Sev Waënelin

BONNES FEUILLES - Pendant ces six cent douze jours le silence et l’obscurité ont été mes seuls amis. Presque les seuls. 

BONNES FEUILLES - Un roman historique révèle enfin la vérité sur le plus grand mystère du monde des échecs. Ou comment une incroyable machination du KGB a mis fin, en pleine guerre froide, à la carrière du meilleur joueur de tous les temps : Bobby Fischer.

BONNES FEUILLES - « Face à la destruction de l’humain, à la destruction de la nature qui s’approche plus vite encore, il est plus qu’utile, plus qu’urgent que les écrivains comme les artistes, affrontent dans un face à face sans détours “la geste“ politique menée dans cette nouvelle ère qu’est le capitalocène. »

BONNES FEUILLES - Mary, une livreuse à vélo, et Vera, une shopping addict, sont en colocation près de Strasbourg. Lorsque leurs lendemains de fête ne sont pas trop éprouvants, elles profitent de leur week-end pour faire du vélo dans les environs. Une vie apparemment banale pour deux jeunes femmes d'aujourd'hui... Mais en vérité, Mary et Vera sont des sorcières !

AVANT-PARUTION – Les éditions Martin de Halleux, qui s'attachent à mêler arts graphiques et littérature, présentent Félix Vallotton, Intimité(s)... et le regard de Jean-Philippe Toussaint, un ouvrage qui associe les textes du second aux œuvres du premier. Réalisé avec le concours de La Fondation Félix Vallotton, le livre sera disponible en librairies le 19 septembre 2019.

AVANT-PARUTION – Dans son nouveau roman à paraître le 21 août aux éditions Stock, La part du fils, Jean-Luc Coatalem retrace la vie de son défunt grand-père incarcéré par la Gestapo, durant le régime de Vichy. Malgré les tabous et les non dits familiaux, à l’aide d’archives et de témoignages, l’auteur s’emploie à faire revivre sa mémoire au travers son récit. 

BONNES FEUILLES - 1200 pages, une œuvre en quatre romans et un manga, qui, à travers cinq histoires personnelles toutes liées les unes aux autres, tourne autour d’un seul et même thème, la fin de notre monde : un projet romanesque hors norme qui nous conduit du XIXe siècle français au Japon du XXIe siècle, de la Commune à Fukushima, des premiers pas de la libération de la femme à la réalité virtuelle et à l’humain augmenté. 

Avant d'être Prix Nobel de littérature, avant le succès et la reconnaissance, avant même la publication par les éditions Gallimard, Annie Ernaux écrivait déjà, mais sans être nommée « auteure ». Retour à Yvetot, publié par les éditions Mauconduit, propose d'ouvrir une fenêtre sur l'enfance et la jeunesse d'Annie Duchesne, dans cette commune de la Seine-Maritime.

BONNES FEUILLES — « Moi, Libero Solimane, fils d’Argentina Solimane et d’elle seule, petit-fils d’Argentu Solimane dernier des chevriers. Je suis né là-haut. »  Là-haut, c’est le massif de l’Argentu, sur les hauteurs d’Ogliano, village imaginé par l’auteure et l’un des personnages principaux renfermant les secrets les plus sombres de plusieurs générations d’hommes et de femmes. 

AVANT-PARUTION – De fiels et de fleurs est basé sur un fait divers réel, survenu près de Paris en 1910. Séjournant chez des amis, un ténor belge trouva la mort dans d’étranges circonstances. Quelques semaines plus tard, il fut établi qu’il avait été empoisonné à l’arsenic « par hasard», la cible étant en fait le couple qui l’hébergeait.

BONNES FEUILLES – Bizarrement, c’est moins le golem éponyme, le seul, l’unique, modelé à coups de pouce rageur, et dans une épaisse argile, par le rabbin pragois Judas Lœw Ben Bezalel, qu’évoque le formidable roman de Mikaël Hirsch, que la créature de Frankenstein, colosse couturé et titubant fait de bric charnel et de broc osseux. 

AVANT-PARUTION – En ces heures d’économie torturée, deux ouvrages à venir tentent de mettre au clair les alternatives qui s’offrent à nous. Deux auteurs, Jeremy Rifkin et Joseph E. Stiglitz, Nobel d’Économie, pensent le monde différemment. D’un côté, sauver la vie sur Terre, ni plus ni moins, de l’autre, en finir avec l’infernale dialectique du pouvoir et des profits. Ambiance.

BONNES FEUILLES — Ecrite à la première personne, cette histoire tient à la fois du journal intime, du roman de formation, de la quête spirituelle.
 Il s'ouvre sur l'enfance, l'Algérie, les rapports complexes avec les familles arabes, la lumière, la chaleur. Mais également le décalage entre la vie stricte et pieuse d'une famille juive d'Algérie – sa mère est à l'origine de confession catholique, et la liberté, la légèreté de la vie en France. 

BONNES FEUILLES - Blèmia Borowicz, dit « Boro », reporter photographe, est de la famille des Kertész et des Capa, venus comme lui chercher à Paris une terre d’asile et de liberté. Il a l’insolence de la bohème et l’élégance désinvolte d’un héros fitzgéraldien.

AVANT-PARUTION – Des poèmes en prose, et autres textes, voici ce que l’on découvrira dans Une colombe si cruelle. Ces textes réunissent une nouvelle traduction de poèmes connus et d’autres, totalement inédits. Avec toujours cette esthétique de la cruauté et de la fantaisie grinçante, relève l’éditeur.