Récompense créée en 1931 par Antonine Coullet-Tessier, le Prix Eugène Dabit du roman populiste s'est donné pour mission de saluer une œuvre romanesque qui « préfère les gens du peuple comme personnages et les milieux populaires comme décors à condition qu'il s'en dégage une authentique humanité ».
La crise sanitaire a contraint les librairies à fermer leurs portes depuis fin octobre dernier. Mais l’envie de lire est toujours là, car les livres sont le meilleur moyen de s’évader, d’apprendre, de se cultiver, de réfléchir, de rire aussi, à tous les âges et en famille.
Depuis la création du prix Goncourt, devenu une véritable référence, et la certitude de multiplier les ventes du roman lauréat en libraires, les prix littéraires animent toutes les passions. En France, les cinq cadors – Goncourt, Femina, Médicis, Renaudot et Interallié – sont les seuls qui semblent avoir une véritable incidence sur les achats.
L’Université de Lorraine (Crem, Loterr) en collaboration avec l’Université de la Grande Région (UniGR), lançait en 2021 la première édition du prix littéraire «Frontières», dédié à l’écrivaine Léonora Miano. Durant cinq années consécutives, il récompensera le meilleur roman de l’année abordant la thématique des frontières.
Créé en 2010, le Prix littéraire de la Porte Dorée distingue des œuvres de fiction en français qui explorent les thèmes de l'exil, l'immigration, les identités multiples ou l'altérité en lien avec les migrations. En 2022 était lancé le prix BD de la Porte Dorée, qui honore des bandes dessinées revisitant l'histoire des migrations, questionnant les images et les stéréotypes associés, ou abordant les défis de la représentation avec une riche variété de styles et de techniques graphiques.
Légérement chahutés par la crise sanitaire, les prix littéraires de la rentrée ont repris du poil de la bête et restent des rendez-vous incontournables de l'année éditoriale. Prix Goncourt en majesté, bien sûr, mais aussi le Prix Décembre, le Prix Renaudot, le Prix Interallié et tant d'autres...
Le regard humain est un outil puissant. Il capte, analyse et interprète le monde qui nous entoure. Mais que se passe-t-il lorsque ce regard se pose sur une image, un croquis, une toile ou un texte ? Une véritable alchimie s'opère, tissant des liens profonds entre l'observateur et l'œuvre.
Né le 10 mars 1920, Boris Vian fut un artiste touche-à-tout, dont la variété des modes d'expression n'est égalée que par le nombre de ses pseudonymes : Vernon Sullivan, Bison Ravi, Odile Legrillon, Gilles Safran, Boriso Viana ou encore Claude Varnier. Outre ses romans, comme J'irai cracher sur vos tombes ou L'Écume des jours, a signé des poèmes, des essais, des scénarios de films et a même enregistré des chansons.
En juin 2020, quatre groupes d'édition, Hachette, HarperCollins, Wiley et Penguin Random House, portent plainte contre la plateforme patrimoniale Internet Archive, l'accusant de « violation massive du copyright ». En cause, la bibliothèque d'urgence mise en place par le site à l'occasion de la pandémie du coronavirus.
Parce qu’il faut de l’humour pour inventer un moment de l’année où près de 600 romans vont s’affronter pour trouver une place en librairie, rions ensemble.
« Parce que pour connaître les peuples, il faut d’abord les comprendre. » Cette présentation de la collection l’Âme des peuples, montée en 2013 par les éditions Nevicata, résume à elle seule toute la situation mondiale.
Voyager à travers des mondes imaginaires, à la rencontre de personnages fantastiques, explorer des univers de magies, ou de science futuriste, croiser des créatures légendaires, voire monstrueuses, prendre part à des cérémonies avec des peuples féériques, ou extraplanétaires… Les littératures de l’imaginaire sont autant de portes ouvertes vers des ailleurs, qui vous tendent les bras.