BONNES FEUILLES - “Je manque de mots et ne suis guère doué pour ce genre d’explications en général, mais peut-être cela aidera-t-il si je vous dis que lorsque je compose un intervalle, je le conçois comme un objet (enfin, les fois où j’essaie de me le représenter d’une manière ou d’une autre), comme une chose qui m’est extérieure, c’est-à-dire le contraire d’une impression.”