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Tanxxx

Extraits

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BD tout public

Velue

Dotée d'une particularité physique peu commune, une pilosité très abondante répartie sur tout le corps et qui repousse sans cesse, la vie d'Isabelle est un enfer. Son enfance chaotique, sous la coupe d'un père angoissé qui ne songe qu'à la cacher, n'est que la première étape d'une confrontation permanente au monde, révélatrice du conformisme et de la bêtise. Sa révolte adolescente n'en sera que plus violente, sanglante, longeant les marges de la société. Avec Velue, Tanxxx aborde de front le déclassement et la violence sociale dans un conte tant horrifique que métaphorique. L'on suivra Isabelle jusqu'à l'âge adulte, assumant au bout du compte sa différence, tout au long d'un chemin peuplé de salauds et de paumés de la vie qui auront tous le tort, à un moment ou à un autre, de croiser sa route.

09/2015

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BD tout public

Attembre

"J'essaye de dévier le courant morne. Je pourrais déplacer les meubles. Je pourrais écrire. Je pourrais graver. Je pourrais faire du sport. L'ennui, c'est que je ne suis pas là. L'ennui, c'est que rien ne me motive ici. L'ennui, c'est l'ennui." Tanx. On avait laissé Tanx combattant les questionnements artistiques et les liens politiques et personnels qu'ils induisent dans Toutes les croûtes aux coins des yeux, en 2018. Ce vaste chantier mental rapporté dans ce livre réflexif a visiblement porté ses fruits puisqu'on la retrouve deux ans après dans un laché-prise total, tant personnel qu'artistique, avec Attembre, regroupant 6 mois de chroniques quotidiennes narrant dans le détail le boulversement complet de sa vie. Attembre, telle une suite logique à Toutes les croûtes aux coins des yeux, confirme la profondeur exacerbée de la vaste exploration artistique et personnelle à laquelle, au fil des livres (et des fanzines qui les précèdent), l'autrice nous convie. Il démontre par l'absolue franchise de la narratrice sa lucidité dans ce travail de recherche de soi face au monde, qui la guide depuis des années. Cette chronique biographique devient, au fil des ans, une référence tant pour la bande dessinée que pour le rapport complexe et politique entre l'artiste et la réalité qu'il induit, dans ce début de XXIe siècle

01/2020

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BD tout public

Faire danser les morts

Après avoir fait un cauchemar peuplé de "zombies", une jeune femme se réveille et constate, ébahie, que son rève était plus que prémonitoire : la ville est effectivement en proie à une invasion de morts-vivants ! Réfugiée sur les toits, elle entreprend de se mettre en quête de nourriture. Sur le chemin, encombré d'innombrables zombies dont elle doit se débarrasser et de graffitis contestataires, elle entend des notes de musique qu'elle croit reconnaître : en se hissant en haut d'une palissade, elle aperçoit l'un de ses groupes de rock préférés, les "Minutemen", en pleine répétition ! Ne pouvant réfréner son enthousiasme, la jeune femme se précipite à leur rencontre, sans se douter que ses idoles elles-mêmes peuvent être "contaminées" ...

10/2012

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BD tout public

Neuf pieds sous terre

Il arrive que l’on se lève en sachant que tout est perdu d’avance. Quoique l’on fasse, la journée est de pire en pire. On pourrait tout recommencer depuis le début que cela ne changerait rien… (ou presque). La journée serait de plus en plus noire. N’allez pas croire que les choses sont différentes pour un chat. Bien au contraire… La preuve avec Neuf pieds sous terre. Loïc Dauvillier et Tanxxx nous entraîne dans un savoureux et macabre éternel recommencement, en comptant toutefois que l’éternité chez le chat se multiplie symboliquement par 9 (ce qui est déjà beaucoup à vue d’homme).

12/2010

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Beaux arts

Dernière danse. L'imaginaire macabre dans les arts graphiques

L'image de la Mort a hanté toutes les époques. Du Moyen Age à nos jours, elle s'est glissée dans l'imaginaire des artistes, souvent sous l'apparence d'une silhouette squelettique, avec pour devise : Memento mori. Toujours présente pour rappeler que la vie a une fin, elle tend aux hommes un miroir au reflet funeste, celui de leur condition passagère sur terre. Selon les périodes historiques, elle a incarné, si l'on peut dire, les barbaries de la guerre en même temps que les idéaux d'égalité et de paix, ainsi que des figures plus ordinaires. Séductrice et amante, elle a aussi été représentée maligne et grimaçante, inventant des stratagèmes diaboliques pour serrer les hommes dans son étreinte. Mais la plupart du temps elle apparaît dansante, prise dans une ronde sans fin. Et c'est cette danse, celle de la vie mêlée à la mort, qui a trouvé dans les arts graphiques un écho particulier. Si Holbein est à l'origine d'une telle tradition iconographique, des artistes comme Beham, Aldegrever, Brentel, Van der Heyden, Bresdin, Doré, Rethel, Klinger, Sattler, Masereel, Grosz, Dix, Heartfield jusqu'aux illustrateurs contemporains Ungerer, Winshluss et Tanxxx, ont nourri le genre des danses macabres de leur vision renouvelée. Ce catalogue présente un ensemble remarquable de leurs productions, conservées dans les collections des Musées de la Ville de Strasbourg et d'autres d'institutions françaises et allemandes. Il éclaire en outre la longue histoire de l'imaginaire macabre par des contributions de spécialistes et d'historiens de l'art.

05/2016

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