Recherche

Seydi Sow

Dossiers

ActuaLitté

Dossier

Quand les mots dansent au son des mélodies

Que serait notre monde sans la musique qui fait vibrer nos âmes et la littérature qui nourrit notre imagination ? Tels deux instruments de l'orchestre de l'expression artistique, résonnent chacun avec leur timbre propre. Dans cette liste d'ouvrages soigneusement sélectionnés, nous plongerons dans une symphonie littéraire où les mots dansent au son des mélodies.

ActuaLitté

Dossier

“Être soi-même ne devrait jamais poser problème”

Liberté d’expression, discrimination positive, morale : Vitaly Malkin décortique les grands enjeux de notre temps. Né en URSS, il a vécu mille vies : ingénieur, physicien, banquier, homme politique, philanthrope. Ici, il livre son regard lucide sur le monde et, indéniablement, vise juste !  

ActuaLitté

Dossier

Dix textes, pour voyager, avec soi, vers les autres

Le poète Horace nous l’a dit voilà bien longtemps : « Nul ne peut se fuir soi, en quittant sa patrie. » On lui opposerait tout de même que les voyages forment la jeunesse et qu’il ne cause aucun tort de partir à la découverte du vaste monde. Quitte à n’y trouver que soi. Alors, justement, voici quelques titres sélectionnés pour les périples qu’ils proposent.

ActuaLitté

Dossier

Livres, actualités : tout sur Anne Frank et son Journal

Morte en 1945 à Bergen-Belsen, Anne Frank a légué à l’humanité un journal devenu historique. Ce récit fait part des réflexions qui occupent la jeune adolescente, alors qu’elle est partie avec sa famille aux Pays-Bas, pour échapper aux nazis. Nous sommes en 1942, elle a 13 ans. 

ActuaLitté

Dossier

Nos horizons désirables : le livre a rendez-vous avec son avenir

Devant les défis importants du domaine du livre, les experts et volontaires s'engagent activement. L'Agence coordonne les Rencontres régionales du livre et de la lecture dans la région des Hauts-de-France, un événement visant à collaborer pour façonner l'avenir du secteur et envisager des perspectives prometteuses.

ActuaLitté

Dossier

Quand ranger ses livres n'est plus un casse-tête

Agencer ses livres, les organiser, les mettre en valeur dans un intérieur, et par conséquent habiller, voire décorer ce dernier... Ce dossier soumet des propositions de rangement avec une ambition : rehausser un espace bibliothèque. Dans toutes les pièces de la maison, apporter une coloration culturelle à son chez-soi, et ce, à travers des étagères originales.

Extraits

ActuaLitté

Histoire internationale

Mballo Dia Thiam - L'indomptable combattant du SUTSAS. Biographie

C'est l'histoire et la trajectoire d'un homme. Cette histoire et cette trajectoire épousent celles du plus grand syndicat de la santé du Sénégal mais aussi celles de celui qui en a tenu le gouvernail ces dernières années, contre vents et marée. Nous sommes au début des années 1980. Léopold Sudar Senghor, frappé par l'usure du pouvoir, cède les rênes du pays à son dauphin Abdou Diouf. Celui-ci tente une ouverture démocratique en suscitant le multipartisme intégral. Pour autant, le pays n'en mène pas large. La culture de Parti unique reste tenace, le monde syndical est sous la coupe de la CNTS, prolongement du Parti au pouvoir, chantre de la Participation Responsable, sorte de syndicalisme caviar, cautère sur une jambe de bois qui préfère le conformisme à la confrontation. Les leaders de ce syndicalisme sont généralement des cadors du parti au pouvoir. C'est à fleurets mouchetés que les acquis du peuple laborieux se décident. Il s'agit davantage d'un cimetière des revendications des masses laborieuses. Le monde de la santé (...) est un exemple saisissant et pathétique, de ce que précarité veut dire. Parmi les mieux instruits, les agents de la santé sont paradoxalement frappés d'une indécente indigence. On eût dit que cette noblesse faisait en même temps office de caste d'Intouchables. En effet, après avoir fait menacer son fond de culotte d'escarres, l'infirmier ne touche pas plus de 58 000 FCFA et le médecin et son Bac + 8 ne voit inscrire sur son bulletin de salaire qu'un net de 70 000 FCFA. Mais ces agents si différents des autres font face à un dilemme : se syndiquer, faire grève, faire planer sur les populations la menace d'un mal qui s'aggrave, d'un handicap irréversible, de la survenue de l'irréparable parce qua un moment, l'urgence est suspendue sur un piquet de grève ; ou se mettre, contre vents et marée, debout devant des autorités qui ne connaissent que le rapport de force, pour préserver leur dignité, s'assurer (.. j le minimum pour vivre décemment. Ils sont nombreux, à l'aube de ces années 1980 à choisir le second terme de l'alternative. Mballo Dia Thiam, en poste à Ziguinchor fait déjà office, avec d'autres, de pionnier et de chef de file de ce Germinal des damnés de la souffrance humaine. Réunions syndicales, prises de paroles devant des militants parfois sceptiques, souvent déterminés, nuits blanches, privations, désinformation, intimidations, tentatives de corruption n'y feront rien. Aux quatre coins du Sénégal, les sections s'organisent fédérant le Professeur Agrégé de Médecine, l'infirmier, le travailleur social et le manoeuvre. Le SUTSAS obtient son récépissé en 1982. Les fers de lance ont pour nom Bakhao Seck, Awa Marie Coll Seck, Salif Guindo, Fangaly Diouf, Mballo Dia Thiam, Abdel Kader Badji. Le SUTSAS se lance alors dans sa première grève qui marquera les annales du mouvement syndical du pays. Tous les corps de métier de la santé y prirent part et toute la pyramide sanitaire s'en trouvàt ébranlée. Cet ouvrage remarquablement écrit par une des plus belles plumes sénégalaises du moment raconte avec l'art sublime du conteur ce qu'a été le SUTSAS mais aussi les mutations récentes et profondes de la vie syndicale et politique sénégalaises.

10/2019

ActuaLitté

Littérature française

Un fleuve de silence pour les larmes du coeur

Le roman "Un fleuve de silence pour les larmes du coeur" de Seydi Sow est un chef d'oeuvre d'analyse et de critique de la société sénégalaise. Le technicien de la santé qu'il est a percé la plaie dols a jailli le flot fétide et purulent des tares qui sont les nôtres. Il a dévoilé avec la maîtrise de la langue et l'oeil critique d'un observateur avisé, les conséquences d'un laisser-aller de la liberté sexuelle ou du libertinage des jeunes filles modernes qui boivent la lie jusqu'à la dernière goutte, car elles ignorent que "l'amour est un mot qui écrase s'il domine l'être, la raison. Un mot qui refuse l'analyse objective, qui rompt les amarres et qui consume jusqu'au complet anéantissement". Les sujets tabous de la sexualité de la jeune fille, des grossesses précoces ou non désirées, de l'excision, des MST, des relations heurtées entre membres d'une même cellule familiale, le fossé de génération entre parents et enfants, l'importance grandissante du rôle joué par l'argent au sein de notre société, l'hypocrisie entre femmes prétendument amies (Nafissatou / Aïda) ont été abordés avec une sérénité, une objecivité de sang-froid qui forcent l'admiration. Ce roman, à n'en pas douter, fera l'objet de débats contradictoires entre adeptes du retour à la tradition et pourfendeurs ou défendeurs de la modernité. Pour la première fois au Sénégal, le problème de la sexualité de la jeune fille a été abordé sans pudibonderie coupable ni paternalisme de mauvais aloi. Avec des mots justes et bien pensés, Seydi Sow a su dévoiler la légèreté et la cruauté d'une jeune fille volage "Khadidjatou" en nous plongeant dans une tourmente de sentiments : Rivalités entre soeurs, regrets amers d'une fille-mère, intolérance des parents, méfaits de la modernité et bienfaits d'une tradition bien pensée.

04/2020

ActuaLitté

Théâtre - Pièces

Je suis la justice - theatre en trois reflexions - suivi de au fond d'un puits (nouvelle)

"L'absence de théâtre sur scène est (...) un des talons d'Achille de la démocratie, laquelle pourrait être comparée à un être vivant dont le corps est confié aux hommes politiques et dont le coeur, l'élixir de vie, est détenu par les grands dramaturges. Contrairement au théâtre négro-africain post-indépendances qui portait très souvent son regard sur le monde périphérique, reflet de cette vie encore sous tutelle d'une force extérieure, dans ce texte introspectif, Seydi Sow braque ses projecteurs sur l'individu, son intériorité, le monde extérieur ayant une place infime dans cette mise en scène. L'intrigue ne s'appuie donc pas sur des événements qui viendraient bouleverser l'ordre préétabli des choses : dans cette pièce "l'évènement" majeur c'est la conscience, l'évidence grandissante de ses raisons, son influence, son effet culpabilisateur. Le personnage ou le héros voit les signes en lui-même et c'est dans son esprit qu'il va chercher la force de sa transformation. Seydi Sow fait économie de l'action dramatique et laisse plus de place au dialogue intérieur, à la conversation avec soi-même. Le combat qui se livre est intérieur, car le bien est à conquérir." Extrait de la Postface du Dr Abdoulaye Diallo, Historien et éditeur.

12/2021

ActuaLitté

Littérature française

La tristesse des moineaux

"Voici les résultats de vos analyses. Prenez-les et lisez. D'une main tremblotante, Guily se saisit des feuillets. Elle se mit à parcourir leur contenu. Docteur Sanokho l'observait, guettant sur son visage les réactions devant l'épreuve du choc de la révélation. C'était l'instant tant redouté par tous les praticiens : la communication de la vérité au malade. Nul ne pouvait prédire ce qui se passerait après. On pouvait prendre toutes les précautions, sonder la force mentale du patient afin d'évaluer ses possibilités d'acceptation ou de refus, face à la dureté d'un destin, emprunter la meilleure approche psychologique, et obtenir un résultat désastreux. Et se retrouver avec un malade prostré, glissant lentement dans le désespoir, se laissant abattre et mourir peu à peu, à petit feu, sans aucune volonté de lutte, parce que refusant d'avance tout combat. Docteur Sanokho n'eut guère le temps d'analyser les réactions de Guily. Celle-ci avait déjà lâché les papiers comme si elle eût tenu entre les mains des braises incandescentes. - Quoi, docteur ? Qu'est-ce que je lis ? cria-t-elle dans un désarroi total. - Séropositif. Oui madame. Je regrette de devoir vous l'annoncer, mais vous êtes frappée par le destin. Vous avez, hélas, dans le sang, le virus du SIDA..."

05/2018

ActuaLitté

Littérature française

Nethio. Douceurs et merveilles du mballax

"A la fin de son roman, Seydi Sow fait dire au narrateur sur qui Cendeela Camdaga exerce une véritable fascination : "Mais j'imagine Nethio heureux. Le musicien qu'il est a rencontré ses fans. Pourrai-je avoir le même bonheur ? Vais-je à mon tour rencontrer mes lecteurs ? " L'esprit qui préside à ces diverses affirmations est à prendre à la lettre et sans réserve en ce qu'il constitue la justification de l'oeuvre et des pratiques rhétoriques qui la soutiennent. Ce parallèle entre le musicien et le narrateur est du plus heureux effet car l'écrivain n'ignore pas que son oeuvre a besoin d'une conscience pour s'accomplir et cette conscience est celle du lecteur. Le lecteur est une composante essentielle de l'univers littéraire comme le spectateur a une place fondamentale dans le monde de la musique. La trajectoire du musicien semble rejoindre celle de l'écrivain. A l'arrière-plan des mots du narrateur, se trouve esquissée la référence à une esthétique de la réception." Extrait de la préface.

04/2017

ActuaLitté

Théâtre

Le plaisir m'est interdit

De quoi s'agit-il ? Amsata est un jeune homme tout ce qu'il y a de plus séduisant, juché au sommet de la réussite sociale. Il aime Oulimata et en est violemment aimé. Mais voilà que les jeunes gens se trouvent coincés entre deux exigences : celle d'une séparation douloureuse mais nécessaire et celle d'une liaison dont le ressort plutôt social, voire mondain, n'a rien à voir avec l'amour, sinon celui ô combien fort d'Oulimata, "l'agneau du sacrifice". Et le tout de baigner dans une atmosphère sordide, sur le gigantesque plateau d'un piège à... rats. "Le plaisir m'est interdit" est un drame social où parfois le goût de paraître prime sur la morale et les exigences religieuses. Dans ce jeu de fantômes, même l'amour filial se trouve violenté, abâtardi.

11/2016

Tous les articles

ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté
ActuaLitté