Yves Gagneux, Séverine Maréchal

MementoMori – Rien de plus logique qu'une exposition sur les icônes dans la ville des Images d'Épinal : depuis le 24 février, et jusqu'au 22 septembre prochain, le Musée de l'Image présente 150 pièces, entre imageries populaires, photographies, revues, ou encore journaux illustrés, qui examinent la construction d'une icône. Si les icônes meurent bien comme tout le monde, elles n'en ont pas moins, en tout cas le penseront certains, trouvé le secret de l'immortalité. Mais pas forcément pour le meilleur...

Une exposition et un livre sur la journaliste Séverine

Elle avait travaillé à la production, mais également comme coloriste chez Marvel à partie des années 60. Devenue par la suite dessinatrice et encreuse à part entière, Marie Severin est décédée à l’âge de 89 ans. Un accident vasculaire cérébral l’a emportée, et avec elle, un pan de l’histoire de la Maison des Idées.

Du 22 au 24 février se déroule le Festival des cultures et littératures de l'imaginaire, Zone Franche. Ancré dans la salle des fêtes de Bagneux, l'endroit, pour cette année encore, est des plus conviviaux. Il réunit tout à la fois des tables pour rôlistes, des conteurs récitant ogrement ou féériquement leurs aventures et des stands avec éditeurs, illustrateurs, ou encore magazines Internet. 

A t-on jamais oublié François Augiéras, mort à seulement 46 ans en 1971, et qui publia trois ans auparavant, en 1968, ce texte sur son temps d’adolescence et «  quelques autres aventures » ? Je confesse ne jamais avoir entendu parler de lui avant que le journal Le Monde ne lui consacre un long article en 1986. Ce n’était que méconnaissance de ma part, car depuis le premier de ses livres Le Vieillard et l’Enfant publié en 1950, sa trace ne s’est jamais perdue et ses livres ont constamment été republiés.

Si Arto Paasilinna n'écrit plus depuis plusieurs années déjà, il fut un écrivain prolixe et régulièrement de nouvelles traductions paraissent en français, plus ou moins intéressantes. Ce roman, au titre farfelu mais plutôt révélateur de l'ambiance assez désopilante de chacun de ses livres a ainsi plus de vingt ans et s'il n'est pas une surprise en soi, séduira les inconditionnels de l'écrivain, fidèle à son humour burlesque et à son univers picaresque.

Cette année encore, le Prix velu à la moustache arrogante a distingué, quelques minutes avant ces dames du Femina, les grands lauréats de la saison littéraire. Un juré d'exception, pour des livres bourrés à la testostérone et avec cette année quelques notes de taurine en plus. 

6 décembre 1815 : condamnation à mort du maréchal Ney.

Le départ de Marie-Pierre Sangouard s'était déroulé sans ménagement. La directrice du livre de Fnac était en effet remerciée, alors que le PDG, Alexandre Bompard, était en train de restructurer les équipes de sa boutique.

Le bateau rêve (Gallimard Jeunesse) de Séverine Vidal et Julien Arnal remporte le Prix Landerneau Album Jeunesse pour cette 11e édition. L’auteur et l’illustrateur recevront une dotation de 6000 € et leur album bénéficiera d’une campagne de promotion dans les 228 Espaces Culturels E.Leclerc. 

Le nouveau film d'Olivier Marchal, Overdose, sera diffusé à partir du 4 novembre prochain sur Amazon Prime Video. Son scénario, signé par Olivier Marchal et Christophe Gavat, s'appuie sur le livre Mortels Trafics de Pierre Pouchairet, paru aux éditions Fayard.

Si le pays ne fait plus vraiment les gros titres, la situation ne s'y est pourtant pas améliorée pour les créateurs, et notamment les écrivains. En Biélorussie, l'auteur Severin Kwiatkowski, qui a signé plusieurs ouvrages, a été interpellé à proximité de son domicile, au retour d'un séjour à l'étranger.

Le livre de Séverine Vidal, écrit avec Manu Causse, a été choisi par le jury du Prix Gulli, pour l’édition 2017. Un livre jeunesse, évidemment, publié chez Bayard Jeunesse, remporte la palme devant les quatre autres concurrents. 

À quelques jours d'un remaniement ministériel finalement repoussé d'une semaine, plusieurs changements surviennent, assez logiquement, dans les couloirs et bureaux de la rue de Valois. Deux conseillers quittent ainsi le même jour le cabinet de Roselyne Bachelot-Narquin.

La librairie parisienne L'impromptu avait décidé, à l'occasion de l'année 2021, d'ajouter deux autres récompenses à son Prix du premier roman francophone. Ce sont donc trois livres, signés par autant d'autrices, qui ont été salués le 4 décembre dernier à la librairie.

« Je m’appelle Koridwen. Ce rendez-vous, j’y vais pour savoir qui je suis. »

Pierre-Yves Plat connaît ses classiques sur le bout des doigts et nous le fait savoir. Il est bon d’écouter (et de regarder, car il y a à voir　!) les airs archiconnus comme La Marche turque, la Sonate au clair de lune, la 5e symphonie de Beethoven se transforment en Ragtime ou Boogie-Woogie délirant.

Il s'agissait du premier salon du livre entièrement consacré à l'imaginaire, et regroupant tout à la fois jeux, animations, rencontres et conférences avec des universitaires reconnus. Manifestation ouverte aux plus jeunes et aux plus grands, Zone Franche se déroulait à Bagneux, et avait célébré sa 7e édition, en avril dernier, mettant à l'honneur « la féérie médiévale ». Nul chevalier n'a pu empêcher l'arrêt de la joute.

Rencontres / Débats - Vendredi 11 janvier 2013 à 20h00 - A la librairie

Bon, qu'on soit clair : le champagne s'il n'est pas millésimé, je refuse catégoriquement d'y toucher. Non, mais. Le luxe, ça se cultive...

la photo d’une jeune femme belle et démodée des années 50, tramée par des motifs évoquant les tatouages au henné que l’on appelle Mahenni que se dessinent sur les mains les femmes musulmanes.

Avec Ce que Zoé préfère, paru chez Actes Sud Junior, Marine Tasso et Séverine Assous (Génération Robots, Actes Sud Junior, 2015) mettent à l’honneur un thème aussi amusant qu’original, celui de la listomanie !

Qui ne saurait fredonner Diabolo Menthe, Au pays des merveilles de Juliet ou encore J’ai rêvé New York. À travers 140 textes de chansons, Yves Simon nous convie dans une balade mélancolique, mais délicieusement intemporelle.

Ce matin, 15 octobre, par le biais d'un communiqué, la ministre de la Culture et de la communication a salué la mémoire d'Yves Deschamps. Aurélie Filippetti a ainsi rendu hommage à l'un des grands inspecteurs généraux de la création de son ministère, récemment décédé.