Une maman ça sert à quoi ?

AVANT-PARUTION – Qui a inventé l’écriture ? Que veulent dire les hiéroglyphes égyptiens ? Est-ce que toutes les écritures se lisent de gauche à droite ? Est-ce que les livres ont toujours existé ? Pourquoi est-ce encore utile, aujourd’hui, d’apprendre à écrire à la main ? 

#AssisesEditionsIndépendantes23 – 5 mini-video où, à chaque fois, entre 3 et 6 personnes répondent à une même question autour de l'édition indépendante.

Rencontres / Débats - Mardi 6 mars 2012 à 20h00 - A la librairie

L'organisation Booknet Canada qui propose des études et des campagnes autour de la promotion de la lecture vient de présenter une sorte de portrait type des acheteurs de livres dans le pays. Qui, on s'en doute, sont des lectrices, à 59 %. Le reste est assez simple à déchiffrer, avec une petite notion intéressante toutefois : les femmes sont 5 % plus nombreuses, à envisager qu'offrir un livre soit un cadeau appréciable, par rapport aux hommes.

Une étude de l'institut Pew et de The Economist Group auprès des Américains montrent qu'ils sont déjà 11 % des adultes à posséder une tablette numérique. Quand on leur demande ce qu'ils en font : à 67 %, c'est pour naviguer sur Internet, à 54 % c'est la messagerie électronique quant à 53 % ils s'en servent pour se tenir informés. Ils sont 39 % à l'utiliser pour les réseaux sociaux et 30 % pour les jeux vidéo, rapporte l'AFP.

À quoi sert réellement l'iPad ?

EPUB et pub seront bientôt inséparables, si on en croit M. Schulte-Loh, directeur général d'un grand magasin culturel berlinois, et conseiller d’entreprises. Le temps est venu de la réconciliation entre l'industrie du livre et celle de la publicité… dans les livres.

Avant de revendiquer une nation de lecteurs, encore faut-il lui en avoir donné les moyens. Les enquêtes se multiplient par ailleurs pour définir les contours, les usages et les habitudes du lectorat. La dernière en date porte sur les préférences américaines en la matière et les liens entre livres dématérialisés et tout de papier fabriqués.

ROMAN FRANCOPHONE – Éric Fottorino nous invite dans Dix-sept ans à une plongée dans l'extrême. Pas celui du saut à l'élastique, de l'expédition au cœur de la jungle. Un extrême bien plus terrifiant, qui nous concerne tous : celui de notre intimité la plus ultime.

Mercredi 13 mai à 20 h 50, François Busnel propose, en version inédite, une Grande Librairie autour du thème : à quoi sert la philosophie ? Quelles leçons philosophiques tirer de cette crise ? Quelles valeurs pour demain ? Le courage, mode d’emploi... Autant de thèmes que François Busnel abordera en compagnie de quatre philosophes.

Avec une once de provocation, Franck Leibovici propose une autre lecture de l’histoire de la peinture, entre ombre et lumière. Le titre, il l’emprunte à cette phrase de David Hockney, portraitiste et théoricien de l’art : « À quoi sert l’ombre dans un tableau si ce n’est à indiquer l’heure ? » Alors, posons-nous la question : Quelle heure est-il ?

Le premier jour de la première année d'école n'est pas une journée facile : une dame qu'on ne connaît pas mais avec qui il va falloir passer ses journées, des enfants qui pleurent, et des parents qui nous abandonnent là. Heureusement, la petite fille de cette histoire a su être convaincante avec sa mère : elle n'est pas partie, elle.

La micro-économie du financement participatif aura généré 1,4 milliard € de collectes pour l’année 2018. Que ce soit pour les entreprises ou les créateurs, l’argent ainsi levé permet de concrétiser des projets parfois insensés. Mais son attractivité demeure, puisqu’il connaît une croissance de 20 % en regard de 2017.

Notre époque qui n’a plus le temps de rien devait évidemment aboutir à des offres de ce genre. Une récente application permet de s’engloutir cinq livres, à raison de 12 minutes chacun. Et fort logiquement, l’application s’est donc baptisée 12 min. Si, si… 

Un mystère est résolu concernant les origines familiales du super guerrier à queue de singe. Pour le 30e anniversaire de sa série Dragon Ball, créée en 1984, le mangaka Akira Toriyama a représenté pour la première fois le visage de la mère de Sangoku. On connaissait déjà le papa, un dénommé Baddack le fiston en plus patibulaire, et voilà que l'auteur s'est finalement décidé à mettre en scène l'histoire d'amour qui liait le personnage à une certaine Gine.

Je ne sais à quoi peut servir un auteur par temps de guerre. Mais ce dont je suis certain, c’est qu’il peut, par exemple, se sentir légitime à « l’ouvrir », si dans son parcours, un « quelque chose de ses rencontres », l’expérience « d’un ou une autre » dans un « ailleurs et autrement », peuvent être versées à la compréhension, à la progression commune des choses.

En pleine tourmente de prix littéraires – le Fémina, qui taille à la Serpe, le Renaudot et le Goncourt, qui se piquent d’histoire... – il est bon et doux de revenir à des choses essentielles. Publié par une libraire du Tarn-et-Garonne, voici l’histoire cuteness overload de la semaine...

BONNES FEUILLES - « Maman a disparu. C’est pas simple. Il a fallu le redire plusieurs fois, décomposer la phrase, la prendre et la secouer. Maman a disparu. Quelle folie de phrase.

Le magazine littéraire de France 5, présenté par François Busnel, se modernise. Rendez-vous hebdomadaire, La Grande librairie passe d’une diffusion télévisuelle... à une dimension audio, complémentaire. Et le programme ne manquera pas d’intérêt cette semaine.

À pirate, pirate et demi... Dans un exercice intéressant de contradiction d'un pirate scandinave de 19 ans, assumant pleinement qu'il télécharge des livres numériques, une auteure locale lui a été opposée.

Évidemment, n'est pas centenaire qui veut, mais les Presses universitaires de France, du haut de leurs 90 ans, n'en compte pas moins des auteurs prestigieux dans leur catalogue.

Au sein du groupe Knopf Doubleday, Anne Messitte, éditrice chez Vintage Anchor Books, vient de connaître une promotion intéressante, en prenant le poste de vice-présidente exécutrice du groupe. Sans trop de surprises, parce que c'est à elle que l'éditeur doit la publication de la trilogie Fifty Shades of Grey. 

En juin dernier, le tribunal du district de Kuibyshevsky, à Saint-Pétersbourg, a rendu son verdict : La fondation Sphere, plus importante ONG de défense des droits LGBT+ en Russie, sera dissoute, après une première décision dans ce sens exprimée le 21 avril de cette année. Pour justifier cette sentence, la justice russe a pointé la parution du livre, Mothers, Fathers and Kids from Dusk till Dawn (Mères, pères et enfants du crépuscule à l’aube), de Lawrence Schimel, illustré par Elina Braslina, et traduit en russe par Dmitry Kuzmin.

Dans le but d'aller toujours plus loin dans sa gamme de services et dans la fidélisation de sa clientèle, Amazon a lancé la semaine dernière deux grandes nouveautés : d'une part, l'arrivée au Royaume-Uni de Prime Reading, la bibliothèque d'ebook pour les abonnées Premium, et d'autre part, le lancement de Amazon Charts, nouveau classement des livres les plus vendus et les plus lus. 

Chaque semaine, ActuaLitté en partenariat avec la Charte des auteurs et illustrateurs jeunesse remet en avant une tribune. Celle de Bérengère Delaporte, publiée originellement en septembre 2016, parlait des plaisirs de la maternité et des stupidités entendues. Auteure, certes, mère également, mais scandalisée avant tout, devant la bêtise ambiante...

Jusqu'à la parution de Fifty Shades of Grey, porno et mère de famille ne faisaient bon ménage que dans la rubrique « Cougars », laquelle était susceptible de vous envoyer droit chez le psy avec un complexe d'Oedipe carabiné. Aujourd'hui, ce qui fut au départ une fan fiction fait tourner la tête du New York Times, excite Hollywood et fait grimper aux rideaux les éditeurs. Bonjour l'orgasme.

Parfois, je range ma bibliothèque... et je relis un album qui me fait pleurer ! Mais c'est un compliment !!! Par exemple, cette BD drôle et touchante : Ma maman est en Amérique, elle a rencontré Buffalo Bill (Gallimard) de Jean Regnaud et Emile Bravo. Une vraie machine à voyager dans le temps, qui nous ramène en 1970.