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Valérie Leduc

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Dossier

Roman, nouveautés : les livres de Valérie Perrin

Valérie Perrin est née en 1967 à Remiremont dans les Vosges. Elle grandit en Bourgogne et s’installe à Paris en 1986, puis en Normandie en 1995. En 2015, elle publie son premier roman Les oubliés du dimanche chez Albin Michel. Traduit dans une dizaine de pays, il obtient 13 prix littéraires dont le Choix des Libraires 2018 et se classe depuis parmi les meilleures ventes au livre de poche.

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Dossier

DC Comics, la place forte de Batman, Superman et la Ligue des Justiciers

Batman, Superman, Wonder Woman, Green Lantern, Aquaman, et les vilains Harley Quinn, Lex Luthor, Ra's al Ghul ou encore le Joker... La galerie des personnages de DC Comics donne le vertige tant les identités sont fortes et les profils variés : la maison d'édition américaine, créée en 1934 par Malcolm Wheeler-Nicholson, un ancien militaire, n'était pourtant pas spécialisée dans les super-héros à ses débuts.

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Dossier

Portraits de traductrices et traducteurs du passé

« Traduire, c’est trahir », selon l’adage italien, mais sans eux, pas de livres venus d’ailleurs dans les mains des lecteurs. Traductrices et traducteurs, penchés sur des textes antiques ou des publications plus récentes, ont enrichi les bibliothèques de leurs apports. Coauteurs de ces œuvres, souvent oubliés, voici un dossier qui rend hommage à un métier essentiel.

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Dossier

Des livres aux auteurs : à la découverte de l'identité tchèque

Le livre jeunesse tchèque est mondialement reconnu, maintes fois primé et honoré à cinq reprises par le plus prestigieux des prix décerné à un auteur jeunesse : le prix Hans-Christian Andersen, qu’ont notamment reçu Jiří Trnka (1968), Květa Pacovská (1990) et Petr Sís (2012).  Mais malgré cette reconnaissance des pans entiers de son patrimoine nous restent néanmoins à découvrir. 

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Dossier

10 autrices racontent leur première fois...

Muse, recherches acharnées ou nonchalance virtuose, l’inspiration reste le grand secret de la création. Mais dans quelles circonstances le premier pas vers l’écriture s’est-il opéré ? Comment ont-elles su qu’elles entamaient leur premier véritable livre, celui qui serait mené à terme ? 

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Dossier

Le Tripode : dix ans d'édition indépendante sur trois pieds, sans trembler

Le Tripode incarne l'esprit de la créativité et de l'originalité littéraire. Fondées en 2013 par Frédéric Martin, elles se sont rapidement imposées comme un acteur majeur de l'édition indépendante. À l'occasion de ses 10 ans, la maison d'édition propose de redécouvrir les livres qui ont forgé son identité. 

Extraits

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Critique littéraire

Violette Leduc

Maurice Sachs lui " ordonna " d'écrire. Simone de Beauvoir la découvrit en 1945, Albert Camus la publia l'année suivante. Admirée par Cocteau, Genet, Jouhandeau et Sartre, Violette Leduc (19071972) est une figure des plus singulières de la littérature française du XXe siècle. Si ses premiers livres conquirent un cercle d'admirateurs fervents, ils ne touchèrent pas le grand public. Pendant vingt ans, Violette Leduc fut " un désert qui monologue ". Ce n'est qu'en 1964, à la parution de La Bâtarde, récit autobiographique lancé par une élogieuse préface de Simone de Beauvoir, qu'elle sortit brutalement de l'ombre. Violette Leduc racontait sa vie sans fausse pudeur : bâtarde, laide, pauvre, amoureuse de femmes, d'homosexuels, voleuse à l'étalage et trafiquante au marché noir... Le succès de scandale de La Bâtarde, la personnalité pittoresque et attachante de l'auteur finirent par masquer l'immense écrivain. Son esprit était trop libre pour ne pas choquer. Violette Leduc a traversé le siècle en défiant conventions et tabous avec une originalité, une hardiesse de ton encore aujourd'hui surprenantes. Grâce à de nombreux témoignages, et à une documentation inédite exceptionnelle, cette biographie retrace la vie parallèle de l'auteur de La Bâtarde, révèle les omissions et le travestissement, éclaire d'une lumière nouvelle et inattendue cette " sincérité intrépide " saluée par Simone de Beauvoir. Elle rend justice à un écrivain à redécouvrir.

03/1999

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Littérature française

Valérie

Valérie, profondément ancrée dans ses racines familiales, ne résiste pas au divorce de ses parents. C'est à Lyon qu'elle dépose ses bagages, loin de ses bases. Nicolas, son professeur de Lettres, coureur de jupons, finit par la séduire. Valérie découvre qu'elle est enceinte et que Nicolas est marié et père de famille. Elle s'enfuit à Bordeaux où sa soeur jumelle Stéphanie exerce en tant que sage femme. Celle-ci refuse l'avortement quémandé par sa soeur et lui propose un pacte diabolique. En désespoir de cause, Valérie finit par accepter.

01/2019

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Critique littéraire

Violette Leduc. Eloge de la bâtarde

Vingt ans après la mort de Violette Leduc (1907-1972), j'écrivais, pour la collection que dirigeaient J-M-G. Le Clézio et sa femme Jemia, et qu'animait Philippe Rey, un hommage à cet écrivain dont la découverte a été déterminante pour moi. Le principe de cette collection éphémère était de proposer un texte qui soit à la fois un portrait et une confidence intime. Il ne s'agit donc pas d'une biographie, mais du récit très personnel de mon rapport avec l'oeuvre de Violette Leduc. J'y raconte l'influence qu'elle exerça sur ma vie personnelle et ma vie de lecteur et d'écrivain. J'y analyse ses livres, en les comparant à d'autres oeuvres qui ont également compté pour moi (Marguerite Duras, Jean Genet, Tony Duvert, Julien Green, Pasolini entre autres). Lorsque Martin Provost préparait son film Séraphine, je fis sa rencontre et lui appris que Violette Leduc était une grande admiratrice de cette artiste autodidacte et mystique. Martin se mit à lire Violette Leduc et, complètement conquis par son talent et sa personnalité, il décida de lui consacrer un film, en me demandant mon aide pour l'écriture du scénario, avec son ami Marc Abdelnour. Ce film que j'ai co-écrit évoque donc la vie de Violette entre 1942 et 1958, c'est-à-dire entre le moment où elle écrit son premier livre et celui où elle commence la rédaction de La Bâtarde et va donc connaître le succès.

10/2013

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Photographes

Valérie Jouve

"Une oeuvre qui part du sol ou bien qui s'élève pour mieux se pencher permet de voir ce que l'humain doit à ses terres. Ce qui est éternel à nos yeux, comme l'arbre centenaire ou le rocher millénaire, est le repère de la description. L'arrangement des photographies entre elles parvient désormais à produire un conte. Une histoire sans explication". Michel Poivert "En écho aux nouvelles pratiques botaniques réunies sous l'enseigne de la permaculture (consistant à concentrer et optimiser les potentialités d'un écosystème et de plantations sur un terrain a priori infertile ou désertifié), les photographies de Valérie Jouve se veulent des expériences "intensives" (déliées dans le temps et ancrées dans la terre) de redéfinition et de requalification des territoires perdus et colonisés - au sens strict et figuré - par un autre Etat ou par l'urbanisation sauvage". Morad Montazami

11/2022

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Critique littéraire

Violette Leduc. Genèse d'une oeuvre censurée

Violette Leduc (1907-1972) suscite aujourd'hui un vif intérêt auprès des écrivains, des metteurs en scène, des cinéastes, des universitaires (études littéraires, études de genre, sociologie) et du grand public. Composé de documents d'archive, de reproductions de manuscrits et de textes inédits accompagnés d'analyses produites par les spécialistes de l'oeuvre, ce volume édité dans la collection "Archives" des Presses de la Sorbonne Nouvelle propose une approche renouvelée de l'oeuvre de la Bâtarde en remodelant l'image de l'écrivaine maudite et en révélant certaines pages inédites - dont les articles rédigés pour le magazine Pour Elle en 1940 et les feuillets censurés du roman Ravages en 1955.

10/2019

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Critique Roman

Une censure éditoriale : Ravages de Violette Leduc

Au mois de mai 1955 paraît chez Gallimard le troisième livre de Violette Leduc, intitulé "Ravages". L'écrivaine en a débuté la rédaction sept ans plus tôt, sous l'exigeante houlette de Simone de Beauvoir. L'éditeur accepte de publier l'ouvrage, à condition de supprimer certaines descriptions de relations lesbiennes ainsi qu'une scène de viol jugées trop choquantes. Au-delà de cette censure éditoriale avérée, le livre publié en mai 1955 n'a plus grand-chose à voir avec les nombreux avant-textes qu'Alexandre Antolin a découverts dans les fonds d'archives et collections privées qu'il a pu consulter. Dans un premier temps, l'auteur plante le décor d'une vie éditoriale française bouleversée par le second conflit mondial, qui voit de nombreux auteurs et autrices inquiétés par la censure sous toutes ses formes, à l'instar de Simone de Beauvoir, Jean Genet, Suzanne Allen ou Hélène Bessette. Alexandre Antolin procède ensuite à une analyse minutieuse des "Cahiers Beauvoir", série de 16 cahiers d'écolier sur lesquels Violette Leduc a écrit une seconde version de "Ravages" à partir de 1951. Il étudie enfin les réceptions de ce livre, du comité de lecture Gallimard en 1954 à la publication de "La Bâtarde" en 1964 et de "Thérèse et Isabelle", dernier ouvrage de Violette Leduc paru de son vivant en 1966, ces deux ouvrages reprenant une bonne partie des textes ayant été censurés en 1955.

04/2023

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