Nadine Van der Straeten, Der straeten nadine Van

AVANT-PARUTION – « Au dix-huitième siècle, un illusionniste très doué en horlogerie avait fabriqué un automate si parfait que lorsqu’il se produisait sur scène avec lui, les spectateurs n’arrivaient parfois plus à faire la différence entre l’artiste et sa création. » Ainsi s’ouvre l’univers d’Esther, le nouveau roman d’Olivier Bruneau.

BONNES FEUILLES - Lors d’une rencontre en librairie, Amandine Dhée raconte comment un homme l’a un jour abordée, à l’issue d’une dédicace, pour lui faire part de son horreur du mot « autrice ». Désappointée, elle hésita alors sur la manière de réagir : se lancer dans le débat ou botter en touche... 

BONNES FEUILLES - Los Angeles, 1981. Bret, 17 ans, alors en pleine écriture de Moins que zéro, entre en terminale au lycée privé de Buckley.

RentreeLitteraire23 - « En effet, lorsque l’on perd un proche, autant une douleur infinie témoigne d’une complaisance insensée, autant l’indifférence révèle un cœur de pierre. Le juste milieu entre l’amour et la raison, c’est de ressentir le manque tout en le réprimant.

BONNES FEUILLES - “Il n’est pas besoin d’appartenir à aucune religion organisée pour sentir le choc spirituel de cette procession d’antiques pensées ; les unes sont flétries, surannées, les autres vides de toute espérance, comme les tiges de plantes mortes, mais aucune ne manque absolument d’un certain pathétique planétaire.

AVANT-PARUTION – Jean-Claude Carrière et Jean-Marie Michaud se sont lancés dans un projet au long cours : transcrire la puissance et l'intensité de l'épopée indienne du Mahâbhârata en une bande dessinée. Le dessinateur s'est appuyé sur l'œuvre théâtrale de Carrière, ainsi que sur son récit publié pour la première fois par Belfond en 1985.

BONNES FEUILLES - À travers ce témoignage illustré, Thomas Gravereau revient sur son parcours. Celui d’un homme en décalage avec ce que la société attend de lui et forcé de courir derrière la « bonne masculinité » et de revêtir le costume social régi par son entrejambe. Un portrait de la société éclairant, pointant du doigt les carcans imposés à chacun. 

Rentréelittéraire23 - « Prénom ? Roman, Romain, Romouchka, Émile. Nom de famille ? Kacew, de Kacew, Gari, Gary, Ajar, Sinibaldi, Bogat.  Lieu de naissance : Wilno, Koursk, Moscou, steppes russes, en 1914, en mai, en décembre, dans l’après-midi… »

RentréeLittéraire23 -  Lamento dépeint une passion débordante et sauvage. C'est un chant captivant sur les tumultes de l'amour naissant. Mais comment faire évoluer cette passion fulgurante en un amour constant et quotidien ?

BONNES FEUILLES — Marie Sizun, romancière française, retourne au 10, villa Gagliardini à Paris, le lieu où elle a grandi, un espace étroitement lié aux souvenirs, sons et lumières de ses premières années, renfermant le mystère de sa petite enfance.

#RentreeLitteraire23 - « Allez, dis-le : je pars ! Il faut que tu te le dises en face, là, droit dans les yeux : je me casse, je mets les voiles, je me tire, je fous le camp, je m’échappe, m’éclipse, m’éloigne, m’évapore, bouge, décampe, décanille, décarre, dégage, déguerpis, je me débine, déménage, déserte, détale, disparais, je m’embarque, je m’enfuis, je file, plie bagage, je prends congé, me retire et tire ma révérence... Après cela, tu devrais te sentir mieux ! » 

RentreeLitteraire23 - Un portrait de femme moderne, active, rebelle, qui fait bouger les lignes, voilà ce que cherchent tous les éditeurs pour la prochaine rentrée littéraire.