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Rachel Seiffert

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BD tout public

Jo Siffert

Jo Siffert est un pilote automobile Suisse, né le 7 juillet 1936 à Fribourg (Suisse) et mort le 24 octobre 1971 sur le circuit de Brands Hatch à Longfield (Angleterre). Issu d'un milieu modeste, il se passionne très tôt pour les sports mécaniques. Champion de Suisse de motocyclette en 1959, il dispute également plusieurs compétitions internationales en side-car avant de passer au sport automobile. En 1960, il débute en Formule Junior et devient, l'année suivante, le meilleur représentant européen de la discipline. Il accède à la Formule 1 grâce à la Scuderia Filipinetti, court ensuite sous ses propres couleurs, avant de rejoindre le Rob Walker Racing Team. Cette écurie lui permettra de remporter sa première victoire en Championnat du Monde au Grand Prix de Grande Bretagne 1968. Pilote éclectique, il dispute plusieurs saisons de Formule 2 en tant que pilote d'usine BMW et se forge un important palmarès en endurance en tant que pilote officiel Porsche. Il remporte les plus prestigieuses épreuves de la discipline comme les 12 Heures de Sebring, les 24 Heures de Daytona, les 6 Heures de Watkins Glen, les 1 000 km du Nürburgring, les 1 000 km de Monza, les 1 000 km de Spa ou la Targa Florio. Joseph Siffert est, avec 14 victoires en 41 courses, le pilote le plus titré durant la période 1968-1971 durant laquelle le championnat international des marques se disputait en catégorie Sport (5 litres) et Prototype (3 litres). Il est, avec Clay Regazzoni et Emmanuel de Graffenried, un des trois pilotes suisses à avoir remporté au moins une victoire en Formule 1. Il est considéré comme une véritable légende de la course automobile en Suisse. Quelques semaines après un deuxième succès en Championnat du monde (Grand Prix d'Autriche 1971), Joseph Siffert meurt asphyxié dans l'incendie de sa monoplace accidentée, lors de la Course de la Victoire, une épreuve de Formule 1 hors-championnat à Brands Hatch. Ses funérailles réunissent 50 000 personnes dans la ville de Fribourg.

05/2018

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Littérature étrangère

Introspections

Dans ces onze nouvelles, majoritairement situées en ex-Allemagne de l'Est et en Pologne, des individus séparés par leur incapacité à se parler explorent d'autres moyens de communiquer. Ils regardent, ils examinent et ils analysent le monde qui les entoure. Mais c'est avec eux-mêmes qu'en réalité ils dialoguent silencieusement. Alors que la chute du communisme a modifié radicalement l'équilibre auquel ils étaient habitués, les frontières aussi ont bougé au sein même de leur personnalité. Les changements politiques et historiques ont déplacé les structures de l'intime. Des sentiments et des émotions meurent, d'autres naissent, dans un brouillage impalpable des identités. L'effacement et la mort sont omniprésents, les renaissances esquissées rarement abouties. Au seuil de quelque chose qu'ils ne savent définir, les personnages tremblent, à l'image de ce très vieil apiculteur, isolé des autres depuis des années, qui recueille un enfant malade surgi de nulle part. Cet enfant est-il une promesse de renaissance, comme le printemps qui fait une délicate apparition ? Ou, au contraire, comme la neige qui endort encore les abeilles, annonce-t-il la visite de la mort ? L'éclatement des frontières terrestres permet à Eva, polonaise, de partir à la recherche de son mari, qui l'a abandonnée pour les mirages de l'Ouest. Mais cette liberté de déplacements autorise-t-elle réellement la réunion des familles démembrées et des cœurs séparés ou montre-t-elle seulement, avec la cruauté de l'évidence, que la faille existait depuis longtemps au sein de couples que les conditions politiques contraignaient à vivre ensemble ? Et que dit cet enfant, trop petit pour parler, dans son refus hystérique d'un déménagement anodin ? Quelle idée de la dignité hante ce vieil homme quand il redonne à une rue de Berlin le nom d'un résistant communiste que la réunification a relégué aux oubliettes de l'Histoire ?

02/2012

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Poches Littérature internation

Rachel

Professeur d'université vieillissant, Sviatoslav Semionovitch Kaufman - de père juif et de mère russe, ce qui est déjà un problème - s'est marié trois fois. D'abord avec Liouba ("sa" Rachel) quand, doctorant spécialiste de Scott Fitzgerald, il travaillait comme infirmier dans un hôpital psychiatrique et vivait pleinement les mythiques années 1960. C'est à cette époque, où les Soviétiques découvraient le jazz, le rock et Hemingway, qu'il a rencontré Véra, la mère de son fils. Bien plus tard, la jeune Natalia lui a fait perdre la tête avant de lui préférer un agent du KGB... Déprimé, cardiaque, et toujours un peu à côté de la plaque, notre professeur ressasse et rouspète sous l'oeil volontiers goguenard de sa belle-fille, voleuse à l'étalage délurée qui veille sur lui. Réflexions sur les affres de la vieillesse et les ratés de la jeunesse se mêlent aux références bibliques, au drame familial et à l'histoire russe du XXe siècle pour composer un roman à la tonalité aussi nostalgique que fantasque.

11/2016

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Littérature anglo-saxonne

Rachel Ray

Dans une Angleterre victorienne corsetée pas les convenances, Rachel vit avec sa mère, Mrs Ray, et sa soeur aînée, Mrs Prime, dans un cottage près de Baslehurst. Lors d'une promenade, Rachel fait la connaissance de Luke Rowan, héritier de la brasserie Bungall & Tappitt dont elle tombe amoureuse. Mrs Ray et la très prude Mrs Prime imaginent aussitôt Rachel en perdition ! Dans ce petit monde provincial où sévissent cupidité et bigoterie, comment les deux tourtereaux vont-ils se faire une place ? Anthony Trollope nous embarque dans une histoire d'amour pleine d'ironie où de jeunes gens épris de modernité viennent s'opposer aux conventions, aux traditions, et mettre à mal le vieux monde. Et la tâche est loin d'être facile. Personnages romantiques, grotesques ou attachants, humour pince-sans-rire, peinture décapante de la société victorienne, Rachel Ray est un véritable régal pour le lecteur.

10/2021

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Littérature française

Rachel et Rosa

Rachel, la cinquantaine, est atteinte de la maladie d'Alzheimer. Elle est placée par sa fille dans une « résidence médicalisée ». Elle y rencontre Rosa, Française d'outre-mer, qui guérit doucement d'un cancer. Rachel est « soupe–au-lait », rêve de silence et de solitude. Rosa, quant à elle, est une musulmane pratiquante et extravertie. Quand l'une veut lire, l'autre s'épanche sur des émissions de téléréalité et quand l'une veut dormir, l'autre se réveille en pleine nuit pour pratiquer ses prières quotidiennes. Ce sont donc les deux personnes les moins enclines à vivre ensemble, mais elles vont  pourtant devoir apprendre à s'apprivoiser, se connaître et donneront naissance à une amitié improbable, forte et touchante…

10/2016

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Poches Littérature internation

Ma cousine Rachel

Philip, sans la connaître, déteste cette femme que son cousin Ambroise, avec lequel il a toujours vécu étroitement uni dans leur beau domaine de Cornouailles, a épousée soudainement pendant un séjour en Italie. Quand Ambroise lui écrira qu'il soupçonne sa femme de vouloir l'empoisonner, Philip le croira d'emblée. Ambroise mort, il jure de le venger. Sa cousine, cependant, n'a rien de la femme qu'imagine Philip. Il ne tarde pas à s'éprendre d'elle, à bâtir follement un plan d'avenir pour finir par buter sur une réalité de cauchemar. Ce don du suspense psychologique, que le nombreux public de la célèbre romancière anglaise lui reconnaît dans chacune de ses oeuvres, est particulièrement présent dans Ma cousine Rachel.

10/2002

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