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PrixPorteDoree23 – Cette année, l’écrivain Mohamed Mbougar Sarr, Prix Goncourt en 2022, sera le président du jury du Prix littéraire de la Porte Dorée. Pour le Prix BD de la Porte Dorée, ce sera Aurélie Lévy, écrivaine, scénariste et documentariste qui en prendra la tête. Les deux récompenses seront décernées le 25 mai 2023.

Les rencontres littéraires de l’Institut du monde arabe visent à faire connaître, découvrir et entendre les auteurs arabophones et francophones, émergents et confirmés, venant ou parlant du monde arabe. En mars, rendez-vous avec Gilles Gauthier, Xavier Le Clerc et Feurat Alani. Les discussions se tiendront les samedis 4, 11 et 18 mars à la bibliothèque.

Cette distinction est accordée chaque année à un écrivain français ou étranger qui interroge les pratiques contemporaines de résistance à l’oppression sous toutes ses formes. Ou, dont l’œuvre constitue en elle-même un acte de résistance. Le jury décerne également un prix spécial à un document (essai, récit, etc.) ou une BD.

Le prix littéraire de la Grande Mosquée de Paris récompense l’auteur d’un roman et l’auteur d’un essai sur la civilisation musulmane. Pour sa première année, la distinction salue le roman de Xavier Le Clerc, Un Homme sans titre chez Gallimard ainsi que l'essai sur la civilisation musulmane de Karima Berger, Les gardiennes du secret chez Albin Michel.

Pour sa sixième édition, le jury du Prix Littéraire Montluc Résistance et Liberté 2023 a sélectionné 10 livres. Ce prix sacre chaque année un écrivain français ou étranger qui interroge les pratiques contemporaines de résistance à l’oppression sous toutes ses formes ou dont l’œuvre constitue en elle-même un acte de résistance. Le jury décerne également un prix spécial récompensant un document (essai, récit, etc.) ou une BD. L’annonce des 5 finalistes se fera fin janvier 2023. Celle du lauréat aura lieu en avril 2023.

Le Prix Littéraire de la Grande Mosquée de Paris récompensera le 8 décembre 2022 un roman et un essai sur la civilisation musulmane. Ces livres seront de haute qualité littéraire, s’adressant au grand public, écrits en langue française, publiés par un éditeur entre le 1er janvier et fin novembre 2022. 3 ouvrages sont nommés dans chacune des catégories, et une dotation de 1000 € est à la clé pour les deux lauréats.

En 1939, au cœur de la Kabylie, un petit garçon affamé se bat contre les chiens sauvages pour pouvoir manger. Il s’appelle Mohand-Saïd Aït-Taleb. Au même moment, Albert Camus publie Misère de Kabylie, un reportage dénonçant les conditions de vie de la population kabyle pendant la période coloniale. Le fils de Mohand-Saïd, Xavier Le Clerc, dévoile aujourd’hui dans Un homme sans titre le parcours de son père, arrivé en France en 1962. Marqué par Camus, ce livre est une véritable tribune en faveur d’une génération broyée par la guerre, la torture, et le travail à l’usine.

Le Prix Jean Giono a dévoilé les dix titres qui composent sa première sélection. Décernée au meilleur « raconteur d’histoires », la récompense salue un ouvrage en français laissant une large place à l’imagination, à l’image de l’écrivain dont il porte le nom. Il est parrainé par la Fondation Jan Michalski.

BONNES FEUILLES - Ce témoignage captivant est un cri de révolte contre l’injustice et la misère organisée, mais il laisse aussi entendre une voix apaisée qui invite à réfléchir sur les notions d’identité et d’intégration.