Publicité digitale

Les fans sont implacables : les traces de doigt sur un capot d'ordinateur portable peuvent devenir un motif sérieux (si, si) pour ne pas acheter un produit. Alors que dire des écrans tactiles ?

Les livres, certains les ont jusque dans la peau : l'artiste Cheryl Sorg propose donc d'en faire son empreinte digitale, en échange d'une simple trace de doigts et d'une liste de 50 livres, dont on souhaite voir les titres s'afficher dans son salon, explique

La plate-forme YouTube Kids, nouveau service vidéo destiné aux enfants, chercherait un peu trop à modeler le goût des jeunes consommateurs en puissance. Ce sont des associations américaines de protection de l'enfance qui sont montées au créneau pour dénoncer un principe roi sur cette interface : la publicité déguisée.

Quelle publicité pour la librairie indépendante ?

Une nouvelle étude, réalisée par un chercheur de l'Université de Padoue, en Italie, fait état de la contre-productivité de la fermeture des sites en infraction au copyright. Ces conclusions vont dans le sens de l'étude réalisée récemment par le Centre de recherche associé de la Commission européenne.  

Retour en arrière sur les étagères des bibliothèques des 19e et 20e siècles, bien avant l'apparition de la pollution publicitaire électronique sous sa forme la plus moderne, via l'usage des spams et autres inventions telles que le Kindle bon marché avec réclame incluse. Les livres déjà en ce temps-là, et plus particulièrement leurs jaquettes, ou encore les journaux, pouvaient parfois faire office de supports rêvés pour les annonceurs désireux d'attirer le chaland.

L'idée refait son apparition à intervalles réguliers, mais semble se peaufiner chaque fois un peu plus. Comme si les marketeux de tous bords l'éprouvaient sur les internautes, en attendant de réellement la mettre en pratique. Alors, quid de la publicité dans les ebooks, et particulièrement pour lutter contre le piratage ?

Noël n'est pas loin, le barbu tout rouge, aux couleurs de Coca-Cola fait venir faire des ravages, et en cette période plus que jamais, la publicité devient un sport de combat, version free fight, tous les coups sont permis...

Si le sujet vous inquiète ou qu'il vous préoccupe, nous tenions à vous signaler que nos confrères de Télérama ont mis en ligne leurs réflexions sur les trois thèmes : publicité, littérature et télévision.

Publicité supprimée sur Radio France : ça continuerait ?

Avec la révolution numérique en cours, les besoins des entreprises évoluent de plus en plus rapidement. Il devient difficile de savoir ce qui fera la différence dans un CV au cours des prochaines années. Si certains prédisent la fin de nombreux corps de métier à l’appui d’une robotisation galopante, d’autres font des hypothèses sur les attentes et les besoins de la société de demain.

Allbrary est une nouvelle bibliothèque digitale qui mise sur la simplicité d'accès aux loisirs culturels dématérialisés. Une version bêta est présentée au public, à l'occasion du Salon du livre de Paris. Pour l'heure, le service n'est proposé qu'à travers un site internet, mais les applications arriveront sous peu. 

"Bragelonne et Youboox ont une vision commune du livre numérique : la volonté de promouvoir la littérature digitale tout en valorisant l'ensemble de l'écosystème du livre. Rémunérer les éditeurs et les auteurs grâce à la publicité tout en permettant aux lecteurs de lire gratuitement est une solution efficace et pertinente", Alexandre Levasseur, Digital Manager des éditions Bragelonne.

Bon pour se remettre un peu en situation reprenons les faits. Le président de la République, Nicolas Sarkozy a annoncé que les publicités pour les livres seraient bientôt de retour à la TV et que parallèlement à ça le service public ne pourrait plus diffuser de publicités. Bien évidemment les grandes maisons d'édition s'inquiètent de savoir si elles pourront financièrement concurrencer les grandes marques qui sans cesse nous rabâchent leurs mérites.

Enfin un écrivain venant des « quartiers »

De Victor Hugo (pour une encre) à Joël Dicker (pour une Citroën), pendant près de deux siècles, innombrables sont les écrivains les plus divers qui ont prêté leur plume, leur nom ou leur visage à la publicité. Cette année, LITTéPUB, en collaboration avec l’ARPP (Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité) réédite et réactualise une enquête de 1927 sur les rapports qu’entretiennent les écrivains et la publicité. 

Introduire de la publicité dans les lecteurs ebook pour les proposer moins à un tarif moindre au consommateur, l'idée a fait son chemin, et plutôt bien fonctionner chez Amazon. Mais étendre cette solution aux livres numériques eux-mêmes, quel avenir ?

D’entre toutes les questions que soulève le livre numérique - le fichier - celle du modèle économique a toujours suscité de vives réactions. Notamment lorsqu’il fut question de proposer l’insertion de publicités dans les livres...

La frontière entre le Kindle et un smartphone s'affine, alors qu'Amazon vient d'ouvrir son Kindle à une nouvelle foncitonnalité : la réception d'offres spéciales sur le lecteur de livres numériques.

L'affaire Jean-Pierre Pernaut remue quelques intéressantes notions. Le présentateur du JT de TF1, accusé d'avoir réalisé la promotion de son livre, en plein journal, s'est défendu de toute promotion abusive, au sens où le CSA pourrait lui tomber dessus. Or, pour sa défense, le journaliste invoque le fait qu'il ne soit pas auteur du livre, mais préfacier, fait que confirme sa maison d'édition, Michel Lafon. Oui, et...?

L'Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP) vient de présenter son second bilan d'application des dispositions relatives à l'emploi de la langue française dans la communication publicitaire. L'étude, qui a porté sur le premier trimestre 2013 montre une forte diminution des manquements à la langue française par rapport au précédent rapport qui datait de 2009 (voir notre actualitté).

Le géant de Seattle s'apprête à faire un pas en avant sur le marché des espaces publicitaires, dominé par les ténors du marketing numérique comme Google, Yahoo, Facebook, Microsoft ou encore AOL. Amazon développe toute une gamme de produits publicitaires dédiés aux commerçants, et destinée à s'afficher sur ses propres sites Web comme sur ceux de son réseau de partenaires. Et même jusque sur les Kindle des lecteurs qui auraient un peu de temps de cerveau disponible à accorder aux annonceurs.

Depuis le mois d'octobre dernier, les éditeurs américains et Google ont passé un accord, concernant la numérisation des oeuvres sous droit, que la firme californienne avait fait passer de force sous ses scanners. Sans rien demander à personne, et dans la plus stricte violation du droit d'auteur : l'Association of American Publishers avait tout de même cédé, après des années de procédure...

Tiens, petite réflexion matinale, en passant, tel le coup de vent lutin qui soulève les robes fleuries... Et si iAd, la régie publicitaire d'Apple et iBooks, le logiciel de lecture sur iPad étaient plus proches que ce que l'on ne pense ?

Censure et manga ne riment pas, mais s’accordent définitivement bien : entre les restrictions que les éditeurs s’imposent et celles qui sévissent dans les exports, toute la palette de l’exercice se retrouve. Et ce, quand ce ne sont pas des attaques directement portées contre les œuvres elles-mêmes, a posteriori.

Acadomia, ou la réussite conditionnée par la publicité

La publicité va-t-elle envahir les ebooks ?

Publicité pour les livres : des innovations très intéressantes