmons le commerce du livre d’occasion… il n’empêche que les librairies demeurent, et parviennent à tirer leur épingle du jeu. Si les Français sont accusés de moins lire, comment les libraires parviennent-ils à capter l’attention du public, et inciter à franchir le pas de leur établissement ?
Ils se compteront encore par centaines, dès la fin du mois d’août, ces romans embarqués entre rapides et récifs, pour la rentrée littéraire. Il y a les livres des grosses pointures, qui roulent déjà des mécaniques, les bouquins inattendus, que l’on attend de découvrir, et toute la horde des sacrifiés sur l’autel du manque de place en librairies, du trop, de l’encore trop. Bref, la rentrée littéraire 2021 s’avance.
Née en 1973 à Paris, Clara Dupont-Monod est une écrivaine française contemporaine. Elle a fait ses études à Sciences Po Paris et à l'École nationale d'administration (ENA).
En août / septembre 2024, Audrée Wilhelmy publiera au Tripode son prochain roman, Peau-de-sang. L'autrice québécoise a choisi ActuaLitté pour raconter l'histoire qui précède l'ouvrage : entre carnet de bord et feuille de route, voici l'aventure inédite d'un livre à venir, et de sa créatrice.
À l'approche des fêtes de fin d'année, rien n'évoque mieux la magie de cette période que le partage d'histoires captivantes avec nos enfants. Le site ActuaLitté nous présente une sélection d'ouvrages de l'éditeur Milan, qui promettent de transporter les jeunes lecteurs dans des mondes de rêves et d'aventures.
La famille, ce mot si universel, évoque en chacun de nous des images, des souvenirs et des émotions. Pourtant, sa signification et sa structure varient étonnamment d'une culture à l'autre. Voyageons à travers le vaste monde des familles et découvrons les mille et une façons de former ce précieux noyau social.
Décaler le regard pour mieux voir. Transporter une question actuelle dans d’autres temps et contrées – imaginaires, mythologiques ou simplement renommés –, afin de la poser d’une manière plus libre, plus féconde, telle est la méthode de Léonora Miano. Elle a ainsi accepté de prêter son nom à un prix « créé avec une volonté d’universalité, pour ne pas être prisonnier d’auteurs franco-français et faire connaître de nouveaux auteurs ».