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Steven L. Kaplan

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Dossier

Samurai Origines : l'enfance de l'art

Dans la continuité de la série mère, Samurai, les créateurs Frédéric Genêt et Jean-François Di Gorgio ouvraient un nouveau cycle avec Samurai Origines, en septembre 2017. Un scénario dynamique et saisissant qui nous entraîne dans un voyage initiatique au cœur du Japon médiéval. Mais cette fois, en remontant à l’enfance de Takeo, leur personnage principal.

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Dossier

6 mythes sur l'environnement et l'écologie déconstruits

Tout le monde est vert ! De Justin Trudeau à Jeff Bezos, en passant par Coca-Cola et même Total ! L’écologie devient le nouveau sens commun. Ne devrait-on pas s’en réjouir ? Oui, et... non. Frédéric Legault, Arnaud Theurillat-Cloutier et Alain Savard publient Pour une écologie du 99%. 20 mythes à déboulonner sur le capitalisme. Un ouvrage salutaire, qui aborde les plus grandes fake news en la matière. A mettre entre toutes les mains. 

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Dossier

Coronavirus : l'industrie du livre face à l'épidémie

Cela avait commencé avec quelques cas en Chine, mal recensé et des perturbations dans l’économie du pays. Et rapidement, le coronavirus est devenu l’invité tragique de l’année 2020. Les cas se sont multipliés et les décès sont survenus peu après. Avec des conséquences diverses dans l’industrie du livre, à travers le monde.

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Dossier

Prêt de livre en bibliothèque : l'avenir de l'ebook au sein de l'Europe

La question du prêt numérique de livres en France cache une autre interrogation : celle de l'exception au droit d'auteur, qui fut mise en place pour le livre papier. A cette époque, certains auteurs s'étaient opposés, considérant que le risque était trop grand. Aujourd'hui, plus personne ne remettrait en cause ce grand principe, d'autant plus qu'il est rémunérateur pour les auteurs.

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Dossier

Luca Di Fulvio : l'homme qui riait de l'Histoire

Luca Di Fulvio est un écrivain italien contemporain dont le talent a traversé les frontières. Né en 1957 à Rome, il a su, dès son plus jeune âge, que les mots seraient sa vocation. Après des études en dramaturgie, il s'est lancé dans l'écriture, mêlant habilement histoire, suspense et émotions. Décédé le 31 mai 2023 à l’âge de soixante-six ans, il laisse une oeuvre foisonnante, ancrée dans l'Histoire. 

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Dossier

Les libraires font l'actu, l'information par les livres

Rendre aux libraires la parole, rappeler qu’ils sont au cœur des livres quand il s’agit de conseils de lectures, voici tout l’objet de notre dossier. Menée en collaboration avec Kube, producteur de box littéraires, qui sont réalisées en partenariat avec des libraires, cette rubrique entend apporter un double éclairage.

Extraits

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Littérature étrangère

Kaplan

Léo Kaplan, proche de ka quarantaine, écrivain engagé en panne d'inspiration, touché par le désespoir et l'insuffisance de ses frères humains, vit dans une fièvre perpétuelle, essayant tant bien que mal de gérer sa crise existentielle, ses divorces et ses amours tumultueuses. Ni son passé d'enfant juif apeuré, ni son présent mouvementé ne lui laissent de répit. Il court à perdre haleine entre les souvenirs d'un premier grand amour, qu'il retrouvera au détour d'un coup de théâtre, sa pratique compulsive du trapèze adultérin, et d'étranges faits divers qui l'associent à la trame de notre fin de siècle. Le récit, à mesure qu'il dévoile les recoins les plus secrets des âmes, nous entraîne d'une main ferme de par le monde, le long des canaux d'Amsterdam, au cœur de Rome, à travers la campagne Toscane, en passant par les quartiers chauds du Caire. Humour, lucidité, compassion et une extraordinaire virtuosité font de Kaplan tout à la fois un conte philosophique et un grand roman qui tient de la réflexion humaniste et du thriller psychologique.

02/1998

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Sciences historiques

Les Ventres de Paris. Pouvoir et approvisionnement dans la France d'Ancien Régime

Paris, au XVIIIè siècle, vit au bonheur du blé. La ville dévoreuse est friande de froment, de pain blanc, gris à la rigueur pour les maladies, les prisonniers et les soldats ; délicate, elle refuse les méchants grains et les sombres farines - le seigle, l'épeautre et le méteil. Le Roi a la charge d'assurer le ravitaillement ; il mobilise donc la police, le lieutenant général, le commissaire et les inspecteurs pour que chaque jour les ventres de Paris soient rassasiés en quantité et les palais flattés par le goût des meilleures farines. Mais comment assurer la sécurité du ravitaillement dans un environnement technique précaire, sensible aux moindres intemperies ? Dans un univers de mentalités suspectant meuniers, marchands, courtiers et autres boulangers monopoleux de spéculer sur les prix et de raréfier les grains, et proclamant qu'il faut développer le commerce tout en se gardant des commerçants ? La monarchie crut trouver la parade dans le marché : le marché serait tant le lieu physique de la vente et de l'achat transparents - le marché hebdomadaire et obligatoire - que le principe présidant à l'échange, moralisant le commerce et domestiquant les producteurs et intermédiaires plus soucieux de leurs intérêts et de leurs égoïsmes que du bien commun. Grâce à Steven L. Kaplan, le lecteur pénètre la micro-société de l'approvisionnement, structurée par la production et la surveillance policière mais divisée par les antagonismes de métiers et de fortune. La chaîne des subsistances est ici dévidée, du producteur-vendeur au consommateur : sous le regard du roi nourricier s'animent les marchands de grain et de farine, les meuniers, les courtiers et facteurs, les officiers jurés mesureurs et porteurs, les boulangers, les inspecteurs et commissaires responsables de la bonne marche du ravitaillement. Rarement le lecteur, - grâce à la veine de l'historien qui lui fait tâter les farines, le promène par monts et par vaux dans les moulins et les blutoires, lui restitue les sons, les couleurs et les odeurs d'une ville chaque jour anxieuse de manger à sa faim - aura eu à ce point le sentiment de participer au grouillement social à la veille de la Révolution. Celle-ci n'entendait-elle pas faire valoir les droits de la Nation, puis du Peuple face à la monarchie, au Boulanger, à la Boulangère et au Petit mitron ?

01/1988

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Sciences historiques

Le Meilleur pain du monde. Les boulangers de Paris au XVIIIème siècle

Le bon pain d'autrefois, le pain fait à l'ancienne : autant d'expressions qui évoquent un temps où le pain était au cœur de la vie, où le partage du pain en famille ou au travail était un geste quotidien et l'offrande de pain bénit un rituel dominical. Pour comprendre le sens de ces traditions, il faut imaginer le Paris du XVIIIe siècle. Des fournils aux étals des marchés, les activités liées au pain animent la ville, de jour comme de nuit. Le pain est alors une denrée de première nécessité, et la boulangerie un véritable service public qui mobilise sans cesse la police. Mais sa fabrication ne relève pas que du savoir-faire du boulanger, elle dépend d'un environnement que nul ne peut maîtriser, et la peur même d'en manquer en fait un symbole. Que le pain gris remplace le pain blanc - le pain que préfèrent les Parisiens - et les voilà dans la rue. " Si le pain ne diminue, nous exterminerons le roi et tout le sang des Bourbons ", proclament des affiches lors du couronnement de Louis XVI. Quinze ans plus tard, les femmes iront à Versailles chercher " le boulanger " car c'est au roi qu'il revient d'assurer la subsistance de ses sujets. Stevan Kaplan fait revivre de façon magistrale cette longe chaîne du pain à laquelle toute la ville participe, et en premier lieu les boulangers. Acteurs trop oubliés de la vie politique et économique de l'Ancien Régime, ils forment l'une des plus anciennes corporations de Paris et n'en respectent pas toujours les règles : si les maîtres boulangers sont censés révéler les secrets de leur métier à leurs apprentis, ceux-ci sont souvent corvéables à merci. Rares sont les compagnons qui réussiront à s'établir. En fin de compte, la réputation des maîtres boulangers est leur capital le plus précieux, puisqu'elle leur assure à la fois le crédit de leurs fournisseurs et la fidélité de leur clientèle. Pour avoir le " privilège " de faire le meilleur pain du monde, il faut aussi savoir faire commerce et même bien choisir son épouse.

01/1996

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Sciences historiques

La fin des corporations

Les communautés d'arts et métiers sont une clef essentielle pour comprendre l'Ancien Régime, puisqu'elles réglementaient l'organisation du travail dans les villes et assignaient à chacun une place dans la hiérarchie de la société. Quels pouvoirs détenaient-elles ? Etaient-elles une barrière contre l'anarchie ou une entrave à la liberté des individus et du commerce ? Ces questions sont au cœur des débats sur la modernisation qui ont enflammé la France des Lumières. En 1776, Turgot, le ministre philosophe, tente de les abolir, mais le vaste mouvement de résistance qu'il soulève le contraint à reculer. Necker impose alors, avec plus ou moins de succès, un corporatisme d'Etat, à la fois plus souple et plus rationnel. Les nouvelles communautés qui se forment aux quatre coins du royaume ne sont abolies qu'en 1791, preuve qu'au début de la Révolution elles constituaient encore, malgré les critiques, l'un des piliers de l'ordre social et politique. Dans ce récit de la lente agonie des corporations, Steven Kaplan fait revivre maîtres, apprentis et compagnons, montrant les conflits et les tensions qui agitaient souvent échoppes et ateliers derrière la fraternité affichée. Ce tableau coloré démystifie les visions caricaturales d'une institution dont l'histoire a longtemps été trop idéalisée avant de tomber dans l'oubli.

01/2001

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Littérature française

Vera Kaplan

Quelques années après la mort de sa mère, un homme reçoit à Tel Aviv une lettre d'Allemagne adressée à la défunte. L'expéditeur, un notaire de Wiesbaden, se réjouit d'avoir retrouvé la fille de sa cliente, Vera Kaplan, qui vient de mettre fin à ses jours. Il lui fait parvenir son testament, celui d'une femme seule rongée par ses démons et épuisée de vivre. Et joint également un document terrifiant : le récit des années de guerre de cette jeune Juive berlinoise qui, pour sauver ses parents, puis simplement pour rester en vie, en est venue à commettre l'impensable : dénoncer ses frères, par centaines. Dans ce récit inspiré du destin de Stella Goldschlag, Laurent Sagalovitsch s'empare sans complaisance du destin d'une réprouvée pour en faire le portrait d'une victime devenue monstre, chez qui la pulsion de vie s'est montrée plus forte que la conscience.

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Théâtre

George Kaplan

Quel est le lien entre un groupe activiste clandestin en pleine crise, une équipe de scénaristes en quête de nouveaux concepts pour un projet de série télé et un gouvernement invisible aux prises avec un danger menaçant la sécurité intérieure du pays? Un seul nom : George Kaplan. Frédéric Sonntag s'empare de la figure mythique du personnage de La Mort aux trousses de Hitchcock pour entrelacer fiction et réalité et inventer une identité collective avatar de nos peurs contemporaines. Par un théâtre très ludique et un humour rare et fin, matière à jeu pour cinq acteurs, l'auteur démonte les fonctionnements paranoïaques de nos sociétés ultramédiatisées.

11/2012

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