Yann Morvan, Laurent Calut

L'écrivain et cinéaste Yann Moix pourrait remplacer le chroniqueur Aymeric Caron dans l'émission On n'est pas couché de Laurent Ruquier, révèle le rédacteur en chef de L'Express sur son blog. Il rejoindrait alors Léa Salamé, dans le rôle de ceux qui dégomment les invités.

Le 33e prix Emmanuel-Roblès du premier roman 2023 a été décerné vendredi 9 juin à Yann Brunel, pour Homéomorphe, aux éditions Gallimard. Le prix Emmanuel-Roblès récompense chaque année depuis 1991 un auteur de premier roman français ou francophone, édité en France et destiné aux adultes.

Avec la volonté de « mettre à la disposition des marginaux et des plus démunis le meilleur de la qualité artistique », l’éditeur Pierre Fourniaud lance un appel à participer au financement d'un beau livre de photos de Yan Morvan « Blousons noirs ». Une plongée en noir et blanc dans l’univers de ces bandes qui faisaient trembler la France des années 1960-70.

On peut être un éditeur frileux ou un de ceux qui n'ont pas froid aux yeux. Le directeur de La Manufacture de Livres, Pierre Fourniaud, est de ce deuxième type. Car il faut un certain courage à une petite maison d'édition indépendante pour se spécialiser dans la criminalité française et internationale.  Parfois, cela coûte cher. 10.000 euros en ce qui concerne l'ouvrage Gangs story interdit de diffusion depuis juillet dernier. 

Dans l’enceinte du restaurant parisien Lasserre, les résultats du Prix Interallié sont tombés en ce jeudi 12 novembre : Laurent Binet remporte le prix. Son second roman La Septième Fonction du langage, paru chez Grasset le 19 août dernier, a convaincu le milieu littéraire, et ce pour la deuxième fois de l’année. Il succède ainsi à Mathias Menegoz, lauréat Interallié 2014 pour Karpathia. 

1, 2, 3 drôles d'oiseaux sur un fil,
4, 5, 6 « salut ! » qui défilent,
7, 8, 9 sacrés séducteurs,
Et une dixième… qui n'a pas peur !

Ce petit album est une vraie mine de sourires. Complices et amusés, les petits lecteurs comme les plus grands pourront compter ensemble ces drôles d'oiseaux qui, finalement, n'ont pas leurs langues dans leurs poches ! Un régal !

C'est chez Fayard que l'on fera la fête ce soir, alors que l'éditeur vient de recevoir le prix Interallié 2011, pour le livre de Morgan Sportès. Étonnant, non ? EH oui, le romancier avait été exclu de la liste, lors de la troisième sélection.

La librairie Le Divan, dans le 15e arrondissement de Paris, a accueilli la remise du prix littéraire Georges Brassens, ce lundi 12 octobre 2020. L'auteur Laurent Petitmangin a été désigné lauréat pour son roman Ce qu'il faut de nuit, publié par La Manufacture de Livres.

#PrixAutomne23 - Ce prix honore l'écrivain d'un roman historique destiné à un public adulte. Il sera remis le vendredi 6 octobre à 18h30, salle Lavoisier du Conseil départemental de Loir-et-Cher.

Alors que tout Londres se préparait à accueillir les Jeux olympiques de 2012, la journaliste littéraire Ann Morgan, présente dans les colonnes de The Australian ou BBC Music Magazine, s'est arrêtée devant sa bibliothèque. Sur les étagères, presque uniquement des livres signés par des auteurs américains ou britanniques...

Alors, plus compliqué : l'aire d'un cube (sans regarder sur Wikipédia...) ? Ah, on trime ? Eh bien, c'est six fois celle d'une de ses faces, donc six fois côté a u carré.

Créé en 2002, par André Rossinot et Simone Veil, le Prix Livre et Droits de l’Homme a été renommé Prix Livre et Droits Humains, par l’actuel Maire de Nancy, Mathieu Klein. Il est décerné durant le salon littéraire du Livre sur la Place, organisé conjointement par la ville et par l’association de librairies Lire à Nancy.

Récompense fondée en 2010, le prix Françoise Sagan, en hommage à l’écrivaine, célébrait son 7e anniversaire cette année. Il distingue une fiction en langue française, un roman ou une nouvelle publié depuis l’automne précédent la remise du prix. Et pour lauréat 2016, c’est le romancier Éric Laurrent qui a été distingué, pour son livre Un beau début, publié aux éditions de Minuit. 

Pour sa première édition, le jury du Prix littéraire du Barreau de Marseille, composé de huit avocats et présidé par Valérie Toranian, a choisi pour lauréat Laurent Petitmangin, auteur de Ce qu’il faut de nuit (La Manufacture de livres, 2020).

Le jury du Prix du roman des Écrivains du Sud 2022 a récompensé Laurent Gaudé pour Chien 51, paru aux éditions Actes Sud. Le Prix de l’essai est quant à lui décerné à Charles Dantzig  pour Proust Océan (Grasset). Le Prix des Écrivains du Sud est doté de 5000€ pour chacune des catégories.

Yann Arthus-Bertrand : Consommer responsable

Déjà Lauréat du Prix Stanislas, Laurent Petitmangin se voit récompensé du prix Feuille d'Or de la Ville de Nancy pour son premier roman, Ce qu’il faut de nuit, publié à l’occasion de la rentrée littéraire par La Manufacture de Livres. 

Dédicaces - Mercredi 25 avril 2012 à 17h00 - A la librairie

Laurent Petitmangin a été désigné lauréat pour son premier roman Ce qu’il faut de nuit, publié à l’occasion de la rentrée littéraire par La Manufacture de Livres.

Yann Moix poursuivra sa carrière télévisuelle dans l'émission « Les Terriens du samedi », présentée par Thierry Ardisson. Diffusée sur C8 à partir du 8 septembre prochain, l'émission se veut une version repensée du talk-show « Salut les terriens ». Moix y officiera en tant qu'éditorialiste.

À l'occasion de la première remise du Prix Yann Queffélec, organisée par les Éditions Les Nouveaux Auteurs, la récompense a été décernée chez Drouant ce 27 novembre à l'écrivaine Brigitte Hervé. Son premier roman, Celti-online, a été choisi parmi une liste de dix finalistes eux-mêmes sélectionnés au préalable après évaluation de 450 manuscrits au total.

J'avais laissé Henri Calet dans le sud de la France, après son évasion d'Allemagne, libre enfin d'écrire. Il voulait faire un grand roman qui se serait passé en Amérique du sud, il n'y parvint pas (Un grand voyage sera un échec). Cela ne l'intéressait pas ou plus. Ce qu'il avait à dire n'avait rien à voir avec le tourisme, l'aventure, c'était de lui dont il voulait parler, de sa vie quotidienne, de Paris, sa ville fétiche.

Pardon, j'avais laissé Henri Calet à la sortie de la station "Arche de la Défense" (voir Calet dans le métro). Depuis, je me demande comment parler de lui pour le faire aimer comme je l'aime. Plus je le lis et plus je l'aime. C'est rare et, entre parenthèse, la preuve évidente de la supériorité du livre sur l'être humain dont la trop grande connaissance finit toujours par décevoir. Pour écrire dans ce blog, j'ai ainsi relu Monsieur Paul, un délice. Il me faudra montrer pourquoi...

Le 23 mai dernier, nous apprenions le décès de Michel Prigent, président du directoire des Presses universitaires de France, âgé de 60 ans.

BONNES FEUILLES - Le roman, couvrant les périodes des années 1990 aux années 2010, tisse un récit riche et diversifié, se déplaçant entre le Morvan brumeux et le Hollywood éblouissant, entre les vignobles français et les déserts américains.

Dans le décors noir d’un Paris climatiquement déréglé, quatre personnages aux destins intimement liés se perdent dans les méandres de leurs vies.

Têtu comme un Breton, dit-on ? Ah oui ? Tiens donc... Parce que là, M. Yann Queffélec, le romancier aux 23 ouvrages, vient de jeter un pavé dans la mare de l'édition. Son dernier livre, paru aux éditions de l'Archipel, Le Piano de ma mère serait un scandale. L'affaire est assez improbable, et même « une grande première, du jamais vu » nous explique Jean-Claude Simoën, éditeur chez Plon.

La Fédération nationale du Mérite maritime a tenu la délibération finale de ses prix littéraires, le Prix Écume de Mer et le Prix Commandant Jean Loreau, ce 2 avril. Cette session a eu lieu à Paris, avec une option de participation en visioconférence, sous la direction du président de la FNMM, Fabrice Viola, du président du prix pour l'année 2024, Gérard Josepha de la Martinique, et du secrétaire permanent, Dominique Le Brun du Finistère. 

Le métro, le matin, est comme le lit conjugal où chacun cherche à tout prix un petit coin frais et tranquille. A l'heure où je le prends (7H30), sur la ligne 1, c'est encore possible. Il règne un grand silence dans la rame. Beaucoup de places assises, éloignées les unes des autres. Quelques cadres en cravates et manteaux, mais surtout des employés, des ouvriers, ceux qui se lèvent tôt, mais rentrent tôt, assis, qui dorment encore. Peu de femmes et pas des plus belles. Elles lisent. Je jette un coup d'œil. Des titres qui ne me disent rien (un certain Marc Musso, ou quelque chose comme ça). Je ferme les yeux et j'attends d'arriver. Rien de gai, d'exaltant là-dedans. Mais certains jours, je suis content, impatient. Je l'attends, ce n'est plus qu'une question de jours. Je l'attends.